Cyberculture

l’information, les médias sociaux sont susceptibles jouer un rôle en matière de culture, une « culture participative, basée sur une mobilisation informationnelle par le bas (Cardon et Granjon, 2010, pp. 137-138) »57, ce qu’on a tendance à appeler « cyberculture ». Celle-ci est sujette à un double discours. Pour le discours pessimiste les technologies de la communication sont « à la source d’une idéologie centrale qui conduit à la désinformation des citoyens».58  Quant au discours optimiste, il considère

Qualitative Marketing Research, 8, 2, 128-141. Belk R.W., Wallendorf M. et Sherry, J.F. (1989), The Sacred and the Profane in Consumer Behavior: Theodicy on the Odyssey, Journal of Consumer Research, 16, 1-38. Bell D. (2001), An Introduction to Cybercultures, London & New York, Routledge. Boje D.M. (2001a), Introduction to Deconstructing Las Vegas, M@n@gement, 4, 3, 79-82. Boje D.M. (2001b), Las Vegas Striptease Spectacles: Organization Power over the Body, M@n@gement, 4, 3, 201-207. Bouchet

technologies de communication font circuler la culture. Ils jouent un rôle dans la circulation de la culture dans la civilisation. Par exemple, la culture fast-food est passée par la culture du cinéma. On dit aussi que grâce à internet il y a une cyberculture mondiale qui commence à naître, ce qui est totalement fort. D’un pays à un autre la configuration est très différente. La culture nationale est très forte. L’iotacisme (personne qui vit H24 devant l’ordinateur) au japon est très fréquent alors

sont américaines. * Multiculture : * Culture d’élite : gd fonda° américaines : Carnegie, Guggenheim, Moma. * Moteur des marchés de l’art. * Culture de masse : Hollywood → massivement exportée. * Cyberculture : gd navigateurs Internet sont américains : Firefox, Explorer, Netscape. USA se veulent porteur d’un modèle : * Ethique protestante du travail : Max Weber “work ethic”. * Libéralisme dans la société : * Relation de méfiance %

la vérité profonde du texte achevé [...] Car on ne peut logiquement fonder le sens d'un texte sur les refus à l'aide desquels il s'est constitué." Une telle assertion va d'ailleurs à l'encontre des théories conjointement cognitive et "de la cyberculture" de J.-L. Lebrave, pour qui il y aurait isomorphisme entre la structure du brouillon et celle de l'hypertexte" qui le retranscrit; et "fidélité du brouillon et de l'hypertexte aux processus mentaux" des scripteurs; si bien que "plus naturel

de l'art de se trouver un merveilleux mode de diffusion. Puis, l'Internet se développe de façon considérable et commence à toucher une part assez importante de la population mondiale, au point qu'une culture de l'Internet se développe. C'est la cyberculture. Ce nouveau média faisant des émules, de nouvelles formes d'art sont inventées, propres à l’Internet. Ainsi, Internet constitue aujourd'hui pour le domaine de l'art un nouveau et très efficace moyen de diffusion. Mais, surtout, il constitue un

Xavier Molénat ; « Ecologie et démocratie : Pour une politique de la nature » ; « Sphères et réseaux : deux façons de saisir le global » • Lévy Pierre – - Livre numérique : « Sur les chemins du virtuel » - Textes en ligne : « Essai sur la Cyberculture : L’universel sans totalité » • Moulier Boutang Yann – - Conférence en ligne sur lacantine.ubicast.eu (la cantine numérique), « Singularité technologique et capitalisme cognitif » - « L’abeille et l’économiste », Carnet Nord, 2010 Paris

est   devenu   participatif.   Au   début   des   années   2000,   de   simples   utilisateurs,   les   internautes   sont   devenus   acteurs.   C’est   la   naissance   de   la   cyberculture,   grâce   notamment   à   l’utilisation   faite   des   CMS   (systèmes   de   gestion   de   contenu)   qui,   comme   les   weblogs   (qui   deviendront   les   blogs)  ont  facilité

une institution d’exposer ses biens et ses services. 9 Stockinger, Peter. Les sites web : conception, description et évaluation, 2005. p. 24. Voss, Andreas. Dictionnaire de l’informatique, 1998. p. 257-258. 11 Otman, Gabriel. Les mots de la cyberculture. 1998. p. 355-356. 10 24 1.2 Page Web : C’est le fichier HTML consulté à l’aide d’un navigateur. Lorsque nous référons une page web, nous parlerons de la « page » affichée à l’écran par le navigateur.12 Ce terme a une signification pratique

humaine[46]. Cela aurait une variante postmoderne : le sublime du dégoût de soi[47], comme cela se lirait encore, selon une réforme de la lecture du sublime moderne de Fredric Jameson, dans la littérature post-moderne et dans sa représentation de la « cyberculture » et de son infini[48]. Il faudrait lire là que le commun est identifié à l'impouvoir de l'homme même, qui, dans cet impouvoir, perçoit cependant une dimension de grandeur. Ce serait, dans chaque cas, poursuivre avec une version christianisée du