Absolutisme Et Despotisme

droit, construction de la loi, définition de la souveraineté ? Qu’est ce qu’un roi ? Etc. 2. Démarche comparatiste, il n’y a pas de singularité absolue de la monarchie française, ne pas avoir seulement Louis XIV en tête, les choses définitifs, absolutisme au sens de pouvoir total non relativiser tout ca ! Louis XIV n’a pas de TGV, n’a pas Internet et pour envoyer un ordre à Marseille il lui faut 3 semaines. Il y a 50 mille fonctionnaires, officiers pour contrôler 20 millions habitants comme aujourd’hui

refusé influence de quiconque, intérieure comme extérieure. Ainsi tout le monde se soumet au roi car il a le pouvoir absolu La cérémonie du sacre joue donc un rôle important -> On identifie le roi à la loi => Bodin = théoricien de cet absolutisme royal Cf : Louis XIV « Si le roi veut, le droit peu » il y a donc une réécriture constante entre le pouvoir et le sacré. Elle se fait par une symbiose entre le christianisme et l’antiquité -> aboutit à une monarchie de droit divin B) La

dieux (idéal de justice au bénéfice des hommes pour le bien commun de la société). - le droit vient des dieux - la fonction royale : le pharaon est responsable devant les dieux de ses actes. B.Les droits de l'ancien empire Absolutisme monarchique : ce n'est pas du despotisme dans la mesure ou le pharaon connait les limites de son pouvoir : - limite morale (il doit respecter les dieux car il agit pour eux) ; - limite politique (le pharaon doit se comporter de manière juste envers ses sujets)

absolus. On a une théorie du pouvoir fausse, les rois revendiquent le pouvoir absolu avec tous les caractères cités plus haut. L’absolutisme est un système de gouvernement dans lequel le roi a un pouvoir sans contraintes et sans contrôles (absolutisme = despotisme voir dictature). Le roi n’a de comptes à rendre qu’à Dieu. Il y a quand même des limites telles que les lois fondamentales et les privilèges, il doit respecter les coutumes. Cette monarchie est de droit divin, elle tire son pouvoir de Dieu

tentative de souveraineté populaire. Dans la périodisation, un moment de rupture est donc un moment de définition dans le temps. Exemple de la Renaissance : rupture épistémologique, rupture avec l’Eglise, avec le féodalisme, guerres de religion, absolutisme,… L’ordre établi se désagrège ; les villes s’épanouissent dès le 12e siècle, c’est la naissance du Tiers Etat, de la bourgeoisie (qui habite le bourg, la classe possédante). En 1789, on atteint les limites de l’absolutisme : révolution politique

s'absente, la société politique supplée aux insuffisances du pur état de nature (dans sa violation par exemple), en établissant un législateur reconnu, un juge ou un pouvoir exécutif. Elle doit protéger les propriétés des individus, exclut tout despotisme, demeure néanmoins toujours seconde par rapport au droit naturel qu'elle a pour fonction d'accomplir (Locke) • Une vertu artificielle et conventionnelle Il y a en l'homme un sens moral pour autrui, la sympathie, d'où la justice

matérialisme, son individualisme et son libéralisme, son athéisme et ses critiques contre l'autorité religieuse, contre la foi qu'il n'est pas loin d'assimiler parfois à une croyance aux spectres et aux fantômes, son anticlérica- lisme, mais aussi son absolutisme, sa "tyrannophilie", à notre époque son "totalita- risme", son positivisme juridique radical5. Nous voudrions aborder un aspect particulier, encore que central, de la pensée hobbésienne, le pouvoir6. Faire de Hobbes un théoricien du contrat

radicale). 1°) Un théoricien de ma décentralisation : Alexis de Tocqueville De la démocratie en Amérique De l’Ancien Régime à la révolution Écrivain du début du 19e, libéral, en faveur de la décentralisation, qui est un rempart contre le despotisme de l’État. Il estime qu’il y a contradiction entre liberté et démocratie, car il estime que la demande de liberté associée à l’égalité entraine l’individualisme. Puisque les individus ont les mêmes droits, ils n’ont plus besoin des autres. Il y

fait défaut ». Cardin Le Bret (1558-1655), juriste. Il compare la souveraineté avec le point en figure géométrique en disant : « la souveraineté est non plus divisible que le point en géométrie » in De la souveraineté du roi en 1632. § 2 : un absolutisme doctrinal A. L’absolutisme de droit divin Le but est de former une doctrine spécifique à la France. Cette doctrine est servie par Charles Loyseau sous Henri IV, par Cardin Le Bret sous Louis XIII et par Bossuet (1627-1704) sous Louis XIV. Bossuet

maintien de ladministration. La puissance excutrice des choses dpend du droit civil. Le pouvoir judiciaire Sert trancher les litiges. La confusion des trois pouvoirs engendre la tyrannie. La runion de ces trois pouvoirs dans la mme main engendre le despotisme et la tyrannie. Cela est radicalement incompatible avec la libert. Si un organe cumule lexercice de un ou deux pouvoirs, tout est perdu. Il faut viter larbitraire Le remde on spare les trois pouvoirs. 3. La sparation organique de lexercice des fonctions