2 Avril 1993 Assemblée Plénière

source principale d’obligation, l’acte juridique, ou la convention ou convention. Ces droits personnels sont crées de façon volontaire par les individus. Il y a manifestation de volonté adéquate qui fixe le contenu et les limites du rapport juridique. 2/ le fait juridique. On subit la situation. Un événement sur lequel la volonté n’intervient pas peut crée des obligations. Le fait juridique va lier les individus. Cette obligation fait naitre des droits personnels indépendants de la volonté des individus

père, seulement plus tard, le concubin demande l'annulation de la reconnaissance. Dans cette hypothèse, l'enfant perd tous les liens de filiation, il va ainsi prendre le nom de sa mère. Enfin, dans l'hypothèse d'une adoption. Si c'est une adoption plénière, c'est à dire que l'enfant perd tous liens avec sa famille d'origine et qu'il prend le nom de l'adoptant (nom du mari). En cas d'adoption simple, on ajoute le plus souvent le nom de l'adoptant à celui de l'adopté (nom d'origine plus le nom de l'adoptant)

a première fois en 1945 Sommaire : Introduction I - La naissance du débat 1) Inégalités hommes/femmes 2) Les premières manifestations 3) Les suffragettes II - L'élaboration de la loi 1) Discours des hommes politiques 2) Fondation de la loi 3) Réactions de l'Assemblée et des politiques III - Les femmes aujourd'hui 1) La place des femmes en politiques 2) Participation des femmes dans le vote 3) La journée de la femme Conclusion Introduction : En France, le droit

tombe. La classe politique de la III république ne se montre pas toujours très responsable. On peut avoir parfois le sentiment que pour eux la politique est un jeu, un jeu dans lequel souvent les ambitions prennent le pas sur l'intérêt général. §2 La IV république Le constituant en 1946 a entrepris de rationaliser le régime parlementaire. La guerre vient de se terminer et le constituant veut réagir contre ce qu'il s'est passé. Rationaliser le régime parlementaire signifie le rendre rationnel

force législative, exécutrice et celle du juger” mais cette séparation n’implique pas un isolement total. D’après l’article 34 de la Constitution du 04 octobre 1958, il incombe au Parlement de voter la loi. Ce dernier peut être défini comme une assemblée délibérante ayant pour fonction de voter les lois et de contrôler le Gouvernement. Il est constitué de deux chambres : l’Assemblée nationale et le Sénat. L’Assemblée nationale est la première chambre du Parlement, elle est élue au suffrage universel

CONFERENCE DES PRESIDENTS DES ASSEMBLEES PARLEMENTAIRES EUROPEENNES (La Haye, 24 et 25 juin 1994) LES MEDIAS COMME FACTEUR DE POUVOIR DANS LA POLITIQUE Rapport de M. Frank SWAELEN, Président du Sénat belge Sommaire Introduction, I. Les médias sont-ils effectivement un facteur d'influence politique ? 1. Disparition de la presse écrite d'opinion par suite de la commercialisation 2. Dans notre civilisation de l'image, la télévision, par son effet d'entraînement sur les autres médias, conditionne

régimes Napoléonien : Consulat l’an VIII et du 1er Empire et du Second Empire 1848-1852. C 1791 : Monarchie constitutionnelle. On a une assemblée : le corps législatif qui s’occupe de la loi. Ensuite, le roi et ses ministres détiennent le pouvoir exécutif. Puis, on a les juges élus, qui émanent du peuple. Directoire 1795. Pouvoir législatif : deux assemblées qui sont le Conseil des Anciens et le Conseil des 500. 5 directeurs et les ministres ont le pouvoir exécutif. Les juges sont toujours élus

INTRODUCTION A. COOPERATION DU S.G.A.E. AVEC LE GOUVERNEMENT ET LE PARLEMENT FRANÇAIS 1. Coopération interministérielle 2. Information du Parlement français sur l'activité législative européenne 3. S.G.A.E. et Conseil d’Etat B. COOPERATION DU S.G.A.E. AVEC LES INSTITUTIONS EUROPEENNES  1. Relation avec le Parlement européen 2. Suivi de la présence française au sein des institutions européennes 3. Diffusion de l’information CONCLUSION

mars 1993 Date de création du document : année universitaire 2007/08 Consultez les autres fiches sur le site de la FDV : www.facdedroit-lyon3.com 5 5 5 2 Crim., 21 juin 1990 B. LE FAIT DE LA CHOSE Civ. 2ème, 20 mai 1974 Civ. 2 Civ. 2 C. ème ème 6 7 8 9 9 10 10 11 12 13 14 15 16 17 , 28 novembre 1984 , 13 mars 2003 LA GARDE DE LA CHOSE Ch. Réunies, 2 décembre 1941, Franck Civ. 2 ème ème ème ème , 16 mai 1984 , 12 décembre 2002 , 14 janvier 1999 , 28 février 1996 Civ. 2 Civ

n’existe pas, ou alors, est éteinte. Le retour à l’équilibre caractérisé par l’équité n’a réellement été possible que depuis 1993. Cela s’observe par le fait que l’erreur du solvens, assez difficile à prouver, n‘a été acceptée, comme permettant la répétition que depuis le revirement de jurisprudence effectuée par la Cour de cassation, réunie en assemblée plénière, le 3 avril 1993. Dès lors, le solvens n’est plus obligé de prouver sa faute. L’indu subjectif concerne plus légèrement l’équité. En effet