Argumentation Le Chene Et Le Roseau

] Un ton léger et un registre ironique [ex : Candide de Voltaire] 2) Une argumentation avec une morale Mise en évidence d'un fait de société [exemple : Le loup et l'agneau] Une morale avec une leçon de vie; de sagesse [ex : Chap 30 de Candide, Voltaire "cultiver notre jardin"] II/ Mais l'apologue peut etre ambigu 1) Une argumentation cachée par le récit Thèse souvent implicite [exemple : Le chene et le roseau] Le récit peut sempler trop irréel (utopie) [ex : Eldorado dans Candide de Voltaire;

"récit" et pas assez sur le côté "argumentation". 3/ D'autres formes, comme l'essai apr exemple, jouent + sur l'implication de l'auteur, ce qui peut prouver que l'auteur est engagé et n'a pas peur d'affirmer ses opinions. I/ L'apologue, une forme d'agumentation efficace 1) Un récit qui amuse Des animaux symboles des comportements humains [exemple : LE corbeau et le renard..] Un ton léger et un registre ironique [ex : Candide de Voltaire] 2) Une argumentation avec une morale Mise en évidence

donc totalement hors de portée des enfants. D’autre part, la différence de moralité entre le chêne et le roseau de La Fontaine écrit en 1693 dans le mouvement du classicisme, et la version le chêne et le roseau de Jean Anouilh en 1962 en période d’après guerre dans le siècle des héros, est flagrante. Ainsi La Fontaine dénonce la prétention du chêne et met en avant la sagesse du caractère mesuré du roseau qui se plie. Il fait donc une référence à la cour du roi. Mais Anouilh vivant à une tout autre

mauvaise foi. Il essaie de justifier le fait qu’il s’apprête à manger l’agneau avec de mauvais arguments. Au fond, on sait qu’il a tort. De plus, l’agneau a le dessus dans la conversation : il contredit habilement le loup, à chaque fois. Il a une argumentation logique. Mais à la faim, le loup le dévore quand même. Morale « La raison du plus fort est toujours la meilleure. » Cette morale signifie que si deux personnes ne sont pas d’accords, même si l’une a de meilleurs arguments, mais qu’il est plus

Lycée Français de Singapour Année 2014-2015 1ère ESB Objet d’étude : La question de l’homme dans les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours. CORPUS Texte A : Jean de Lafontaine, Fables, I-22, « Le chêne et le roseau », 1668. Texte B : La Bruyère, Les Caractères, XII, « Des Jugements », 1688. Texte C : Diderot, Encyclopédie, Article « Autorité politique »,1751-1772. Texte D : Victor Hugo, Les Châtiments, « Fable ou Histoire », 1853. Texte E : Rabah Belamri, Mémoire en archipel

DISSERTATION SUR L'APOLOGUE sujet : n°53 annabac de première "La parole qui nourit" Documents : •A_Jean Anouilh "Le chêne et le roseau", Fables 1973 •B_Michel Tournier "Taor, Prince de Mangalore" dans Gaspard,Melchior et Baltazar, 1979 •C_Bernard-Marie Koltès, Combat de nègre et de chiens, scène 4, 1979 •Anexe_Bruno Bettelheim, Psychanalyse des cones de fées, 1976 sujet : Dans "Taor, Prince de Mangalore", de Tournier, Rizza dit : "La bouche servait de temple vivant [...] à la parolequi

II-) Objet d’étude : Argumentation indirecte et le Classicisme Les leçons de la fable Problématique : Comment la fable met-elle la versification au service de la satire sociale ? Etude analytique des œuvres de La Fontaine : 1. J.de La Fontaine, « Le Cheval et le Loup », Fables, livre V, VIII, 1668 2. J.de La Fontaine, «  Le Chêne et le Roseau », Fables, I, 22, 1668 3. J.de La Fontaine, « Le pouvoir des fables » (extrait)

Documents : •A_Jean Anouilh "Le chêne et le roseau", Fables 1973 •B_Michel Tournier "Taor, Prince de Mangalore" dans Gaspard,Melchior et Baltazar, 1979 •C_Bernard-Marie Koltès, Combat de nègre et de chiens, scène 4, 1979 •Anexe_Bruno Bettelheim, Psychanalyse des cones de fées, 1976 sujet : Dans "Taor, Prince de Mangalore", de Tournier, Rizza dit : "La bouche servait de temple vivant [...] à la parolequi se nourrit et à la nourriture qui enseigne, à la vérité qui se mange et se boit, et

décodée par le lecteur. Ainsi la fable de Jean Anouilh le Chêne et le roseau, parodie celle de la Fontaine, qu’il faut connaître pour déceler l’ironie de la réécriture où La Fontaine fait l’éloge de l’humble roseau, à qui son habileté permet de résister à la tempête quand le chêne orgueilleux est déraciné, Anouilh inverse la situation : c’est désormais le roseau qui est arrogant, tirant vanité de sa survie par temps d’orage. Le chêne est de nouveau déraciné mais c’est sa grandeur, son héroïsme

Commentaire du texte de Pascal, Pensées, I, 10-11 Texte « L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C'est de là