Argumentation Montaigne

formes de l’essai, de la fable ou du conte philosophique. Un argumentation a pour but de convaincre, c'est-à-dire d’amener le destinataire à adhérer à un point de vue en jouant sur la logique, la rigueur et le rationnel. On peut aussi faire appel aux sentiments, au plaisir et à l’émotionnel, pour le persuader. De plus, le récit fictif utilise l’argumentation indirecte alors que pour présenter directement ses arguments, on utilise une argumentation directe, tel l’éssai aussi peut-on se demander si, pour

entière ou bien des êtres inférieurs ? La passage étudié aborde explicitement cette question . Pb : En quoi cet extrait relève-t-il deux conceptions radicalement différente du rapport à l'Autre ? Nous verrons tout d'abord en quoi cette argumentation de Sépulvéda et celle de Las Casas s'oppose pas seulement sur deux doctrines différentes mais également deux tempéraments , I/ Étude de l'Argumentation : 1) Thèses : a) Sépulvéda : La thèse de Sépulvéda est énoncé dès le départ ( ligne 1

  Fiche sur l’objet d’étude : « Convaincre, persuader, délibérer »/ Argumentation   I - Les acquis de la classe de 2nde : Théoriquement, en classe de seconde, vous avez traité l’objet d’étude suivant : « Démontrer, convaincre, persuader ». Il s’agissait de vous faire percevoir et comprendre les différences, mais aussi les liens entre ces trois verbes. -       démontrer : il s’agit de prouver, nous sommes dans le domaine des données vérifiables (proche d’une démarche scientifique). -      

Montaigne, De la conscience Dans une conception humaniste l'auteur et philosophe Montaigne affirme: » Je n'ai d'autre projet que de me peindre moi-même», c'est en cela que l'entreprise des Essais se révèle novatrice grâce à la notion d'introspection qu'elle fait naître. Cette œuvre mettra une vingtaine d'années à prendre forme et ce jusqu'à la mort de l'auteur. Les pensées de ce philosophe se donne à voir à travers un discours argumentatif basé sur des concepts tels que la politique, la liberté

LA 8- Pensées Blaise Pascal Introduction : Essai = forme argumentative directe rendue célèbre au XVIe siècle par Michel de Montaigne. Permet à l'auteur d'exprimer directement son point de vue sur un ou plusieurs sujets. Forme choisie par le mathématicien et philosophe du XVIIe siècle Blaise Pascal pour son Apologie de la Religion Chrétienne, publiée après sa mort sous le nom de Pensées. Dans cet ouvrage, Pascal expose son pdv sous la forme de fragments, à propos de sujets variés. Dans cet extrait

débridée car elle trompe son mari, « je n'ai pas trop gardé ma parole » l.25, euphémisme pour : j'ai trompé mon mari. Cependant c'est une femme cultivé qui a réussi à passer « d'un trône à l'autre » l.5, comme en témoignent ses lectures ( elle lit Montaigne, Plutarque et saint Paul et connaît par cœur les vers de Molière). 2). Une femme de caractère. La Maréchal a un fort tempérament comme nous le montrent ses gestes ( « j'ai jeté le livre » l.14 ). On remarque aussi dans sa tirade, une rafale de

raison. Il s’agira de réfléchir aux modalités de l’argumentation directe ou indirecte à travers les problèmes que posent les différentes formes de l’essai, de la fable ou du conte philosophique. Pour cela on a la possibilité de distinguer entre argumentation directe (explicite) ou indirecte (implicite) et de rattacher les genres à l’un ou l’autre type d’argumentation. Nous allons donc déterminer entre ces des deux types d'argumentation quel est le plus efficace ? Dans le premier type, le discours

Texte 1 : Essais I, chapitre 31, Montaigne : « Des Cannibales », 16e → En quoi ce texte décrit le Nouveau Monde tout en faisant une critique efficace des Européens ? I. Une argumentation efficace a. Ethos argumentation directe : - « je » pour donner son opinion -essai - « nous », il s'implique dans la pâte humaine -modélisateurs avec « je trouve » : exprime ce que le locuteur pense de ce qu'il dit l'auteur se présente avec une certaine autorité et certitude: - « comme de vrai »

Argumentation Thème et thèse : un avis, un jugement qu'un locuteur défend Arguments et exemples : - Un argument est abstrait, général : il fait le plus souvent appel à la logique. - Un exemple est plus concret, plus particulier, voire même anecdotique. Convaincre et persuader : soit il s'adresse à la raison de son destinataire, auquel cas il tente de le convaincre ; soit il essaie de toucher les sentiments du récepteur, auquel cas il passe par la persuasion. L'énonciation dans

est néanmoins indéniable de remarquer que cette efficacité varie. En effet, certains textes posent problème quant à leur compréhension. Les Essais de Montaigne par exemple, de par la complexité de leur langage posent clairement un problème : les lecteurs peu habitués à la langue du 16ème siècle ne se retrouveront pas dans les propos de Montaigne probablement parce que la fameuse barrière de la langue est présente entre eux et le sens et donc l’efficacité du texte. De la même façon, Rousseau reproche