Accident de criticité

l’établissement". La gestion des risques est réactive et préventive. Elle combine en effet : • Une approche réactive qui s’intéresse a posteriori aux événements indésirables survenus ou avérés. Elle vise à limiter le nombre des événements (incidents, accidents) ou à réduire les conséquences dommageables de ceux-ci par la mise en place d'actions correctives. • - Une approche préventive ou anticipative, qui identifie a priori les événements redoutés ou événements indésirables par une analyse du système et

qu’est la crise. Toutefois, tenter de la définir est un exercice complexe car il s’agit d’un phénomène à multiples facettes, perçu différemment selon les époques ou l’appartenance culturelle A-1- Qu'est-ce qu'une crise ? La crise dépasse le simple accident. Elle est un événement imprévisible et brutal, déstabilisant et mettant en danger l’entreprise. Elle n’a ni limite géographique ou temporelle, ni déroulement logique prévisible. Elle est inhérente à toute forme d’organisation. A-2- Les attributs

internes | Frais encourus lorsque le produit ne satisfait pas aux exigences de qualité avant d’avoir quitté l’entreprise. | RebutRetouches, reconditionnement Déclassements sur produits finis ou en cours Pertes dues aux achats inemployablesPollution, Accident du travail, absentéisme | Couts des anomalies externes | Frais encourus lorsque le produit ne répond pas aux exigences de la qualité après avoir quitté l’entreprise. | Couts de garantie(SAV)Réclamations clientsRemises ou RistournesPénalités de

organisation, management, gouvernance et pilotage, … • Externes : inflation, krach boursier, conflits, émeutes, grèves, terrorisme, vandalisme, pénurie énergétique, cyber attaques, évolution réglementaire, inondation, incendie, tempête, pandémie grippale, accident NRBC, … • Internes : incendies, dégâts des eaux, pannes d’équipements, légionellose, intoxication, défaillance client, défaillance fournisseur critique, réclamations clients, retour produits, perte ‘Homme Clé’, arrêt informatique, … • Spécifiques

actuelles pesant sur la production en flux tendu.10 De manière sélective, suivant la criticité du matériel : Le parc matériel ayant été analysé et évalué en fonction de la criticité des équipements. Il devient donc légitime de mettre en œuvre une politique de maintenance préventive pour les matériels critiques et alors de choisir une politique exclusivement corrective pour les seuls équipements dont la criticité est mineure voire nulle. En tant que complément résiduel de la maintenance préventive

Dangers (ADP) Cette méthode a deux objectifs : 1-identifier les dangers d’une installation et ses causes ; 2-évaluer la gravité des conséquences liées à aux situations dangereuses et aux accidents potentiels. On en déduit des actions correctrices éliminant ou métrisant les situations dangereuses, et les accidents potentiels. Elle permet, entre autre, de définir des dangers majeurs, des entités à analyser en détail, en faisant appel à d'autres méthodes (Méthode de l'Arbre des Causes 'MAC'). Figure2

Cd permet de déterminer la zone du coût de défaillance optimum. Le responsable maintenance devra donc orienter sa politique de maintenance en fonction de la criticité de ses équipements : • Une faible criticité est synonyme de Ci faibles, donc faire du préventif peut coûter cher, • Inversement, une forte criticité génère des Ci importants et il est alors intéressant d’appliquer une méthode de maintenance préventive. [pic] - Optimisation du coût de défaillance

pompes alimentaires : ....................................... 50 III.6 Analyse des rapports d’expertises : ................................................................. 51 III.7 Analyse des Modes de Défaillances de leurs Effets et de leurs Criticités (AMDEC) : .................................................................................................................. 52 III.8 Proposition d’amélioration : ............................................................................ 54

…etc.). Enfin, le risque a pour corollaire le concept « vulnérabilité », lequel repose sur la réunion du tétraèdre : A) Objet de risque : la ressource exposée au risque ; B) Facteur de risque : déclencheur de l’événement ; le C) Criticité : l'intensité réalisation du risque. la de Fig.06 : Pyramide de la vulnérabilité 4. DEFINITION MATHEMATIQUE : D’un autre côté, le risque est l'espérance mathématique d'une fonction de probabilité d'événements1. En termes clairs, c’est

activités composant chaque processus. • Identifier l’ensemble des risques internes et externes grâce à un brainstorming des acteurs et/ou des propriétaires des processus (sans nécessairement impliquer le contrôle interne). • Évaluer le degré de criticité à dire d‘expert : probabilité de survenance (très probable, peu probable, improbable, non connue) et degré de gravité (intolérable, très élevé, moyen, faible). • traiter en priorité les risques majeurs (voir l’exemple du radar des risques « paie