Argumentation Bonheur

texte peut vous aider à en dégager clairement l'idée principale. Attention: ne pas confondre le thème et la thèse du texte. Il ne suffit pas de dire “ce texte parle de la conscience (ou de la justice ou du bonheur...)”, il faut chercher ce qu'il affirme sur la conscience, la justice ou le bonheur. Par exemple: "Alain affirme ici que la conscience est toujours morale". -Dégagez la problématique du texte et son enjeu. Un texte (ou un film, une chanson etc) a un intérêt philosophique parce qu'il répond

répondre quelque chose qui lui donnera matière à débattre. C’est le cas : les réponses du Pauvre nourrissent son argumentation et ses railleries. Interj montrent que DJ n’énonce pas une argumentation toute faite, comme a pu le lui reprocher Sgana en I, 2 : ici il réagit à ce que dit son interlocuteur pr arriver à ses fins. Il n’est pas dans la démonstration mais dans la persuasion. Son argumentation passe par : * la feinte : « Il ne se peut donc pas que tu ne sois bien à ton aise ? » question rhétorique

Désignation classique de Chimène : «mon plus doux espoir » * Intonation élégiaque, pathétique : « Malheureux objet », « mal infini » II) Structure argumentative : Rodrigue ne se contente pas de déplorer la situation, son monologue est aussi une argumentation qui progresse et le mène à la délibération A. Le dilemme de Rodrigue * Dilemme : hésiter entre deux choix douloureux. L’un aussi bien que l’autre. Il est tiraillé : il doit trancher dans une situation qu’il n’a pas choisie. Image métaphorique

de cet œuvre d'Emmanuel Kant ,ou plus précisément le passage de la connaissance rationnelle commune de la moralité ,dit aussi ''la bonne volonté'' à la connaissance philosophique, ''le devoir moral''. La question sur laquelle va reposer notre argumentation repose sur quel est le principe qui dirige la volonté selon Kant ? Dans cette section, Kant énonce sa thèse selon laquelle ''il n'est rien qui puisse sans restriction être tenu pour bon ,si ce n'est seulement une volonté bonne''. Il écarte donc

va à l’encontre de la tradition en ne visant pas directement les tyrans comme la plupart des penseurs du XVIème jusqu’au XVIIIème siècle, mais en blâmant le peuple qui se soumet volontairement aux puissants. E. de la Boétie développe donc son argumentation contre cette notion apparemment paradoxale de « servitude volontaire » sans quoi toute tyrannie serait anéantie : « Soyer résolus de ne servir plus et vous voilà libres » (l.41) Dès le début du texte on remarque qu’E. de la Boétie, en utilisant

ouvrent de nouvelles perspectives. La découverte du pays utopique de l'Eldorado, où tous les hommes sont heureux, enchante et émerveille le lecteur, tout en permettant à Voltaire de l'instruire en rappelant qu'un tel monde n'existe pas, et que le bonheur est le fruit du travail et non du rêve. Enfin, l'écrivain provoque l'amusement du lecteur en usant d'humour et d'ironie. Dans Candide de Voltaire, le patronyme ridicule du baron de Thunder-ten-tronckh fait rire le lecteur, et permet également à

ouvrent de nouvelles perspectives. La découverte du pays utopique de l'Eldorado, où tous les hommes sont heureux, enchante et émerveille le lecteur, tout en permettant à Voltaire de l'instruire en rappelant qu'un tel monde n'existe pas, et que le bonheur est le fruit du travail et non du rêve. Enfin, l'écrivain provoque l'amusement du lecteur en usant d'humour et d'ironie. Dans Candide de Voltaire, le patronyme ridicule du baron de Thunder-ten-tronckh fait rire le lecteur, et permet également à Voltaire

philosophie, peut penser sa vie et le monde par lui-même grâce à la raison et donc d’oublier la foi religieuse, de ne plus être soumis et a recherché la vérité pour devenir libre et joyeux. THESE : Ce texte propose une éloge de la philosophie dans une argumentation qui superpose plusieurs raison d’aimer et de pratiquer la philosophie. La première phrase nous explique à l’aide d’une métaphore que l’intellection est une vision. Comme voir, consiste à découvrir le monde avec les yeux de son corps, connaitre

de ce dernier car elles sont moins déroutantes. Donc, par conséquent, Rousseau base son argument en mettant en opposition deux idées pour convaincre son interlocuteur. Rousseau utilise des hyperboles et des modalisateurs forts pour son argumentation (paragraphe 3) : << Vous chargez tellement le tableau de nos misères que vous en aggravez le sentiment au lieu des consolations que j'esperois, vous ne faîtes que m'affliger, on diroit que vous craignez que e ne voye pas assez combien je

stoïcienne, pensait que le monde était assujetti à un ordre immuable, et que chaque chose avait une raison d’être parfois difficile à cerner, parfois difficile à accepter, mais bien réel. La volonté des hommes de lutter contre cet ordre pour leur bonheur personnel ou leur aveuglement les conduit à se forger des opinions hautement subjectives et souvent éloignées du principe réel des choses sur lesquelles elles portaient. Il est donc nécessaire de concevoir une norme permettant de séparer le bon grain