Ambivalence Du Rire

éclat) Pleur à grosse larmes , passe du rire au larme ,crie et s'agite pour protester .Apparition de l'angoisse du 8eme mois peur de l'étranger. 9eme à 10 mois les premiers interdits de l'adulte , il comprend le "NON". Il jette les objets=permanence de l'objet Fascination pour son image dans le miroir Fin de la 1er année :gére les interdits . 12eme à 18 mois developpe son autonomie .Motrice --expolre son environnement et donc les personnes Ambivalence entre autonomie et peur de l'abandon Frustration

mes yeux restaient fichés sur le lieu où était enfoui mon trésor, je vis subitement une petite personne qui ressemblait singulièrement à la défunte, et qui, piétinant sur la terre fraîche avec une violence hystérique et bizarre, disait en éclatant de rire: "C'est moi, la vraie Bénédicta! C'est moi, une fameuse canaille! Et pour la punition de ta folie et de ton aveuglement, tu m'aimeras telle que je suis!" Mais moi, furieux, j'ai répondu: "Non! non! non!" Et pour mieux accentuer mon refus, j'ai frappé

la tirade du nez, vers 311 - 365 Caractérisation : une tirade. Registre comique. Deux parties : variations sur le nez ; apostrophe à Valvert : un « morceau de bravoure ». Pourquoi un tel « morceau de bravoure » ? Ce texte semble-t-il susciter le rire ou l’émotion ? I Une tirade comique a) une tirade bien structurée -    sur le plan de l’énonciation : fait la demande et la réponse (se parle à lui-même ou vise un destinataire invisible ou universel ?), parenthèse où le locuteur semble jouer

les différents champs (un affect peut être en contradiction totale avec le contenu du discours). La dissociation mentale se repère à partir des signes suivant : -bizarreries (fou rire en contradiction avec la situation) -hermétisme (caractère énigmatique du discours) -détachement de la réalité (repli sur soi) -ambivalence (affirmation de 2 choses contradictoires en même temps) La dissociation mentale affecte ≠ domaines : affectif, cognitif, et comportemental. La dissociation mentale cognitive -préservation

de l’étonnement : « surprise, étonnement, croire, découvrait, voyant, figurez-vous, spectacle » ; le lecteur est même pris à partie : c’est quelque chose qu’il ne faut pas manquer. Cela est également distrayant, comme en témoigne les références au rire : « on s'est mis à rigoler, rigolé comme des cornichons, ça fait drôle ». L'emploi d'un lexique familier et de la tournure impersonnelle en « ça » rend les personnages ridicules, eux qui pourtant se plaisent à dire qu’ils ont presque tout vu. Le décalage

de quelle façon s’exerce la tyrannie de cet empereur fourvoyé, et le sens que cela peut porter au XX°s. Nous verrons dans une première partie l’exercice de la tyrannie de Caligula ; puis, dans une seconde partie, l’hésitation du spectateur entre le rire et les larmes ; enfin, dans une troisième partie, le genre du théâtre de l’absurde. I La tyrannie de Caligula A/ L’empereur de Rome personnage historique : voir la genèse de cette œuvre, et les sources d’inspiration du dramaturge pour l’écriture

 IFSI CRF 16400 La CouronneUE 2.6.S2 DA SEMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE Il s’agit d’un glossaire classé par ordre alphabétique qui peut être catégorisé en fonction de la nature des troubles : -Troubles de l’affect et de l’humeur : ambivalence affective, indifférence affective, labilité de l’humeur, thymie -Troubles psychomoteurs et du comportement: aboulie, apragmatisme, bizarrerie, catatonie, clinophilie, compulsion , conversion, excitation psychomotrice, impulsion, incurie, maniérisme, mimique, négativisme

attention, sa curiosité et sa bienveillance.Dès le début, il dit que le but est de rire, car il vaut mieux rire que pleurer : il choisit le registre comique pour son œuvre. « Parce que le rire est le propre de l'homme » Il annonce son intérêt pour l'homme ⇒ humaniste Il dit aussi que son livre n’est pas malfaisant ni nuisible. Mais il nuance cette entrée en matière dans le prologue, où il dit que finalement, derrière le rire que l’oeuvre provoque, il y a un côté sérieux.Prologue de l’auteurPrologue ≠ préface :

d’animaux. Paradoxalement, par leur immobilité et la bouillie que réclame Nagg, malgré leur vieillesse, ils pourraient être assimilés à des bébés (le rapport filial normal est alors inversé, ce qui est intéressant par rapport au temps et à son ambivalence : « La fin est dans le commencement… » 89).   c) un couple qui est en train de se désagréger Ils semblent n’avoir existé en tant que couple que dans le passé, par leurs souvenirs, et demeurent dans le ressassement et une sorte d’attente commune

l’évêque, la Loreley, 3 chevaliers, l’amant Narrateur: extérieur, paroles rapportées Premier vers: Segment métrique: 8 et 6 syllabe Distique 6: ironique Le rire triomphant du poète Échos à nuit rhénane, renversement du vers précédent, jeu de mot « verre » « vers » P59 « les verres tombèrent et se brisèrent Et nous apprîmes à rire » Distique 6 on ne sait pas si c’est un vers de 12 ou 13 syllabes Distique 7: segment métrique 6 et 8 syllabes Distique13: la démarche la dans , le déhanchement