Action En Justice Et Droit Substantiel

                                     ECJS T°ES Sujet: Intérêt général s’oppose-t-il à l’intérêt individuel ? Tout d’abord il faut savoir que l’intérêt général ou intérêt public est une notion de droit public qui désigne la finalité des actions ou des institutions qui intéressent l'ensemble de la population. L’intérêt général s'apprécie à l'échelle d'une communauté, et l'intérêt public à celle d'un pays. L’intérêt individuel consiste au fait de ne voir le monde qu’en fonction de soi même et

I-LE DROIT DES PERSONNES 1. DROITS DE L' ENFANT : 1923 = Déclaration des droits de l'enfant : enfant est reconnu universellement comme un être humain à part entière 1945 = Ordonnance relative à enfance délinquante, prise en compte de l'age pour minoration des peines 1989= Convention internationale des droits de l'enfant : signée par + de 240 pays membres Art. 3 : Les états s'engagent à assurer à l'enfant la protection et les soins nécessaire à son bien être. 2. DROITS DES PERSONES

les conceptions du juge français la question de savoir si un événement de la célébration du mariage appartient à la catégorie des règles de forme ou à celle des règles de fond devait être tranchée par les juges français suivant les conceptions du droit français, selon lesquelles le caractère religieux ou laïc du mariage est une question de forme , le mariage civil contracté en France par les époux Caralanis- Dumoulin était valable conformément à la règle locus regit actum e) la méthode bilatérale

halshs-00197135, version 1 - 8 Jan 2008 Droit et sciences sociales Baudouin DUPRET INTRODUCTION halshs-00197135, version 1 - 8 Jan 2008 Le droit constitue l’une des formes majeures d’ordonnancement des relations sociales. A ce titre, il a fait l’objet d’élaborations philosophiques, doctrinales et techniques extrêmement variées et abondantes, qui visaient à exploiter ses ressources d’instrument d’intervention dans le domaine de la vie en société. C’est avec la naissance des sciences

France est singularisée par une histoire sociale intense. La mentalité et les pratiques des militants resteront imprégnés longtemps de la période de clandestinité des syndicats de 1791 à 1884. Le décret d’août 1790 avait reconnu à tous les citoyens le droit de s’assembler et de former entre eux les " sociétés libres " mais en réalité le code pénal prévoyait des peines rigoureuses en cas de cessation du travail. Pour se défendre des méfaits de la maladie les ouvriers créèrent des sociétés de secours, qui

d'exception. * on refuse tout autant de remettre ce contentieux de l'administration, aux mains de juridictions ordinaires (tribunaux judiciaires). Crainte des parlements d'ancien régimes (tribunaux) qui s'immisçaient dans l'action du roi (cf: Lit de justice). => ce double refus est posé par 2 textes fondateurs: Lois des 16 et 24 août 1790 + Loi du 7 fructidor an III. → pcipe de séparation des autorités administratives et judiciaires. En conséquence, se pose la question de savoir de qui relève

DROIT INTRODUCTION I - Le rôle du droit Le droit a pour objet d’organiser a vie en société Aucune vie en société ne serait possible sans un cadre défini de ce qu’il est possible ou non de faire. II- Distinction entre droit objectif et droit subjectif Le terme droit sert à désigner les concepts distincts • le droit objectif : dans son sens le plus général, le terme désigne un ensemble de règles destiné a organiser la vie en société. Ces règles sont nécessaires pour définir et

L’obligation, au sens du droit des obligations, est le lien par lequel une personne (créancier) peut exiger d’une autre (débiteur) la réalisation d’une prestation, une abstention ou un transfert de propriété. Ainsi définie, l’obligation présente 2 faces : une face active (la créance) et une face passive (la dette). Parce qu’elle permet d’exiger de quelqu’un quelque chose, l’obligation s’analyse en un rapport personnel. Il y a 5 sources de l’obligation : La loi : toute règle de droit énoncée par l’autorité

qu'elle a sur les militaires). Elle a pu servir de légitimation à l'esclavage, le vaincu devant se soumettre corps et âme au vainqueur (…) PLAN I) La guerre ne peut être juste A. La violence B. La guerre irrationnelle C. Une négation de la justice II) Un moyen en vue d'une fin juste A. Un moyen politique B. Le souci de l'intérêt commun C. La paix III) Des conditions pour un moyen juste A. La réglementation B. Un moyen temporaire C. La barbarie PEUT-ON PARLER DE GUERRES JUSTES

L’entreprise et la concurrence I) LES PRATIQUES ANTICONCURRENTIELLES A) Les ententes 1) principe de la prohibition (le droit communautaire et interne prohibent es ententes anticoncurrentielles). Les éléments constitutifs de l’entente : - Les formes de l’entente : o d’un contrat, écrit ou non (une convention). On distingue les ententes horizontales (entre des entreprises concurrentes), des ententes verticales (des entreprises à des stades