Anthropologie Religieuse

ils sont narrativement utiles (les cases, la source). - Il fait référence à la culture africaine, et plus particulièrement au contact entre la culture Bambara et celle des Peuls. Ainsi sont évoqués les traditions, les rites, les croyances « religieuses ». Il y a d’ailleurs des allusions à la mythologie, qui rappelons imprègne les différentes cultures. - On est face à un cinéma qui nous déconcerte dans notre position de spectateur (le film est sans doute représentatif d’une façon de faire du

les préoccupations de prestige des nations25 ou des individus par l’expression de leur « courage » guerrier et missionnaire ; 5. surtout – et c’est ce qui distingue le colonialisme des impérialismes -, la nécessité d’expansion, d’universalisation religieuse ou la mission d’« élévation » culturelle, civilisationnelle ou raciale (« le fardeau de l’homme blanc », comme disait Kipling) ; etc26. De fait, plutôt que de se livrer au travail de définition (sans doute vain) ou de construction d’une typologie

INTRODUCTION AUX SCIENCES SOCIALES 1ere partie L'Ethnologie et l'Anthropologie Tout d'abord nous allons revenir sur les histoires de définition. 1)Anthropologie, ethnologie ,ethnograhie :quelques précisions de définitions préalables A)L'Anthropologie C'est le terme le plus général pour définir toute science de l'homme. Dans le monde anglo-saxon ,ce terme antropologie recouvre toutes les disciplines qui explorent le passé et le présent de l'évolution de l'homme(archéologie, linguistique

et compétence commune a pour effet de ne pas prendre au sérieux les prétentions et compétences des gens ordinaires dont on renvoyait les propos à l’expression d’une illusion idéologique. En second lieu, le paradigme critique était animé par une anthropologie pessimiste implicite qui faisait de l’intérêt le seul et unique motif de l’action. L’intérêt a notamment joué le rôle de levier dans toutes les entreprises de dévoilement, de dénonciation des prétentions des acteurs. En troisième lieu, le paradigme

l'ethnie ou du milieu auquel il appartient (il vaudrait mieux, pour éviter toute ambiguïté avec le second sens, appeler ce phénomènes de contacts et d’interpénétration entre civilisations différentes (c’est le sens ici retenu). D'autre part, en anthropologie culturelle, il désigne les phénomènes de contacts et d'interpénétration entre civilisations différentes (c'est le sens ici retenu). Ainsi, I'acculturation est I'étude des processus qui se produisent lorsque deux cultures se trouvent en contact

place, entre autre, à « l’idéologie structuraliste » de Claude Lévi-Strauss. Pour Lévi-Strauss « les termes de parenté sont des éléments de signification ; (…) ils n’acquièrent cette signification qu’à la condition de s’intégrer en systèmes » (Anthropologie structurale, Paris Plon, 1958, p.40-41), autrement dit ce sont les relations entre les termes qui font sens et non pas les termes eux-mêmes. C’est notamment grâce aux travaux de Lévi-Strauss et Jakobson que le structuralisme s’intéresse aux

les sociétés primitives, dans les sociétés sans État, peut nourrir une réflexion politique sur nos propres sociétés ? », certainement, mais ce n’est pas nécessaire. Je peux très bien m’arrêter à des questions sinon académiques, du moins de pure anthropologie sociale : — comment la société primitive fonctionne-t-elle pour empêcher l’État ? — d’où sort l’État ? Je peux m’arrêter là, et rester purement et simplement ethnologue. D’ailleurs, en gros, c’est ce que je fais. Mais il n’y a pas de doute qu’une

qui avaient trace les voies sur lesquelles le peuple Gambara marchait encore. Il était heureux de travailler sur un peuple encore vivant, un peuple contemporain, dont il pouvait voir les sujets, discuter avec ses membres. Les ressources humaines, religieuses, livresques étaient inépuisables. Les Gambara étaient surement l'un des peuples les plus étudies d'Afrique. Il y a avaient beaucoup de regards sur ce peuple. Avec l'ère coloniale, ils étaient présents comme une peuplade sauvage, inapte à la civilisation

2000, de La Faute à Rousseau, p. 25-50. 9 Archives : quelle politique ?, articles de Philippe Belaval, Jean-Marc Berlière, Vincent Duclert, Isabelle Neuschwnader et Annette Wieviorka, Le Débat, n° 115, mai-août 2001. 10 Archives et anthropologie, dossier établi et présenté par Jean Jamin et Françoise Zonabend, Gradhiva, n° 30/31, 2001/2002, p. 57-198. 11 Archives privées. Journaux intimes. Journaux de guerre, n° 8 de Trames, Revue de l’I.U.F.M. de l’Académie de Rouen, Mont-Saint-Aignan

méthode permet notamment de dégager une typologie d’étapes du cycle de vie. Or, la recherche entreprise par Claire Bidart, ayant pour objectif ce rapport, se distingue par une autre méthode, plus proche des méthodes utilisées en ethnologie ou en anthropologie, mais dans un but sociologique. En effet, il s’agit d’une véritable enquête de terrain, une étude au plus proche des éléments de l’échantillon en termes spatio-temporels. Cette méthode se veut dépasser les limites de la méthode classique. Elle