Anaphore

# mde noir qui va paraitre + calme et respectueux de la terre v15 « droite patience » II. Portrait du mde noir : affirmat° progressive d’1 identité A) 1 portrait par la négative Mde mis en avant avec enumérat° qui dévalorise mde noir : v3-5 anaphore négative (ceux qui n’ont+ jamais rien) + périphrase renforce dom Bl sur Noir. Effet d’insistance avec ni. Cé montre manque initiative+ savoir v4 des noirs sur les invent° tech+ découverte. V4.19.22.44 négat° ac dompter montre qu’aux yeux du poète=sagesse

les femmes »,  « la jeune fille et l'épouse vertueuse, qui a une veine bleue sur la tempe et la courtisane trompée ». Elle représente donc le stéréotype féminin de l'époque. Ensuite, Lechy Elbernon utilise une anaphore, « Et... », répétée dans les huit premières lignes du texte. Cette anaphore laisse place à une liste qu'elle mentionne pour décrire l'homme : c'est alors une accumulation de termes péjoratifs désignant celui-ci. Ces termes péjoratifs sont accentués par la déshumanisation du public par

Ce texte est sur le pouvoir de l’imagination. Il commence le texte avec un paradoxe (= idée contraire et surprenante). On voit mieux avec une fenêtre fermée. Il va créer des répétitions (plus.. plus… plus…plus…) c’est ce qu’on appelle une anaphore (= répétition en début de groupes de mots) ce qui crée un refrain. En effet, la chandelle donne de l’ombre et est plus mystérieuse que la lumière du soleil. Il y a deux façons de voir : voir le visible (trousse élèves…) mais pour Baudelaire vraiment

avec le registre pathétique : Jean Calas = vieillesse et faiblesse, mère = tendresse, thème de la mort : début et fin - Souffrance, torture et mort à la fois - Questions rhétoriques : "Comment..." - Anaphore : "sans" (fin du deuxième paragraphe) : insiste sur l'absurdité de l'accusation - Anaphore de "Il était évident que..." - Effet de contraste : rupture avec 3 imparfaits et le passé-simple "condamna" qui sonne comme une fatalité - "Les juges qui étaient décidés pour le supplice de Jean Calas"

mettre en valeur), dimension impersonnelle (pas d’émetteur) • Termes techniques : « axe » « coïncider » « dégradation lente » • Expressions catégoriques : « c’est une chimère absurde » « cela ne peut être arrivé que par »  • Enumération de lois + anaphore « par » : « démontrée impossible par les lois de la gravitation, par les lois des fluides, par l’insuffisance de la quantité d’eau » ➢ Raisonnement scientifique 2) l’accumulation de faits et de preuves articulés d’une manière logique et mathématique

style afin d'insister, de marquer l'esprit et entrer dans la mémoire du public. En effet, l'anaphore (Une anaphore est une figure de répétition qui consiste à répéter un même mot ou une expression au début d’un vers, d’une phrase ou d’une proposition.) Utilisée au cours du débat " Moi président de la République " a fait son effet, notamment dans le monde de la presse qui a repris cette anaphore sous diverses formes. En conclusion, la communication analogique de l'homme politique doit être acquise

fois « l’amour »  - Le poète crée un sentiment de confusion grâce à des figures de style telles que : les répétitions parallèles jusqu’au vers 10. Les chiasmes (vers en ABBA) Anaphores (répétitions de mots en début des vers) v. ½- v. 5/6 Paronomase (mots aux sonorités proches ou paronymes) « l’amer »/ « la mer » - L’amour et ses dangers sont passés par la métaphore filée d’une mer tourmentée

sensibilité du public. • les figures de style - des images fortes pour frapper l’imagination du lecteur - des figures d’opposition, d’antithèse, les oxymores - des figures d’insistance : hyperbole, répétitions, anaphores, gradations - l’ironie utilisée pour la dévalorisation • les genres satiriques le pamphlet, ouvrage, bref, d’une grande violence. Le pamphlétaire prétend être le seul à détenir la vérité le libelle, petit écrit de caractère

chez Giton, 2 fois chez Phédon: l'un attire, l'autre repousse.  * Par ailleurs, le verbe " être ", peu présent chez Giton, et récurant chez Phédon.  L'un se disperse dans l'action, l'autre est intériorisé.  Une certaine rigidité syntaxique : anaphore récurrente d'un portrait à l'autre, mais aussi à l'intérieur de chaque portrait.  Grande simplicité dans la composition des phrases :  · " il " + complément,  · " il " + verbes,  · " il " + être,  · effets répétitifs (" il s'arrête et

treize premiers vers " aimé ", " dédaigné ", " mes bontés ", " mon injure ", " j’attendais ", " j’ai cru ", " je t’aimais inconstant ", " même en ce moment ".La ponctuation (exclamative et interrogative) exprime cette violence, marquée aussi par les anaphores (" Va ") et les verbes à l’impératif. Les questions rhétoriques (v.1 et 10), la colère (v. 10 ou 21), nous montrent bien une femme jalouse et hors d’elle.La menace, enfin, vient achever cette tirade ou l’exaspération d’Hermione culmine, face à la