Anaphore

» v 3 image méliorative présente seulement à travers les 3 premiers vers 2) ville barbare et sanguinaire image brute, violente de la ville, les « humbles animaux » v 35 sont victimes de la cruauté des hommes image aussi des « millions » (anaphore) d’animaux tués « tous les jours » v 7 (idée de banalisation) vision d’une ville monstre, un hachoir à viande C- Une société déshumanisée La ville semble peuplée davantage par les animaux, l’homme est réduit à l’état de bête Enumération

avec sa veulerie, sa lâcheté. Le ton d’Adrien est celui de la violence : la brutalité des mots (des insultes comme « pauvre folle » ou des termes réalistes comme « cracher ») s’allie au rythme emporté de ses répliques qui reposent parfois sur des anaphores (« à genoux… », « pour qui… ? »). Sa veulerie est sensible dans son style qui abonde en questions rhétoriques (et non en affirmations), qui recourt au conditionnel modalisateur (irréel du passé : « tu aurais été bannie » et irréel du présent : « on

malignement son arc » ( vers 3 ). Verlaine met en avant les impressions plutôt que la neutralité. La statue renversée transmet une grande tristesse chez le narrateur , car elle symbolise l'amour mort. «L'Amour» avec un grand A est synonyme de Cupidon,. Anaphore au début des quatrains : «  le vent de l’autre nuit a jeté bas » x2 «  oh c'est triste «  x2. Le poète insiste sur des éléments négatifs. Il y a une antithèse (v11) : opposition entre rêve et réalité. II- Les contrastes entre les deux personnages

de ces termes permettent de préciser les sentiments de l’auteur qui, exilé dans un pays étranger (Italie), ressent fortement la nostalgie du pays natal (Anjou). En effet, les deux tercets contiennent des comparatifs de supériorité qui forment une anaphore (= plus…que), l’ensemble étant ordonné par la répétition de « plaît ». Ces comparaisons mettent en relief l’opposition entre le lieu où il se trouve (Rome) et celui où il aimerait être (Liré). La présence d’adjectifs possessifs (« mon », « ma »)

grande, plus son effet sur la cohérence générale est assuré. Vu leur force de persuasion, il est utile de réfléchir à l'usage que nous faisons de ces articulateurs. Nous les avons divisés en 4 groupes pour mieux observer leur fonctionnement. 1 - Les anaphores (voir p. 53) (c'est-à-dire les reprises ou renvois à l'intérieur du texte). 2 - Les connecteurs (voir p. 57), par exemple, de cause/conséquence, opposition/ressemblance. 3 - Les allusions à d'autres façons de voir les choses, d'autres cadres de référence

|  | |ANAPHORE n.f. |Répétition d’une même expression ou d’un même |- Partout l’image idée, partout la pensée | | |mot en début de phrase ou de vers |fleur, partout les fruits | | | |- Anaphore de "il y a" dans le poème Enfance | |

lexicaux du travail et des enfants. → v. 4 = présente le thème + réponse 'ils travaillent', 'servitude infâme'... = présenté comme quelque chose d'horrible = péjoratif → v. 30 = comparaison péjorative → v.31 : parallélisme de construction + anaphore. Termes forts, violents, négatifs. → MAIS, Hugo ne critique pas le travail en lui même => rétablit v. 33-34 → rythme en 4 temps = renforce l'énumération des termes positifs → Durée du travail v. 4-5-11 = très longue v. 5 : rythme ternaire

Juan est donc une pièce avec un but politique. * Forme Figures de style : A. Parallélisme (+anaphore) : « Le v’la qui est pour le dire, si je n’ai pas raison. » (Charlotte) « Le v’la qui est pour me démentir, si je ne dis pas vrai. » (Mathurine) B. Chiasme : « L'hypocrisie est un vice à la mode et tous les vices à la mode passent pour vertus.» (Dom Juan) C. Anaphore : « Je veux que monsieur vous montre votre bec jaune » (Charlotte) « Je veux que monsieur vous rende un

Annonce des axes d'étude Commentaire littéraire I. Les ravages de la guerre et de la destruction Destructions matérielles (champs lexicaux : ruine, deuil...) Passage du paradis au néant : la première strophe décrit Chio comme une île idéale (anaphore de « Chio » suivie d'expressions montrant le bonheur et l'opulence qui régnaient sur Chio). La deuxième strophe marque la rupture et le résultat de la guerre : « Tout est désert » Les conséquences affectives : Solitude et détresse de l’enfant rescapé

→ Champs lexical de la Justice : aucun termes dans le premier discours de l'♂ = Fi de la Justice, dans les propos du Fabuliste en 1ier = dénonce l'attitude de l'homme. Il prend donc parti du serpent. Discours du serpent : parle de "justice", anaphore de "ton" = Égoïsme de l'♂. Par l'utilisation du champs lexical = l'♂ est désigné de coupable à la {text:soft-page-break} place du Serpent. → Vache, bœuf & Arbre : Même thèse = Absurdité & incohérence révoltantes. L'♂ est ingrat & injuste par rapport