Accor Portefeuille De Marque

Préface L’évolution des métiers de la vente impose au titulaire du diplôme de Technicien Spécialisé en Commerce de dépasser la simple fonction de prospecteur/négociateur sur un secteur géographique pour épouser celle de véritable responsable de portefeuille clients. L’accent est dès lors mis sur la connaissance approfondie et systématisée du client, une évaluation de la rentabilité et du risque qui lui est attaché et l’allocation des ressources commerciales sur des plans d’action réfléchis. Située

avec 350 millions de cartes. Démarrés dans les années 80 les programmes de fidélité dans la grande distribution en France concernent aujourd’hui la majorité de la population et dans la plupart des cas, chaque consommateur est « fidèle » à plus d’une marque. De nos jours presque 75% des consommateurs appartiennent à un ou plusieurs programmes de fidélité. Selon une étude de Vandercammen et Jospin-Pernet sur la grande distribution, en France, en 2003, 88% des foyers possédaient au moins une carte de

français ont, comme leurs homologues européens, réduit leur effort d’épargne au bénéfice de leur consommation. Leurs choix de placements se sont orientés vers les produits bancaires liquides au détriment de l’assurance-vie. 37 Épargne et choix de portefeuille des ménages : approches micro et macroéconomiques Vladimir BORGY, Luc ARRONDEL et Frédéric SAVIGNAC Les comportements d’épargne et d’allocation d’actifs des ménages sont des éléments clés pour le financement de l’économie. La récente crise financière

les entreprises et la création d’emplois et de richesses pour les pays. → manager les actifs immatériels des connaissances (capital technologique, capital marque, capital clients, capital humain…) prend une part croissante dans les organisations et se retrouve dans la valeur de l’offre faite par les entreprises à leurs clients sous forme de marque, de services et d’information. L’immatériel devient également un élément majeur de la valeur de l'entreprise, tant dans sa valorisation financière que dans

planète, afin de disposer d’une plus large gamme de financements, et bénéficier d’un référentiel comptable commun satisfaisant les différentes demandes locales. L’adoption des normes IFRS permet de sortir d’un système comptable ancien essentiellement marqué par l’enregistrement des opérations au coût historique, et de mieux rendre compte de la réalité économique (ex : comptabilisation des engagements de retraite). 8 La mise en place des normes IFRS avec la généralisation de la « fair value »,

Evént Références 5 objectifs 1. Simuler un discours commercial "objectif". Loin du monde merveilleux de la publicité. 2. Influencer les tendances de « Inception, du grand Di Caprio » Télérama consommations et les opinions de société 3 - Rendre la marque publicitaire sympathique… et indispensable Le marketing du sens : je n’achète pas un produit, mais des valeurs et sa philosophie. J’ai une forte relation émotionnelle. Consommer c’est exister. Pourquoi acheter une Ferrari ? Renault propose aussi des

contribue à l’enrichissement d’une offre en réponse (ou par anticipation) aux besoins et attentes des consommateurs, des usagers et des citoyens. Il a pour conséquence de générer un impact positif sur 4 leviers des organisations qui sont l’offre, la marque, la relation client et les processus. Il joue un rôle important dans la création de facteurs déterminants pour la compétitivité des organisations. Le design est partout. Il s’intègre autant aux activités des entreprises privées que publiques

du chiffre d’affaires par branche d’activités en 2010 »......……….…12 Schéma 3 : « Présentation de la branche SNCF Voyages »……………...……………………...14 Schéma 4 : « Résultats des ACV à fin 2010 »……………………………………………...…...16 Schéma 5 : « Matrice BCG du portefeuille d’activités de l’ACV Est »………………………...24 Schéma 6 : « Route Nord-Sud du TGV Rhin-Rhône »………………………………………….56 Schéma 7 : « Route Est-Ouest du TGV Rhin-Rhône »………………………………………….56 Schéma 8 : « Typologie des visiteurs à un salon »……………………………………………

consolidation Un double mouvement de recentrage et de consolidation relie les fusions des années 80 et 90 à celles de 1946 à 1975. Jusqu'en 1975, l'économie mondiale croît fortement et les entreprises construisent des empires en diversifiant leur portefeuille d'activités. Vers la fin des années 70, la croissance se ralentit, les marchés commencent à être saturés, la concurrence s'intensifie. Les entreprises ont de plus en plus de mal à être compétitives sur plusieurs fronts. Elles se rendent compte

fusions  alors  que  l’une  des  organisations finit par être absorbée par l’autre, et certaines acquisitions ne se  traduisent pas du tout par une fusion, l’entreprise acheteuse prenant soin – généralement dans une démarche de gestionnaire de portefeuille (voir la section 7.6.2) –  de l’isoler du reste de son activité afin de pouvoir ultérieurement la revendre. De  fait, faute de pouvoir faire la distinction entre les deux approches, on parle souvent  de  « fusions/acquisitions » ou  de « M&A »