Argumentation Obéissance

écrivent des récits brefs et fictifs mettant généralement en scène des animaux pour critiquer les hommes. Ce récit est une fable à la morale implicite sur les liens qu’entretiennent l’argent et le bonheur. Nous avons à faire ici à une argumentation indirecte dont la force repose sur le contraste des deux personnages et le jeu des valeurs mises en scène. Cette fable appartenant au genre de l’apologue (récit bref à visée argumentative dont les arguments ont une portée allégorique.).

Énonciateur va faire terme dépréciatif ou péjoratif, ou conditionnel. Ex. La religion serait source d’intolérance. Le champ lexical utilisé va être contraire à celle défendu. Figures d'oppositions ; antithèse, voire oxymore si collés. But d'une argumentation : convaincre ou persuader convaincre : par la raison  ; persuader : par les sentiments Liens logiques, connecteurs logiques. En outre, par ailleurs, ensuite, d'une part, d'autre part, non seulement, mais encore … Comme, ainsi que, de

suivre un cheminement logique. Entre chaque étape de mon argumentation, il faut identifier l’articulation logique. Pour cela inscrire au brouillon un connecteur logique entre chaque partie et sous-partie, afin de bien percevoir la relation qu’il y a entre elles : cause, conséquence, addition, opposition, concession, … C. Choisir et classer les exemples On doit répartir les exemples en regard des arguments. Ils rendent votre argumentation concrète en l’étayant. Ils proviennent de trois sources

comprendre le cheminement de la pensée. Ils permettent d'organiser les arguments entre eux pour constituer un raisonnement logique, pour marquer les différentes étapes et pour développer l'argumentation. En conclusion, ils sont indispensables à une argumentation bien construite.

comprend plusieurs parties centrées chacune sur une idée centrale. Chaque paragraphe traitera un seul et même thème. Aller à la ligne quand on change d’idée et cela précédé d’une transition. Il faut prendre soin d’illustrer avec des exemples votre argumentation. La thèse * Qu’est-ce que l’échec scolaire ? * Le maître * L’école * La famille * La société L’antithèse * L’élève 3) La conclusion Eu égard à ce qui précède, tous les partenaires du système éducatif sont sur

théâtrale et célébrant les vertus du théâtre. I Un dialogue argumentatif [ Remarque : le piège, lorsqu’il s’agit d’étudier une argumentation, c’est de paraphraser le texte et de se contenter d’affirmer que « l’auteur ou le personnage dit que… puis il dit que…, etc. ». Pour éviter cette tentation, il faut davantage étudier la manière dont se présente cette argumentation] 1°) Un rapport de force : Très vite, cet échange argumentatif, initié pourtant par Argan (« Mais raisonnons un peu, mon

les essais. En effet, dans un essai, l'auteur utilise la plupart du temps la stratégie la plus efficace qui permet au lecteur de modifier son opinion mais aussi de l'inciter à agir sur les thèmes ou la thèse abordés. Nous pouvons observer cette argumentation directe dans le texte de Blaire Pascal "Tout les hommes recherchent d'être heureux". D'autres formes littéraires utilisent aussi l'argumentation directe comme la correspondance, Emile Zola dans "J'accuse" qui est une lettre au président de la république

actuelle, la dimension indirecte de l'argumentation est elle encore suffisante pour arriver à convaincre les masses sur des enjeux qui ont évolués, comme l'écologie ou les conflits religieux ou ne sommes nous désormais plus que réceptifs à une argumentation de type direct?

lieu à un plan de type analytique qui proposera l’inventaire des raisons évoquées dans le libellé. 2. Les raisons de choisir ou non la forme dialoguée concerne l’auteur, puisqu’il s’interroge, au moment de ce choix, sur l‘ef? cacité de son argumentation en direction de son lecteur. 3. La littérature offre des formes dialoguées dans le théâtre, mais aussi dans la poésie (Les Châtiments de V. Hugo, les Fables de La Fontaine), dans la prose (romans, contes et apologues qui exploitent les ressources

relever des thématiques pertinentes * les figures de style * le mode et le temps des verbes * les types de discours (descriptif, narratif, argumentatif…) * les connecteurs logiques, en particulier dans le cas d’une argumentation * les pronoms personnels et possessifs, pour mieux identifier la place de chacun * le niveau de langue (soutenu, courant, familier, vulgaire) * les registres littéraires (didactique, comique, tragique, fantastique, épique,