Allitération En F

Opposition : La mort Contrerejet « Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme/Sourirait un enfant malade, il fait un somme. » (v. 9-10) Effet : N’est pas rassurant sur l’état du soldat. Allitération des vers 11 et 12 Froid Effet : L’allitération en « f », renforce l’idée que le soldat a froid. Rythme brisé Effet : Elle soutient le fait d’une vie brisée, d’une façon tragique.

non tremblant : adj et non part présent, tremblement qui semble faire partie de l’essence même de ce vin), flamme, tordre, plus mouvement ondulatoire des longs cheveux. • Impression de mouvement vibratoire renforcé par - les sonorités : allitérations en v/f, et liquides l et r ; - le rythme ternaire du 1er vers ; enjambements sur l’hémistiche aux vers 1, 2 et 4. b) Une atmosphère de mystère Elle est donnée : • Par le moment : la nuit et sa lumière étrange : flamme, lune ; éclairage mystérieux

avec les personnages de plus en plus éloignés de l’agneau veut à tout prix faire porter la faute. • V.25. répétitions du déterminant possessif « vos » qui renverse les valeurs existantes, qui donne l’impression que l’agneau est le maitre + allitération en « v » • v.24 litote «  vous ne m’épargnez guère » = le loup se pose comme une victime pour légitimer son futur crime • argumentation sans fondement, basée sur des préjugés, des rumeurs avec l’impersonnel « on » du vers 26.

périphrases qui occultent le tir, le narrateur n'énonce pas clairement les faits et ne se montre donc pas coupable. Il y a une métonymie qui cache le fait : on ne parle que du bruit du tir et non du tir lui même : "le bruit", "sec", "assourdissant". Les allitérations en [s], [k] sont présentes pour décrire le son produit par le tir. L’antithèse « sec et assourdissant » met en valeur l’importance de ce tir. La seule expression reliée au tir, "la gachête a cédé", place l’arme en fonction de sujet et insiste

précision rhétorique et rythmique. Diderot pour rendre la scène plus sensible encore, n’hésite pas à utiliser les ressources du rythme : le mouvement ternaire de la première phrase qui monte en crescendo vers la profusion déréglée de la pluie et des allitérations avec les vibrantes et les sifflantes qui prolongent indéfiniment l’écho sonore du vent. La construction du décor, de la scène se fait en liaison avec une conscience indéterminée que le narrateur rejette en fin de phrase : « dont il est désespéré

2 :- Vers 8 à 12 : L’enfance vient déranger le calme de la campagnev8 : « les enfants » : Dynamique et plein de vie Le CCM « avec fracas » : indique qu’ils sont bruyants« L’école » peut crée un jeu de mot rappelant Les ColchiquesLes brutales allitérations occlusives en [k] et en [d] expriment le fracas des enfants et causent une rupture de tonalité avec l’environnement calme et bucolique de la campagnev9 : « hoquetons » : vêtements ruraux et « harmonica » : instrument de musique de campagne Ceux-ci

la réconciliation, dans ce contexte, l'armistice. Il est aussi prisonnier de cet amour : « je suis pris au filet des étoiles filantes » vers trente et un, « Comme un marin qui meurt en mer en plein mois d'août » vers trente-deux. On a ici une allitération en [m] qui insiste sur cet amour piège. « Tes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire », « Quand tu fais les grands yeux je ne sais si tu mens » : ces vers sont aussi la preuve de l 'amour que Aragon porte à Elsa, il perds la notion du temps

participes passes se rapportent à la beauté : « fleuries / flétries » -Les deux participes passes se rapportent directement aux fleurs : « épanies / cueillies ». Il sont tous places a la rimes du 2em2 et 3eme vers de chaque quatrain (sonorité en [f]). Cette identité est encore plus clairement mise en relief par la comparaison suggérée au début du 2eme quatrain. Cette figure est rendue insistante par l’adjectif « certain ». Une autre comparaison « comme fleurs » se trouve dans le dernier vers du

lexique de la chevelureEvocation de souvenirs, structure qui se clôt sur elle-même• Point de départ : la chevelure, métonymie de la femme• Musicalité, effet rythmique : répétition de verbes, rythme ternaire• émotion : échos sonores: Allitération en :- « m » > douceur - « f » > mélanges- « p, b » > bercements• paronomase : rapprochements sonoresPar sa structure fluide mais organisée à laquelle s'associent des effets de rythme et de musicalité, ce texte apparaît bien comme un poème en prose. Le

Pont Mirabeau A Sous le pont Mirabeau coule la Seine B Et nos amours C Faut-il qu'il m'en souvienne A La joie venait toujours après la peine D Vienne la nuit sonne l'heure D Les jours s'en vont je demeure E Les mains dans les mains restons face à face F Tandis que sous G Le pont de nos bras passe G Des éternels regards l'onde si lasse D Vienne la nuit sonne l'heure D Les jours s'en vont je demeure H L'amour s'en va comme cette eau courante L L'amour s'en va J Comme la vie est lente J Et comme l'Espérance