Action Civile Accessoire

nécessairement et juridiquement une novation. La distinction entre novation et simple modification est très importante car si l’obligation simplement modifié subsiste avec tous ces caractères et tous ces accessoires. L’obligation novée au contraire elle est éteinte avec toutes les sûretés qui en étaient les accessoires, et tout ce qui la caractérisée ne se retrouvent pas en principe dans l’obligation nouvelle. Il est fondamentale de bien distinguer la novation de la simple modification de l’obligation pour

DROIT CIVIL – INTRODUCTION Le terme de contrats spéciaux est un terme qui désigne traditionnellement le droit spécial du contrat et qui comporte une part d’ambigüité qu’il faut tout de suite dissiper. En effet cette expression pourrait, prise dans certains sens, évoquer l’idée d’une série de contrats particuliers qui dérogeraient au droit commun du contrat, or il n’en est rien. Vendre, louer, prêter, construire, ou bien encore, représenter, transporter, transiger sont des opérations contractuelles

seing privé, dénommé «  cautionnement », à la demance de son beau-frère, M. Marin, président de la société Le Tricot. Cette dernière est une SA dont le capital est réparti entre les membres de la famille de M. Poulain, qui détient lui même 5 % des actions. Aux termes de cet acte, qu'il s'est contenté de signer, M. Poulain s'est engagé à rembourser toutes les dettes de la société Le Tricot, qu'elles qu'elle soient, envers la Banque La Bretagne, qui finance ladite société . Or, la situation de celle-ci

commercialité est liée à l’entreprise qui réalise des actes de commerces. Il est important de connaitre comment on détermine si un acte est un acte civile ou de commerce, c’est-à-dire les critères de qualifications des actes passés par l’entreprise. Section 1 : Les actes de commerces I. Les critères des actes de commerces L’acte de commerce s’oppose à l’acte civil (=acte qui est passé entre des particuliers pour leurs propres besoins personnels). RAPPEL : Acte juridique (conséquences voulues et fait intentionnel)

ou bénéficier d’une donation (art 906 c.civ). §2- La disparition de la personnalité juridique des personnes physiques A- Le décès La personnalité juridique des personnes physiques prend normalement fin avec leur décès. L’article 718 du code civil dispose en effet que « les successions s’ouvrent par la mort naturelle. » l’acte de décès permet d’établir la preuve de la mort. B- L’absence et la disparition Il y a des hypothèses dans lesquelles les personnes physiques sont privées de leur

internationale. § 1 : Distinctions droit commercial / droit des affaires / droit d'économie L'expression « droit des affaires » est souvent substituée à celle de « droit commercial ». Néanmoins, le droit commercial survit, souvent opposé au droit civil. Une nouvelle appellation a émergé, celle du droit d'économie qui pose la question de savoir s'il existe un véritable droit ou « branche du droit » de l'économie. Cette branche du droit serait alors à la frontière du droit privé et du droit public

actes de commerces Selon la conception objective, les actes sont commerciaux par leur nature même, et non en fonction du professionnel qui les accomplit. Ainsi, un acte de commerce par nature permet de qualifier son auteur de commerçant (par accessoire objectif). Les actes de commerces: Pas de définition précise de l'acte de commerce mais la loi nous propose une liste non limitative: - achat de biens meubles et immeubles destinés a la reventes - la location de meubles - toutes les entreprises

technique, pan du droit civil. En droit des biens est envisagé l’avoir. Il peut concerner un vaste champs d’étude, il peut regrouper toute les manière dont on acquiert la propriété, la succession par exemple, les donations, le contrat de vente, néanmoins dans ce cours, on en limite l’étude de la distinction entre les biens, a la propriété et ses démembrement et enfin a la possession, les autres parties sont étudier en tant que tel. L’évolution du droit des biens, le droit civil est en période de refonte

réponses qui, pour n’être pas identiques sur tous les points, procédaient d’une même inspiration, assez nettement restrictive. Cette approche a cependant été remise en cause récemment par deux décisions extrêmement importantes de la première chambre civile de la Cour de cassation. Celle-ci a d’abord, par un arrêt du 25 février 1997, abandonné sa jurisprudence antérieure selon laquelle il appartenait au patient d’établir qu’il n’avait pas été informé des risques de l’acte proposé. Elle affirme désormais

l’effet extinctif d’une compensation qui a déjà été opposée avec succès au créancier par un cofidéjusseur, la compensation valant paiement. Ce cofidéjusseur étant censé avoir payé l’obligation principale garantie, le créancier ne saurait poursuivre son action contre les autres cautions (et obtenir ainsi un second paiement) ». Ainsi, la compensation était assimilée à un paiement qui devait profiter à tous et pas seulement à la caution ayant invoqué la compensation. Cette jurisprudence a par la suite été