Analyse Macro économique Apple

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à Mme Slavianka STAMOVA supportés pendant toutes ces qui nous a années. exprimer ma gratitude à M. Cyrille LAPORTE, Mme Cristiane Couret et M. Paul-Emmanuel PICHON pour son 4 Sommaire Introduction générale Partie I : L’intelligence économique 1. La restauration commerciale en quelques chiffres 2. Les problèmes actuels dans le tourisme et les effets sur les consommateurs 3. Les nouvelles attentes 4. Les nouvelles tendances de consommation 5. La veille concurrentielle 6. Le modèle d’analyse

firme » quand on est dans le champs de l’analyse économique d’où le fait qu’elle soit très présente dans les questions de croissances, d’emplois, de cohésion sociale, du partage des revenus… C’est à travers de la question des firmes multinationale que la mondialisation va être comprise et notamment par les IDE (= pierre d’un débat des délocalisations) Les questions de formations continues sont financés par les entreprises. DU coté de l’histoire économique on voit comment la taille de l’entreprise à évolué

Française, 1981 5 Sahal D., Patterns of technological innovation, Addison-Wesley Publishing Company, Massachussets, 1981 6 Beije P., Technological change in the modern economy, Edward Elgar, Northampton, 1998 7 Schumpter J., Théorie de l’innovation économique, Librairie Dalloz, Paris, 1992 8 Rogers, 1983, Cité par Roberts E. et Fustfield A.1, 1997 D'une perspective plus large, Damanpour 9 définit l'innovation comme "l'adoption d'un produit, un service, un procédé, un système, une politique, un

commerce aussi adapté à la rareté qu’à l’abondance du temps disponible ..................... 2. Contrainte de lieu ................................................................................................................... 3. Contrainte économique : facteur prix et coût des transports ................................................... 40 40 40 40 42 42 B. ASPIRATIONS DES CONSOMMATEURS............................................................................... 1. Attrait pour

Sciences Economiques et Sociales L i vr e ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ d u professeur ES T E RMINALE Gilles MARTIN Stéphane PELTAN Lycée Janson-de-Sailly, Paris Sous la direction de Albert COHEN Lycée Claude Monet, Paris Lycée Lakanal, Sceaux Denis ANNE Lycée Notre-Dame de la Paix, Lille Stéphane CARRÉ Lycée Pablo Picasso, Fontenay-sous-Bois Pierre-Olivier PERL École nationale de commerce, Paris Mathieu FERRIÈRE Lycée Pothier, Orléans Franck

avons eux plusieurs entretiens. A la fois pour prendre connaissance de son projet dans un premier temps, de ce nouveau concept, puis de comprendre les attentes du porteur envers notre groupe. Ces rencontres nous ont permis de mieux cerner et mieux analyser ces besoins ainsi que ces différents objectifs pour la création à venir. Ainsi pour ce fait, des missions ont été réalisées à ce jour comme par exemple l’approfondissement de l’étude de marché. Nous avons distribué des questionnaires chez les commerçants

avec l’arrivée des produits sur le marché : si la production est le début du processus économique, le marché est la phase de conclusion. Il faut préciser que sur le marché on ne trouve pas seulement la demande, mais il y a aussi d’autres éléments. Toutefois, dans l’optique de la distribution, nous considérons seulement la demande de référence. On aura donc : • La production : début du processus économique • La distribution : Si on considère comment l’ensemble des entreprises productrices et distributrices

Comparer, c’est confronter et classer ce qu’on étudie pour avoir une généralisation. C’est rechercher les singularités, les différences et les points communs pour mieux les expliquer. C’est essayer de parvenir à une connaissance plus fine, à une analyse plus compréhensible des objets d’étude. La science politique en générale s’est constituée autour de la méthode de la comparaison et des travaux préparatifs. La comparaison doit être avant tout considérée comme une méthode. Le comparatisme permet d’avoir

III.). Il ne s’agit pas seulement de décrire la mondialisation (I) ; il s’agit d’en comprendre les vecteurs (ce qui la rend possible, II), mais aussi les implications territoriales (III) d’un phénomène qui est d’abord économique mais qui est loin d’être seulement économique. Nous reviendrons plus précisément sur les acteurs et leurs stratégies dans le chapitre suivant. 1 Laurent CARROUE distingue trois mondialisations : la première correspond aux Grandes découvertes de la Renaissance et