24 Juin 1968 Distillerie Bretonne

conseils de préfecture, ancêtres des actuels tribunaux administratifs, n’ayant alors qu’une compétence réduite. Cette décision marquait l’aboutissement d’un processus historique de renforcement constant de la juridiction administrative. Les lois des 16-24 août 1790 et 16 fructidor an III avaient prévu que les contestations dirigées contre les décisions administratives devaient être adressées au ministre compétent, à charge pour lui et ses services de se prononcer sur ces contestations : c’était la théorie

droit spécifique, appliquées par des juridictions administrative. §2/ Un juge particulier pour un droit particulier. L’origine historique du droit administrative ce trouve dans la loi des 16 et 24 Aout 1790 qui disposait  et dont les interdictions ont été répété dans l’arrêt Pelletier. Loi des 16 et 24 Août 1790 : ‘‘les fonctions judiciaires sont distinctes et demeurerons toujours séparées des fonctions administratives, les juges ne pourront à peine de forfaiture troubler de quelque façon que se

Conseil Constitutionnel, Blocage des prix et des revenus, 30 juillet 1982 Mots clés : pouvoir règlementaire, domaine de la loi, domaine règlementaire, article 34, article 37 Faits : la loi consistait en un aménagement de l'ordonnance du 30 juin 1945 sur les prix et les revenus et mettait en place une amende encourue par les sociétés qui ne respecteraient pas ces prix. En instituant une amende contraventionnelle, le législateur a édicté une règle qui ne relève pas du domaine de la loi.

d’état du 3 juillet 2006. Cet arrêt pose le principe selon lequel l’état doit refuser l’extradition d’un étranger lorsqu’elle est demandée dans un but politique. C’est un principe fondamental reconnu par les lois de la république. Le conseil d’état du 24 mars 2006 consacre dans l’arrêt société CAPMG le principe de sécurité juridique posée par la convention européenne des droits de l’homme. 6) Les règlements Il s’agit d’une catégorie générique d’actes administratifs comme les décrets, arrêtés

l’organisme décisionnaire entre judiciaire et administratif. Le plus souvent, c’est le législateur qui qualifie et elle s’impose au juge administratif En cas de silence des textes, c’est la juridiction selon la technique du faisceau d’indices. CE 10 juin 1913 Tery : affaire de conseil académiques. CE 2 février 1945 Moineau concernant les chambres disciplinaires de l’ordre des médecins. Le Juge s’interroge ensuite sur le fait de savoir s’il s’agit d’une juridiction administrative relevant de sa compétence

existe un rattachement indirect entre l’activité à qualifier exercée par une personne privée et la personne publique le juge va identifier trois critères, trois indices permettant de déterminer la présence d’une activité de SP. CE Section 28 juin 1963 Narcy - l’intérêt général de l’activité - le contrôle de la personne publique sur la personne privée - la présence de prérogatives publiques Pendant près de 30 ans, ces trois critères lus en combinaison se sont avérés indispensables

les conditions de préparation et d’organisation des travaux du Conseil 181 Rapport des Commissaires aux Comptes 202 Rappel des dividendes distribués au cours des cinq derniers exercices 203 Inventaire des valeurs mobilières au 30 juin 2013 204 Rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes annuels 205 Rapport spécial des Commissaires aux Comptes sur les conventions et engagements réglementés 42 188 Résultats financiers au cours des cinq derniers exercices

sur le contrôle interne et la gestion des risques Information financière et comptable Rapport des Commissaires aux Comptes Rappel des dividendes distribués au cours des cinq derniers exercices 25 27 Inventaire des valeurs mobilières au 30 juin 2010 Rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes annuels Rapport spécial des Commissaires aux Comptes sur les conventions et engagements réglementés 36 160 43 45 46 6 ASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIXTE Ordre du jour de l’Assemblée Générale

judiciaires L’Ancien Régime connaissait un système de confusion des pouvoirs : le Roi, ses agents (officiers de justice, intendant, sénéchaux…) mêlaient compétences administrative et compétences judiciaires. La Révolution française par les lois des 16 et 24 aout 1790 posa le principe de la séparation des autorités administratives et judicaires. Ce principe sera considéré comme une interdiction pour le juge judiciaire de s’immiscer dans l’action de l’administration, de connaître des contentieux provenant

législateur opèrent une distinction entre les juridictions civiles et pénales. Les juridictions civiles peuvent seulement interpréter les actes réglementaires. Elles ne sont pas compétentes pour apprécier la légalité des actes administratifs (T. confl., 16 juin 1923, Septfonds : Rec. CE 1923, p. 498 ; GAJA, n° 42) à moins que l'acte porte gravement atteinte au droit de propriété ou à la liberté individuelle (T. confl., 30 oct. 1947, Épx Barinstein : Rec. CE 1947, p. 511 ; RD publ. 1948, p. 86, note M. Waline