Allitération En F

l’ouverture. C) Un rêve empreint de lyrisme - Pronom personnel « Je », et dix occurrences de la 1re pers. - La molle douceur de l’allitération en [m] qui prolonge elle aussi l’homophonie « m’aime » / « même », et la répétition de «m’aime». Cette allitération se poursuivra dans certains des vers suivants [vv. 3, 4, 5, rime du vers 6, 7, 11], et elle paraît d’autant plus pertinente à souligner qu’elle apparaît dans « aime, femme, me, aimés, calme, blême » termes qui entrent tous dans l’orientation lyrique

puissance maléfique permettant de créer des lézardes. La forêt est également maléfique : les termes "percée" et "tortueux" sont descriptifs et symboliques : ils évoquent la souffrance ("tortueux" vient de "tordre"), évocation soutenue par les allitérations de dentales [t] ("sentiers tortueux"). Quant à la place, le participe présent "grouillant" offre l'image d'une foule impénétrable, sans visages puisque les hommes sont présentés par l'intermédiaire de la métonymie ("de capes et de chapeaux").

sensation visuelle * v. 12 : sensation olfactive (" parfum ") * v. 14 : auditive (" chant ") La rêverie s'épanouit en fonction de ses sensations. Les sensations sont mises en relief par un jeu d'échos noté par les assonances et les allitérations (f/v, l/r, m/n). Le poème fait écho à ce vers des " correspondances " de Baudelaire : les parfums, les couleurs et les sons se répondent ". Le vers de chute est le point d'apogée des sensations ; le rythme croissant 2+4+6 révèle l'extase du beaudelairien

v. 10 : sensation visuelle v. 12 : sensation olfactive (" parfum ") v. 14 : auditive (" chant ") La rêverie s'épanouit en fonction de ses sensations. Les sensations sont mises en relief par un jeu d'échos noté par les assonances et les allitérations (f/v, l/r, m/n). Le poème fait écho à ce vers des " correspondances " de Baudelaire : les parfums, les couleurs et les sons se répondent ". Le vers de chute est le point d'apogée des sensations ; le rythme croissant 2+4+6 révèle l'extase du beaudelairien

faire comprendre que le soldat qui est supposé être jeune et plein de vie tout comme l’est le décor qui l’entoure, est vulnérable. Ex : Comparaison au vers 10 «Souriait comme un enfant malade» Puis, Rimbaud utilise une allitération aux vers 11 et 12. Il répète donc la consonne «F» afin de non seulement donner une certaine musicalité mais aussi pour donner de l’impact à ces deux vers qui nous laisse présager la conclusion fatale du poème. Conclusion : Il veut insister sur le fait que ce jeune homme

il est victime de moqueries… - De plus, Baudelaire joue sur les sonorités avec une assonance en « en » Cette utilisation se dégrade pour être associé a des mots dont le sens et les connotations sont négatives. Nous pouvons aussi observer une allitération en « v ». Puis des sonorités désagréables avec l’assonance « e ». - Une ample phrase, bien balancée pour présenter l'oiseau en vol dans la première strophe ; - Une nouvelle phrase dans la deuxième strophe très ample mais cette fois avec une nuance

mangé son cœur. Métaphore des « bêtes » pour parler des femmes. Le rythme est irrégulier. Les césures ne sont pas régulières : Vers 5 à 6/6 Vers 6 à 4/2/6 Vers 7 à pas de césure Vers 8 à 6/6 Enjambement entre les vers 6 et 7. Au vers 6, les allitérations en ‘f’ et en ‘r’ soulignent le carnage. Premier tercet : Au vers 9, le cœur est un « palais flétri par la cohue ». Le palais a donc perdu toute sa splendeur à cause du carnage qui y a eu lieu. Cela souligne l’idée de la destruction qu’a causée la

Mollesse de l'intérieur du pain. Comparaison à une éponge. https://www.bacdefrancais.net/figures-de-style.phphttps://www.bacdefrancais.net/figures-de-style.phpSonorités : "feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées" -> Allitérations en [f] et en [s]. 4. Le flétrissement du pain "Lorsque le pain rassit". Champ lexical de la décrépitude : "fanent", "rétrécissent", "détachent", "friable". Ponge cherche donc à évoquer le pain dans tous ses états, il veut en fournir l'ensemble

tous les mots au pluriels -> accumulation « colis » , « câbles » -> hommes + objets sur le même plan -> lexique technique ! « tambours, plaques de tôles, barriques, vapeur » INDICATIONS AUDITIVES : Champ lexical du bruit : « tapage, bruissement » Allitération en « que » : « barriques, câbles, corbeilles » « Le tapage s’absorbait dans le bruissement de la vapeur » -> Flaubert = peinture de départ de machine à vapeur (ex tableau de la gare) ? Code d’interprétation réaliste -> roman doit être considéré

conspire à me nuire» (Racine). METHODE : il faut toujours interpréter les procédés que l’on relève. MAIS ATTENTION à ne pas donner des interprétations trop fantasques ou tirées par les cheveux pour les allitérations et assonances ! On peut également répéter le son d’une consonne, ce qu’on nomme une allitération : «Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes». (Racine). La paronomase consiste à utiliser des mots ou groupes de mots de sonorité très proche (des paronymes) ce qui donne un effet de