3e Civ 20 Mars 2002

14 de la Convention européenne des droits de l’homme du 4 novembre 1950 si elle ne prend en compte que la nationalité des pensionnés (CE, Assemblée du contentieux, 30 novembre 2001, Ministre de la défense et autre contre Diop, R.F.D.A. mai et juin 2002, n° 3, conclusions Jean Courtial, p. 57 : la C.E.D.H. interdit sur le fondement de cet article 14 toute discrimination pour les droits qu’elle reconnaît). Dans un tout autre domaine, la loi française s’est montrée longtemps très dure (mais c’était

Professionnel) B2C : Business to Consummer (Commerce de Professionnel à Particulier) BDT : Bureau de Développement de Télécommunication BIAC : Banque Internationale Africaine pour le Congo BVP : Bureau de Vérification de Publicité C. civ. : Code civil C.C.F. : Code civil français C.C.Q. : Code civil Québécois Cass. : Cassation CCCL3 : Code civil congolais livre troisième CDMA : Code Division Multiple Access, en français Accès Multiple par Répartition

elles sont muettes sur la question du moins pour ce qui est d’une définition du délit de presse. La loi 60-12 du 30 juin 1960 parle plutôt « des crimes et délits commis par la voie de la presse ou par toute autre moyen de publication ». La loi 97-01 du 20 août 1997 n’est pas plus explicite. Elle parle « des crimes et délits commis par les moyens d’information et de communication audiovisuelle » sans une définition du délit de presse en soi. On retrouve dans cette dynamique les délits contre les

règles = comment une fois né, vie, se transforme, change, voyage, s'éteint. Bibliographie: Tome 3 RGO Savaux et F. RGO Jérome François TD: 1e séance = 1e partie: points fondamentaux de L2: patrimoine + différentes formes d'obligation 1e ch. civ.1972 Bulletin Cass n°50 le débiteur répond de chacune de ses dettes sur n'importe lesquels des actifs qui composent son patrimoine. Rechercher une illustration récente de la possibilité de limiter conventionellement le recours du créancier dc de

le reflet d’une société, il évolue avec l’histoire. La Révolution française est une césure pour le droit des biens A/La période prérévolutionnaire 1) Le droit romain des biens *Connait pas le droit subjectif Droit qui s’étale sur presque 20 siècle. On s’intéressé au droit romain classique. Le droit romain ne connait que les actions en justice ; très peu de personnes juridiques étaient capables. C’est le patriarche qui peut agir pour protéger les biens de la famille (père de famille) ;

Pour revoir ou approfondir : – M. Douence, M. Azavant, Institutions juridictionnelles, Cours, Dalloz, 2010. – A. Héraud, A. Maurin, Institutions juridictionnelles, Aide-mémoire, Sirey, 8e éd., 2010. – N. Fricero, Les institutions judiciaires, Gualino, 3e éd., 2010. – F. Kernaleguen, Institutions juridictionnelles, Litec, 4e éd., 2008. – R. Perrot, Institutions judiciaires, Montchrestien, Précis Domat, 14e éd., 2010. – A. Varinard, S. Guinchard, G. Montagnier, T. Debard, Institutions juridictionnelles

l'acte juridique conclu sous l'empire d'un trouble mental dans un nouvel article 1109. La seconde difficulté est relative à l'absence de rencontre des consentements, lorsque les deux parties n'ont pas voulu la même chose. Il y a bien une apparence de 20 contrat, mais celui-ci repose sur un malentendu, ce que l’on traite habituellement au titre de l'erreur-obstacle. Afin d'envisager cette situation qui, le plus souvent, reste étudiée avec la théorie de l'erreur, un article 1109-1 est prévu. Enfin

belles-filles doivent également, et dans les mêmes circonstances, des aliments à leur beau-père et belle-mère, mais cette obligation cesse lorsque celui des époux qui produisait l’affinité et les enfants issus de son union avec l’autre époux sont décédés ». 20 Pas d’obligation alimentaire avec le nouvel époux, épouse du parent avec lequel vous vivez.  Cour d’appel de Paris, 19 mai 1992. D.1993, Sommaire 47, observation GRANET. B – LES CIRCONSTANCES Il faut que l’un des membres de la famille soit dans un

....................................................................................... 19 ARTS. ...................................................................................................................................................... 20 HISTOIRE ET GRANDES FIGURES. ........................................................................................................... 21 SOCIÉTÉ ET MÉDIAS. .......................................................................................

médecins et sages-femmes commettent des erreurs qui tuent l’enfant. La cour d’appel a estimé qu’il y avait homicide involontaire car l’enfant avait la capacité de survivre par lui-même disposant d’une humanité distincte de celle de la mère. Le 25 juin 2002 la cour de cassation casse la décision de la cour d’appel et annule l’homicide involontaire « Il y a un principe d’interprétation stricte du droit pénal et au nom de ça le juge n’a pas le droit d’incriminer des gens alors que dans les règles de loi