C’est un roman de référence sur les charmes de la Provence. La nature joue un rôle essentiel dans ce livre. L’auteur écrit de longs passages descriptifs dépeignant l’identité provençale. Le livre commence d’ailleurs par une description de la région : « Je suis né dans la ville d’Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres au temps des derniers chevriers. »
La richesse de la nature provençale fait appel aux rêves. On ne trouve semblable nature ou climat qu’en Provence. Le passage descriptif de l’arrivée à la villa de vacances le démontre : « Il était bien joli ce chemin de Provence. Il se promenait entre deux murailles de pierres cuites par le soleil, au bord desquelles se penchaient vers nous de larges feuilles de figuier, des buissons de clémentines, et des oliviers centenaires. »
Le cadre agréable dans lequel Marcel vit est renforcé par une description très positive du climat et de la richesse de la faune et la flore. « J’entendais chanter les cigales, et sur le mur de couleur de miel, de petits lézards gris immobiles, la bouche ouverte, buvaient le soleil. » On peut aussi y ramasser