Anxiété généralisée

traitement brut et le net à payer au bas du bulletin de salaire intervient toute une série d’éléments, soit en déduction soit en ajout. ÉLÉMENTS À DÉDUIRE m Retenue pour pension (retraite) 7,85 % sur le salaire indiciaire. m Contribution sociale généralisée (maladie) C.S.G.* Elle est assise sur 95 % de la rémunération brute totale (primes comprises), son taux est de 7,5 %. Elle se décompose en deux parties : r une partie de 5,1 % déductible des impôts, r une partie de 2,4 % non déductible qui entre

capital déposé. Ces sommes restent indisponibles pendant 5 ans, mais il est possible de les débloquer dans les cas cités précédemment. Les sommes versées par le salarié sont exonérées de l'IR, mais elles sont assujetties à la contribution sociale généralisée (CSG) et à la contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS). B. Le plan d'épargne pour la retraite collectif (PERCO). Il permet au salarié de se constituer un patrimoine en vue de sa retraite. Un accord collectif est nécessaire

travail salarié, on distingue deux cotisations devant être versées par l'employeur aux URSSAF : o Une part salariale ; o Une part patronale • Assises sur les revenus de toute nature : o La contribution sociale généralisée (CSG) ; Les prélèvements des administrations de sécurité sociale ont connu depuis 1978 une forte croissance, passant de 16 % du PIB, à plus de 22 % en 2006[19]. Les relations financières avec l'État sont complexes. L'État doit reverser à la sécurité

en 2008), qu'en France (2,6%).  Le taux marginal supérieur de l'IR est de 45% en Allemagne, à quoi s'ajoute une surtaxe de solidarité de 5,5% sur le montant de l'impôt dû. Le taux marginal est de 42% en France, La CSG (contribution sociale généralisée) et la CRDS (contribution au remboursement de la dette sociale), qui représentaient 4,6% du PIB français en 2008, compensent en partie l'étroitesse des assiettes de l'IR.  Le total de l'IR et des cotisations sociales rapporté au coût salarial

2004, finance la dépendance. Son budget de 20 milliards d’euros provient des crédits de l’assurance-maladie, de la Journée nationale de solidarité (le lundi de Pentecôte) – 2,3 milliards d’euros –, d’une partie (0,1 %) de la contribution sociale généralisée (Csg) et des contributions des caisses d’assurance-vieillesse. La Cnsa finance en partie l’allocation personnalisée d’autonomie (Apa) pour les personnes âgées dépendantes. Celle-ci est attribuée par les conseils généraux, qui la cofinancent,

J’ai encore remarqué que les taux pouvaient varier. A peu près 23% du salaire d’un employé va directement à l’Etat. La part la plus importante va à l’assurance de vieillesse (6.65% au 1er janvier 2012), puis on trouve la CGS (contribution sociale généralisée) qui est un impôt français institué le 16 novembre 1990, qui participe au financement de la sécurité sociale (5.1%). La troisième recherche était sur les heures supplémentaires. Grace à mes connaissances des cours de comptabilité, je savais que

........................... ........................................................................................................................................................................ 2 – L’effet de la CSG, contribution sociale généralisée sur les inégalités de revenus Présentation de la CSG La CSG est un impôt proportionnel ce qui signifie que le taux d’imposition est identique quel que soit le revenu perçu. C’est un impôt prélevé à la source sur la plupart des revenus bruts (d’activité

des taux modérés et progressifs permettrait de financer à la fois l'État, la Sécurité sociale et les collectivités locales. Et le prélèvement à la source pourrait être généralisé. Il n'y aurait plus qu'une seule imposition : contribution sociale généralisée, impôt sur le revenu, prime pour l'emploi seraient fusionnés. Quant à la taxe d'habitation, elle deviendrait un impôt additionnel à l'impôt sur le revenu. L'avantage serait triple : justice, efficacité et simplicité. Pour les patrimoines, nous

leur consommation : TVA, taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TIPCE), droits sur les tabacs et les alcools, etc. ; pour la plupart, des impôts sur leurs revenus : pour l’essentiel sous la forme de la contribution sociale généralisée (CSG) prélevée au profit de la Sécurité sociale et de l’impôt sur le revenu proprement dit ; enfin, pour certains, des impôts sur leur patrimoine : comme l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) ou les taxes foncières prélevées par les collectivités

certains produits, par exemple, la taxe sur les alcools, le tabac, les produits pétroliers, ce qui n'empêche pas la TVA de s'y ajouter. • Les prélèvements sociaux : ne sert à payer que le budget de la sécurité sociale. ◦ La Contribution Sociale Généralisée : c'est une contribution que paie tout le monde qui sert à financer uniquement le budget de la sécurité sociale. (taux : 2,8%) ◦ La Contribution pour le Remboursement de la Dette Sociale : c'est une contribution que paie tout le monde pour aider