Anaphore

lyrique : Tournures exclamatives nombreuses, ponctuées de l’interjection « Ô » (l.4-5, 9, 12…) : Bridaine se plaint (« Ô malheureux que je suis ! ») et semble désemparé (implorations religieuses : « Ô sainte Eglise catholique ! », « Dieu ! »). Anaphore : « Adieu » (14, 16, 17). Expression de sentiments personnels : « Je ne souffrirai pas cet affront » (14). B) Un monologue délibératif On constate que ce monologue est dominé par le futur de l’indicatif (donnera », « sera »..) : il est donc

Philippe d’Orléans, que le cardinal Dubois. La lettre 146 est frappant sur le plan stylistique : L’auteur utilise les anaphores « J’ai vu » qui l’aident à faire des accusations cachées. Il accuse notamment les grands financiers qui, avec des opérations frauduleuses, ont ruiné des familles en toute impunité. L’on pourrait même voir, dans cette lettre, un journalisme d’opinion : Ces anaphores s’accompagnent d’une suite de vocabulaire assez violent dans le domaine criminel, comme « bannie, […], anéantie,

points : * l’horreur du crime * l’intérêt du roi * son corollaire, la valeur du comte a) L’utilisation du pathétique L’horreur de la mort est montrée de façon crue (insoutenable psychologiquement), avec des procédés d’amplification (anaphore, parallélisme, homophonie : sans/sang, hyperbole : le sang « coule à gros bouillons »). Le mort est « vu » et « trouvé ». Chimène donne à voir ce qu’elle a vu (1e personne garante du regard, valeur aspectuelle des passés composés et de la locution

partie: du vers 9 au vers 17 il montre ici les attributs naturels de la femme noire 3éme partie: présente la femme noire comme devant être réduite en cendres par le destin IV. EXPLICATION DETAILLEE 1) Figure de style Anaphores : femme nue, femme noire, femme obscure Anaphores : fruit mur, vin noir Métaphore : femme noire = fruit mur sombre extase du vin noir savane huile calme Comparaison : et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l’éclair d’un aige Allitération en « n » : femme nue

et rendre un hommage. * Mouvement du poème : Départ v. 1 et 2 → Voyage «je marcherais» v. 2 à 8 → Aboutissement au vers 13. * Champ lexical du déplacement : «je partirai» v. 2 + En rejet «j'irai» v. 3 → Pour montrer la détermination du poète + Anaphore en début d'hémistiche «je marcherai» v. 5 qui montre le départ et «j'arriverai» au v. 11 placé à la césure montre l'aboutissement du voyage. * Parallélisme de construction : «J'irai par la forêt, j'irai par la montagne » au vers 3 = Mouvement de

Moïse a reçu les 10 commandements de Dieu et il ordonne de les graver et de les transmettre. 3) Injonctions : Texte construit sur les injonctions avec « considérez » (v.5-10) ; «n’oubliez pas » (v.15) ; … Ces impératifs sont renforcés par les anaphores « Gravez ces mots dans votre cœur » (v.17) est une métaphore. « Pensez » (v.18) est renforcé par les compléments de lieu et de temps qui généralisent le verbe.   II – L’évocation des déportés (juifs, tziganes, homosexuels, handicapés) 1) Les

manteau de laine noire » (= | | |protestants) | | |Anaphore de « tu » : « tu », « toi », « devant toi »,|Permet d’interpeller régulièrement le destinataire et de rattacher constamment | |« t’aimer » |le texte au genre de la prière

ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dansColombine de Verlaine :     Cassandre sous son     Capuce   ANAPHORE n.f. Répétition d'une même expression ou d'un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l'image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits - Anaphore de "il y a" dans le poème Enfance III, deRimbaud   ANTITHESE n.f. 2 termes de sens opposés dans une même phrase - Le navire était noir, mais la voile était blanche

| |n°40) |d’une forme en l’employant ou non. Ex : | | |La rhétorique : l’art du discours efficace. |variation qualitative, anaphore. Variation | | |La pragmatique, l’étude des actes de discours. |quantitative, ellipse. | | |La transtextualité : l’intertextualité

les accusations formulées. Dans ce monologue, Figaro critique le Comte car il soupçonne Suzanne ; sa fiancée, de l'avoir trahi avec lui. Ce premier commence alors à lui reprocher d'avoir une gloire non méritée. Aux lignes 2 et 3, se trouve une anaphore du mot « grand », pour insister sur le fait que le Comte est un puissant personnage grâce à sa position, mais que finalement il a eu cela gratuitement sans fournir aucun effort et sans avoir eu recours à des expériences professionnelles. Figaro