Aristote Autrui

critères : - son emplacement (il est toujours situé avant un autre discours et s’oppose à l’épilogue), - et son caractère transitif (il dépend de cet autre discours qu’il introduit)= il forme une transition. Dans l’Antiquité , Aristote* définit le prologue tragique comme une sorte d’exposition dans une scène dialoguée ou dans un monologue. Il accorde une place importante à l’argumentum qui vise à introduire le contenu de la pièce . Aristophane*, considère que son rôle principal

homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme estaussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage.•besoin :Ce qui est nécessaire à l'existence, à la conservation ou au développement d'un être vivant. En dehors des

me connaître mieux que moi-même ? Pourtant, comment se fait-il que lorsque l'on veut faire le point sur un événement de notre vie, ou que l'on veut découvrir ce qui ne va pas au plus profond de nous, nous nous dirigeons vers un psychologue, qui est autrui, et donc extérieur à nous ? Mais finalement, est-on vraiment seul dans la solitude ? N'y a t-il pas plusieurs degrés de solitude ? « Est ce dans la solitude que je me découvre ? ». Qui est ce « je » dont parle la question? Ce pronom est utilisé

: Différence : - rapport d’altérité entre des choses qui ont des éléments identiques : « On appelle différent ce qui est autre tout en étant le même à certains égards : non seulement le même numériquement, mais en espèce, en genre, en analogie. » ARISTOTE ex : chien, loup, renard. - en morale, le droit à la différence serait surtout le droit d’un individu ou d’une communauté à choisir ses valeurs, son genre de vie, contre une conformité imposée au nom de l’égalité. C’est ainsi que la différence sexuelle

de refuser de faire. Qu’est-ce qui commande la volonté ? La raison est celle qui commande et qui contrôle ma volonté. La volonté est certes un bien naturel que l’homme possède ; il a le droit de dire oui ou non, de dire je veux ou je ne veux pas. Aristote écrit toutefois dans Ethique à Nicomaque que « nous délibérons sur les choses qui dépendent de nous et que nous pouvons réaliser », ce qui exclut « ce sur quoi délibérerait un imbécile ou un fou : …les entités éternelles…, les choses qui sont en

sculpteur) * Il va avoir l’idée de fonder « une école » sur l’agora. * Il consacre et provoque des entretiens avec les gens, parfois des débats très poussés, destiné à traquer la vérité. * Il ne prêtant rien apprendre à autrui : « Tout ce que je sais, et que je ne sais rien » * Il veut susciter l’interlocuteur en faisant, accouché les esprits (c’est la maïeutique) * C’est le doute « socratique » remettant en question les idées reçues. * Il

bon plaisir sans être gêné ou entravé par autrui, par des conditions socioéconomiques. absence de contraintes. -- L'autonomie : "L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté" Rousseau. La volonté morale pose la loi (pour tous) à laquelle elle se soumet: la volonté se prend elle-même pour objet, elle veut sa réalisation, elle a pour fin elle-même. -- La liberté économique .........(à ne pas oublier) Que l'esclavage assurait ... T.P Aristote p.61 n°12 Que l'argent peut assurer... (Qu'elle

de débat chez les philosophes. En effet, la définition traditionnelle, comme croyance vraie et justifiée, est jugée insuffisante ou inadéquate. Il existe plusieurs compléments à la définition traditionnelle : Pour Aristote, ce sont des principes très généraux qui donnent l'essence d'une chose; pour Descartes, un petit nombre de vérités saisies de façon claire, distincte et indubitable pour Kant, les intuitions des sens (ou sensations) et les principes de l'entendement

théorie des idées 2°La psychologie de Platon 3°L’éthique de Platon 4°L’Etat chez Platon 5°Vers une métaphysique théologique 6° Le Dieu chez Platon C. Aristote (384 – 322) 1. Vie et personnalité 2. La logique 3. La philosophie d’Aristote 1° Métaphysique 2°L’homme 3° L’éthique 4° dieu = cause finale

|Steinbeck | | | |Connaissance de soi nécessaire fgt 66/72 |Estime de soi : 479 | | | |Estime de soi fgt 429/53 ; (% jugement par autrui) fgts | | | | |149/31, 151/63, 409/117, 410/15 | | • Plus profondément, la justice-vertu a un sens relativement