Argumentation Par Le Comique

Nombreux sont ceux, qui en parlant d'un poeme, se souviennent des émotions éprouvées lors de sa représentation : La force des sentiments, les satires de la société ou encore le comique. Ecouter une poésie provoque chez le spectateur la compation, souvent des sentiments. A travers leurs poèmes, les poètes nous transmettent leurs sentiments. on peut alors se demander si a travers leur art les écrivains transmettent seulement des sentiments qu'ils éprouvent ou ceux qu'ils veulent donner. La poésie ne

semble-t-il mieux approprié dans le combat des idées ? Vous fonderez votre réflexion sur des arguments clairs et des exemples précis tirés des textes étudiés en classe ou de vos lectures. Il existe deux grandes façons d’argumenter : argumentation directe et indirecte. La première, que l'on trouve, par exemple, dans un essai, consiste à démontrer une idée de façon très claire et irréfutable, alors que dans la deuxième, l’idée est plus dissimulée mais le récit qui est généralement plus plaisant

Repérez les contraintes et extrayez de la consigne : - le thème, la problématique - le genre du texte à produire : apologue, conte, dialogue, lettre, article... - le type de texte ou la forme de discours : narration, description, argumentation - le registre : comique, satirique, pathétique… - la situation d'énonciation : qui parle à qui ? où ? à quelle époque ? De la situation d'énonciation, vous tirerez : - le niveau de langue à utiliser (familier, neutre, soutenu) - le style à adopter

permet-elle de déterminer le roman ? Quelles sont les tentatives d’originalité des auteurs ? Objet d'étude : Le personnage de roman du XVIIème au XXème siècle Pour l’exposé : Lectures analytiques retenues pour l’épreuve orale : 1. Scarron, Le roman comique, p. 46 2. Diderot, Jacques le fataliste, p. 48 3. Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, p.52 4. Butor, La Modification, p. 56 Pour l’entretien : Études d’ensemble ou éléments de synthèse : Le narrateur et son rapport au lecteur ; le genre

amour exagère voir obsession. Acte I Scène 4 et 5. portrait indirect d'Orgon. Obsession ? : oui : répétition "et Tartuffe" ainsi que "Le pauvre homme"Orgon préfère Tartuffe à sa famille. Les procédés de répétition et d'inéquation produisent le comique de la scène. Rôle de Dorine : démontrer la folie de son maître. Hypocrisie de Tartuffe : Il est impossible d'avoir une conversation avec lui. Il mange, dors (d'où sa sensualité) et boit. Cette description nous montre à quel point il est un faux

évaluation négative un point de vue néfaste de ces personnes (celles fantasques). On peut voir que la phrase est scindée en deux parties avec une opposition introduit par le terme « Mais ». Ici, Homais va désorienter son argumentation à l’origine négative et la transformer en une argumentation positive car ces personnes, sont comme ça car ils pensent. Pour nous lecteur, cela influence notre vision des choses, car s’ils pensent, et qu’ils pensent réellement comme le terme s’employait à l’époque, alors ils

texte utilise-t-il ? Victor Hugo, Les Châtiments, « souvenir de la nuit du quatre » Quels procédés le poète utilise-t-il pour persuader / convaincre le lecteur ? Sartre, La putain respectueuse, Tableau I scène 2 Comment s’affrontent les argumentations des deux personnages ? Sartre, La putain respectueuse, Tableau I, scène 4 « Comment expliquer... » à la fin Quelle est l’argumentation du sénateur dans cet extrait ? Sartre, La putain respectueuse, Tableau I, scène 4 de « Bon, les présentations

Alternance des pronoms personnels : Je/On/Je Conclusion proverbiale, rentrée dans la langue française : « Qui ne fait châteaux en Espagne ? » « Je suis gros Jean comme devant. » Dénonciation via le symbole Jean de La Fontaine par le biais d’une argumentation déductive convainc le lecteur que le statut social n’est en rien un obstacle à la réflexion. L’auteur oppose la raison à la passion, la sagesse à la folie et le monarque au peuple. A ce titre, Perrette incarne la figure du peuple qui commence

de l'apologue n'est pas uniquement de délivrer un message, mais d'inciter le lecteur à la réflexion. Les auteurs du 18e siècle utilisent l’argumentation pour soutenir, réfuter ou discuter une opinion, une thèse. Dans les œuvres littéraires, ces argumentations sont transmises de façons implicite ou explicite. Nous étudierons les formes d’argumentations que l’on rencontre dans les œuvres littéraires, et leur efficacité à convaincre et à persuader ses lecteurs. Dans une première partie, nous examinons

« débiter »(12) qui a un sens péjoratif(il parle sans savoir)) et le pauvre qui en a(« il sait »(21) « il a de l’esprit »l(21)) mais est incapable de le montrer. ▪ A l’intérieur du paragraphe 1 on notera aussi l’opposition (caricaturale,comique) entre : -giton « il » et les autres(celui qui(3)/ses égaux(8)/on(10)). et -Phédon « il » et la société(ceux à qui(23)/ les autres(25)/celui qui(31)). ▪ Le texte évoque donc la « fracture sociale »