Anaphore

grand-mère » (v.3) insistant sur le fait que c'est le continent d'origine des esclaves noirs. L'auteur s'adresse directement à l'Afrique, c'est une personnification. L'auteur la regrette tellement qu'il répète son nom quatre fois en début de poème (anaphore). L'auteur veut montrer que même si les esclaves noirs d'Amérique notamment n'ont jamais vu l'Afrique (« je ne t'ai jamais connue » v.5) le lien avec le continent d'origine reste fort (« mon regard est plein de ton sang » v.6). A partir de là David

poète et la femme: cf. pr. pers. « tu » (v.3, 9, 20, 22, 39) en fonction sujet et « te/t’ » (v. 8, 22, 24, 42) en fct° COD lq elle est l’objet des actions du poète ou de son amant + forme d’insistance « toi » dans le vb pronominal « rappelle-toi » + anaphore des v. 12-13 : la femme est sans cesse prise en compte dans la situation d’énonciation → pourtant le poète ne la connaît pas mais il tombe sous son charme au 1er regard : il l’a juste « croisée rue de Siam » (v.8), par hasard et il a été touchée

l’épicurisme est mis en valeur, à travers le stéréotype de l’amante cruelle et la généralisation vers laquelle tend le poème. I- L’élan vital de la nature est très signifié dans ce poème. C’est un poème très répétitif … : - 2 questions v.1 et v.2 - Anaphores à l’hémistiche v .2,3,4 ou non v.5,7 - Echos du premier tercet (début vers 9, fin vers 11) - Vers 12, construction anaphorique … qui est pourtant très diversifié : - Thème de la nature : « … Voyez les passereaux … voyez les colombeaux … voyez la

essentiels. De plus, les didascalies montrent qu'il existe un rapport physique violent entre les deux protagonistes: «Edouard retient sa mère». Ensuite, l'affrontement verbal est placé sous le ton de l'agressivité. Par exemple, Adrien utilise une anaphore en «qui» dans la première tirade. Ce qui crée un rythme tendu, de plus il emploie beaucoup de verbes à connotation violente tels que: «accuser», «injurier» ou encore «forcer». On peut également citer la répétition «à genoux» qui témoigne du peu d'estime

sentiments sur la mort de Nush. Le mot "vie" est présent dans le texte, mettant en scène leur vie de couple, le mot "mort" est une obsession avec l'apparition de la douleur. Ce poème est composé de 15 alexandrins, 3 strophes de 5 vers (quintiles); anaphore de « Notre vie »; « Aurore »; « la mort »; « mort visible », poème sans ponctuation, poème qui ne rime pas, rythme régulier. On peut donc distinguer le caractère intime et familier du poème ainsi que l’expression de la souffrance. I) Le caractère

-syllepse « je n’aime rien » -> est incapable d’aimer ou qu’elle aime qqch qui est parti -> évolution de Loreley dans le texte . V17 : - Anaphore sur 3 vers : formulation simple du lyrisme élégiaque. “Il faut bien que je meure” montre qu’elle souffre e a des émotions contrairement à ce que les

refléter la beauté et la félicité d’un château Romanesque. Ce lieu est représenté comme sombre sinistre et lugubre. Le narrateur s’appuie sur de nombreux procédés stylistiques pour nourrir sa description subjective du lieu et use ainsi d’une anaphore-at la répétition de "une ville" (l.29, 30, 31) afin de mettre en exergue le centre de ses pensées dans ce passage. Notons également l’énumération reflétant les pensées du narrateur, dévoré par l’aspect sauvage, isolé et inhabité du cadre Spatio-temporel

profiter, jouir de la jeunesse. Ce poème est riche en rimes, ici ce sont des rimes suivies. Jacques Grévin s’adresse à une femme, en la séduisant. En effet il utilise les pronoms possessifs « Mon » et « Ma » à chaque début des vers 1 à 8, c’est une anaphore car il y a ici une répétition. Ces pronoms possessifs marquent ici l'appartenance, la possession de la femme envers le poète. Ensuite il y a l’utilisation de l’oxymore comme « Mon Bien, mon Mal, ma Mort, ma Vie » et aussi « Mon Amertume, ma Douceur » Le

Enora MOREAUTD1 L1 DLLHLittérature du XVI°Les Regrets , sonnet 4 Le recueil des Regrets de Joachim du Bellay est écrit en 1557, soit presque dix ans après La Deffece et Illustration de la langue francoyse . Ce quatrième sonnet fait partie des poèmes liminaires, c’est-à-dire qui annoncent la suite de l’oeuvre. Sur un ton argumentatif, il nous défend son “beau style bas” par une construction marotique, des vers

l'intérieur du poème, on peut dire cependant que ce qui en caractérise la structure, c'est le réseau de répétition, de correspondance et de symétrie entre les paragraphes, rendue évidente par les anaphores (« laisses-moi » → lien entre 1 et 7/ « Dans » → 4,5 et 6). C'est grâce notamment a ces anaphores et ces parallélisme qu'accompagnent un travail sur les sonorité (allitération) et sur le rythme, que le texte apparaît comme un véritable poème sans vers ni rimes, répondant à l'objectif de Baudelaire