Cyberculture

cette activité qui ne comporte - mais ça, ce n’est que mon avis - qu’un risque sérieux : l’emprisonnement. D’ailleurs, la chose est précisée dans la postface plus adroitement que je le saurai faire.Voilà un livre à lire dans la foulée de Chaos et cyberculture de Thimothy Leary (même éditeur, 160 FF, avec une interview de Burroughs par Leary, ce qui justitife en soi l’achat du pavé) si l’on veut se payer une bonne tranche de plaisir économique. La plupart des livres des éditions du Lézard sont disponibles

sur quel- 3. 4. N. Ethuin et R. Lefebvre, 2003, « Les balbutiements de la cyberdémocratie électorale », V. Serfaty éd., L’Internet en politique, Strasbourg, Presses universitaires de Strasbourg, p. 158. Voir G. Otman, 1998, Les mots de la cyberculture, Paris, Belin, p. 284. 12 • La politique mise au Net Analyse sémiolinguistique des pages d’accueil ques rubriques de premier plan (« Votations fédérales », « Le bulletin vert »…). Mais le haut de sa page contient également une seconde

décennie qu’Internet est l’objet d’une polémique : d’un côté, on retrouve le camp des pessimistes, qui pensent que l’usage répandu du Net constitue une menace pour le lien social et, de l’autre côté, le camp des optimistes, qui soutiennent que la cyberculture favorise l’unification de l’humanité et, en conséquence, l’avènement d’un monde meilleur. L ’objectif de cette recherche n’est pas de confirmer ou de réfuter l’une ou l’autre de ces logiques discursives, mais bien d’observer s’il existe, dans les

PPII, c’est-à-dire celui qui est Planétaire, Permanent, Immédiat et Immatériel : « Tout a désormais tendance à s’organiser en fonction des critères PPII : valeurs boursières, valeurs monétaires, information, programmes de télévision, multimédia, cyberculture, etc. C’est pourquoi on parle tant de « globalisation » ou de « mondialisation »16. Ce système relève de deux paradigmes : celui de la communication et celui du marché. Le premier remplace l’idéologie du progrès tandis que le marché remplace celui

conscience du ridicule ? Pourquoi les animaux seraient-ils seulement des animaux ? L’espace à l’épreuve de l’animalité La dette de l’astronaute Buzz Aldrin envers les chimpanzés Raisons et déraisons des revendications animalières Les animaux de la cyberculture LA PLACE DE L’ANIMAL DANS LES SOCIÉTÉS HUMAINES SuperGoofy De l’animalité au statut éthique de l’animal De l’animal en général L’animal at-il été créé à l’image de l’homme ? Batman, un héros trop humain Les relations homme-animal en milieur urbain

Cyberspace, the world in the wires, Chichester, Wiley and sons. KITCHIN, Rob et James KNEALE, (dir), 2002, Lost in space, geographies of science fiction, Londres, Continuum. LA CHANCE, Michaël, 2006, Capture totale, Matrix, Mythologie de la cyberculture, Québec, Presses de l'université Laval. 139 Géographie et cultures, n° 61, 2006 LEVY, Pierre, 1995, Qu'est-ce que le virtuel ?, Paris, La découverte. LIGHT, Jennifer S., 1999, "From cityscape to cyberscape" dans M. Crang et al., Virtual

pour travailler à un corps capital lié à l’individualisme qui me sert à construire mon identité. Avoir un corps : capital corporel et isolement du corps. Capital à échanger (ex : don d’organes) Capital à faire fructifier, le corps adversaire, cyberculture : le corps est « en trop » : dualisme cartésien : le corps est la part faillible de l’homme. Le crps surnuméaire L’hybride, le cyborg = le mélange de deux corps qui vont se fusionner parfaitement. Très utiliser pour les mélange Homme-machine :

acteurs de la « cyberéconomie ». Qu’est ce que la cyberéconomie ? Issu de la science fiction, l’adjectif Cyber est devenu préfixe pour qualifier les objets, lieux ou évènements liés de près ou de loin à internet. On parle ainsi de « Cyberespace, Cyberculture, Cybervente …». La cyberéconomie représente donc l’économie générée par les différents acteurs (entreprise ou particulier), qui disposent d’une présence en ligne et/ou ont recours à internet pour effectuer leurs opérations commerciales. Page 2

permet d'accéder augmente de manière vertigineuse. Mais si l'on prend l'autre dimension de la culture - celle de la durée -, les choses se compliquent. Il n'y a pas de culture sans permanence et sans accumulation. Or le propre d'Internet et de la cyberculture est au contraire de se faire et de se défaire constamment, de nier l'idée même d'accumulation. Il n'y a pas de stock, pas de pérennité, il n'y a que des flux. Si ce côté mouvant a quelque chose de séduisant par rapport à une certaine mode actuelle

 http://www.cap.eca.usp.br/wawrwt/textos/karen1.html  http://biblio-fr.info.unicaen.fr/bnum/jelec/Solaris/d07/index.html  http://www.freescape.eu.org/biblio/article.php3?id_article=210  http://www.archipress.org/levy/cyberculture/cybercult.htm  http://www.olats.org/livresetudes/etudes/monstration/index.php GLOSSAIRE A Activation : MULTIMÉDIA - (n.f.) Action d'un utilisateur sur une partie ou un élément d'une interface graphique entraînant une réponse précise