Analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur criticité

l’intervention : Établir le constat de défaillance ; Isoler la chaîne fonctionnelle en panne ; Identifier les composants de cette chaîne ; Émettre des hypothèses de panne, les hiérarchiser en fonction du rapport nombre d’informations /temps d’investigation ; Effectuer les tests et contrôles successivement en fonction des résultats précédents ; Identifier le composant défectueux ; Expertiser le bien (avant ou après réparation) pour identifier la cause de la défaillance. 2. Situation de début Un bien

.................. 4 4.1. Typologie de la maintenance ....................................................................... 5 4.2. Types de maintenance ................................................................................ 6 4.3 La défaillance ............................................................................................. 7 4.4 Activités de maintenance ............................................................................. 7 5. Nécessité de maintenir. ............

sans l’autorisation de l’éditeur est illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont autorisées, d’une part, les reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, les analyses et courtes citations justifiées par le caractère scientifique ou d’information de l’œuvre dans laquelle elles sont incorporées (loi du 1er juillet 1992, art. L 122-4 et L 122-5, et Code pénal, art. 425). AFNOR – 11, rue Francis de Pressensé, 93571

pratique Démarche théorique Plan d’action de la mission Analyse et traitements des données Propositions d’amélioration Constats Collecte et analyse Outils principale Détermination du thème Cartographie des risques 8 CHAPITRE 1 : GESTION DES RISQUES INTRODUCTION Au niveau de ce premier chapitre, nous allons traiter la notion du risque, ses spécificités et le concept du risk management (ou le management des risques). En effet, la notion de risque est employée dans des disciplines variées

d’autodiagnostic 3. Graphe Radar Gestion et organisation de la maintenance préventive 1. Généralités 2. Etude des besoins 3. Travail réalisé Gestion des moyens humains 1. Généralités 2. Travail réalisé Gestion des pièces de rechange : 1. Exigences 2. Analyse des besoins 3. Travail réalisé Indicateurs de budget 1. Généralités 2. Travail réalisé 3. Conclusion Choix d’une solution GMAO 1. Généralités 2. Choix du logiciel 3. Conclusion I. III. IV. V. VI. VII. Page 36 Page 37 VIII.

entreprises ont adopté une politique d'intégration de l'activité afin d'éviter une diffusion de leurs méthodes de travail considérées comme du secret professionnel ; mais les mutations de l'environnement et les nouvelles normes les obligent à repenser leurs modes d'organisation et de gestion. La complexité grandissante de la structure entraîne une perte de visibilité et provoque des difficultés de contrôle. De plus, la tension de compétition, l'évolution technologique et les contraintes de l'environnement institutionnel

stage. A Madame et Monsieur LEUWENKROON, Madame BENNANI, Monsieur DE PAUW. Les mots clés ▪ Analyse des processus ▪ Cartographie ▪ Flux logistiques ▪ performance ▪ Processus logistique ▪ Optimisation des processus Les abréviations ▪ AMDEC : Analyse des modes de défaillances et leurs effets et leur criticité ▪ DRP : Distribution Ressource Planning ▪ EDI : Electronic Data Interchange ▪ ERP :

terme de création de valeur. De nos jours, divers moyens existent pour atteindre la performance mais la notion fondamentale reste toujours la même : la prospérité d’une entreprise est caractérisée par la satisfaction des besoins de ses clients. En effet, une entreprise est jugée plus performante dès lors qu’elle accomplit au mieux les objectifs qu’elle se fixe par la mise en place des actions efficaces lui permettant de rester compétitive, assurant ainsi sa pérennité. Créer de la valeur passe

BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………………………………….50 INTRODUCTION Aujourd'hui, en France, le juste-à-temps est adopté par près d'un tiers des entreprises industrielles et plus particulièrement par environ 46 % des entreprises de l'industrie automobile. En effet, le dispositif de juste-à-temps est très présent dans des secteurs qui ont adopté la certification qualité : fabrication de composants, automobile, équipements électriques et électroniques, chimie et métallurgie. Né chez Toyota, ce système a su séduire

coordination de type “culturelle” ; le partage de normes, de valeurs par les individus permet d’assurer la concordance de leurs actions. - standardisation des qualifications : coordination assurée en amont par le recrutement et la formation → langage, modes de raisonnement, savoirs-faire communs. - standardisation des résultats : coordination assurée en aval par une uniformisation des résultats à obtenir. N.B. : - Au delà de la coordination, la standardisation offre un outil de contrôle. 21 - Les différents