Le Monde comme Volonté et comme Représentation

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Résumé

Schopenhauer, dans Le Monde comme Volonté et comme Représentation, vise à dégager un système, une pensée philosophique à appliquer pour expliquer le monde dans son entier ; il s’agirait donc d’un système organique qui permettrait de tout comprendre.

Schopenhauer ne reprend pas beaucoup les travaux des philosophes antérieurs, si ce n’est ceux de Kant, dont il essaie de vérifier certaines affirmations et dont il ordonne sa lecture et sa connaissance sans faille de l’œuvre. Il estime qu’il faut avoir lu la Critique de la raison pure pour bien comprendre Le Monde comme Volonté. Il estime d’ailleurs avoir suffisamment étudié les travaux de Kant pour avoir été « amené à y découvrir des erreurs considérables, qu[‘il] devai[t] isoler, accuser pour en purifier sa doctrine » ; il y apporte donc comme une correction.

Le prérequis que Schopenhauer exige de son lecteur est simple : il lui ordonne de lire une introduction rédigée quelques années avant, son essai intitulé Sur la vision et sur les couleurs, pour avoir une double lecture de son œuvre, et pouvoir lire et intégrer le système qu’il propose. Cette

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