Antigone Sophocle Aristote

« némo » : peuple âgé. ??? Chaque citoyen athénien pouvait proposer le vote d’un décret mais ce décret devait être conforme à la loi supérieure. Selon les grecs, il pouvait y avoir un conflit entre une règle supérieure et une règle inférieure. Antigone de Sophocle a été présentée pour la première fois en 442 avant JC. ??? A l’assemblée populaire, on peut proposer les décrets, les traités, suggérer l’organisation des campagnes militaires ou la création des impôts. Le décret doit toujours être subordonné

.................................................................................  71   NOËLLE  RENAUDE,  PROMENADES  (2003)  .................................................................................................  73   ARISTOTE,  LA  POETIQUE,  EXTRAITS.  ..........................................................................................................  75   HORACE,  ART  POETIQUE,  EXTRAITS.  ................................................

croyaient en la réincarnation de l’âme après la mort, aussi bien dans le corps d’un humain que dans celui d’un animal. Pythagore et ses disciples considéraient donc que tuer et manger des animaux était scandaleux et s’apparentait au cannibalisme. Aristote (384-322 av JC) lui s’interroge sur la différence entre l’homme et l’animal : Qu’est-ce qui les différencie ? Y-a-t-il entre eux une différence de degré ou de nature ? Il met une certaine distance entre l’homme et l’animal, contrairement aux courants

(Platon et Aristote dans L’Ecole d’Athènes). Ceci est dû à un besoin de représenter l’homme en l’idéalisant, en le rendant parfait ; et les artistes de l’Antiquité étaient considérés à cette époque comme étant insurpassables. La littérature antique est donc la base de ces peintures de la Renaissance comme par exemple l’œuvre majeure de Homère : l’Iliade et l’Odyssée Vertumne et Pomone de Van Dyck 19 / 37 TPE / Diffusion de la peinture humaniste à travers l’Europe Ou encore Antigone de Sophocle

en elle-même est vide entièrement comme des tablettes où l’on n’a rien écrit encore (tabula rasa) suivant Aristote et l’auteur de l’Essai [c’est-à-dire J. Locke], et si tout ce qui y est tracé vient des sens et de l’expérience, ou si l’âme contient originairement les principes de plusieurs notions et doctrines que les objets externes réveillent seulement dans les occasions » (p. 37). Aristote, dans le traité De l’Âme (III, 4, 420 a 1), écrit que l’intellect est comparable « à une tablette où il n’y

d’engagements dont les enjeux varient selon les époques. Bien souvent, les écrivains réagissent à des faits de société ou à un état général de la société qui les choquent, les révoltent, et les incitent à les dénoncer. Voici la définition qu’en donne Aristote, philosophe grec de l’Antiquité qui a écrit un traité sur cet art oratoire au IVe siècle avant J.C. : La rhétorique est la faculté de considérer, pour chaque question, ce qui peut être propre à persuader. Ceci n’est le fait d’aucun autre art,

question du meilleur régime : aristocratique, monarchique ou démocratique. Au début du IVème siècle avant J.C., Platon a une démarche idéaliste. Il cherche à définir le meilleur régime dans l’abstrait. Il dit comment les choses devraient être. Son élève Aristote, une génération plus tard, dans les années 340/320 avant J.C. a une démarche beaucoup plus empirique. Il parle de ce qui existe, compare les régimes grecs pour dégager leurs qualités et leurs défauts. Il dit ce qui est. Ces deux approches, on les

exigences de l'équité et de la raison. Le droit est positivement juste mais pas forcément conforme à ce qui est idéalement juste notamment car il y a trop de conceptions différentes de ce qui est juste, la justice n'est pas une notion évidente. ARISTOTE différencie la justice distributive et commutative, cette dernière réside entre les rapports interindividuels et de rétablir l'équilibre entre les patrimoines (voir enrichissement sans cause) mais le droit va à l'encontre de la justice commutative

naturel religieux et le droit naturel laique. A) Le droit naturel religieux L'idée d'un droit naturel d'origine divine est très ancienne. Une expression connue de cette idée dans Antigone, Tragédie de Sophocle. Ce juste naturalisme dominait la pensée des auteurs antiques au premier randdesquels platon et Aristote cette conception va triompher avec le christianisme avec la pensée de st thomas Daquin 13 eme siècle. lLes ancien auteurs francis considère que la loi naturelle a une origine divine

en réalité ces lois se trouvent dans l’intellect de l’homme. Ce monde est dans l’intellect de l’homme que vont rayonner le monde des idées sur le monde des phénomènes. Pour Aristote : la particularité est d’observer les choses. Il faut déceler les lois. Selon Kant n’existe pas parce que l’homme veut projeter l’ordre. Aristote veut déceler cet ordre. Il n’est pas exagéré de dire que tout philosophe s’et rattaché à l’un ou l’autre de ces postions. Chapitre 2 : Les sources des lois juridiques.