Aristote Contre Le Relativisme

fatale, mais en réalité, il n’en est rien, en tout cas, il n’en était rien au départ. Elle a l’air impersonnel, mais en réalité, il n’en est rien, en tout cas, il n’en était rien au départ. Donc, vous avez prétendu organiser des antithèses faciles contre un Bergson, à qui vous faisiez dire le contraire de ce qu’il disait, le pauvre. En refusant la nuance considérable qu’il introduit ici, en forçant son propos, vous aboutissiez à un contresens. Si je dis de quelqu’un qu’il a une apparence d’intelligence

justice doit être organisée par un gouvernement d’Elites composé d’un Roi-philosophe et de ses magistrats. Section 4 : Aristote et le droit politique : Aristote a consacré beaucoup de libre à la thématique de la justice et du droit : Les deux important sont La Politique qui est un traité de philosophie dont le droit présente une grande partie mais c’est surtout L’Ethicaninomémac. Aristote distingue la morale et le droit sans toutefois lié les ressorts moraux du droit, mais ce qui l’intéresse c’est d’étudier

suffit pas à nous décider : des géométries non-euclidiennes parfaitement cohérentes sont concevables. Quelle est donc la vérité ? Comment choisir entre différentes conceptions du monde également cohérentes ? C’est la difficulté du scepticisme et du relativisme : « à chacun sa vérité ». Nous pouvons renvoyer ici aux principes d’interprétation (le principe de simplicité, utilisé en sciences naturelles, et le principe de charité utilisé en sciences humaines) qui donnent une solution pratique à ce problème

sont produits par un principe extérieur doué de volonté). L’art souvent ne part pas de rien, il prend appui sur la nature, reprend le mouvement qui la définit pour le favoriser, l’amplifier, ou bien le contrarier, le stopper ou le transformer. Cf. Aristote, Physique, II, 1 et Métaphysique, Δ, 4. Parmi les étants, certains sont par nature, les autres du fait d'autres causes : nous disons que sont par nature les animaux ainsi que leurs parties, les plantes, les corps simples comme la terre, le feu,

Comment alors concilier l’idée qu’il puisse y avoir des mutations dans l’essence de la vérité, sans en tirer pour conséquence un relativisme sceptique, c’est-à-dire l’idée que la vérité ne serait pas la vérité – qu’elle n’est pas véritablement vraie ? II Plan détaillé I La représentation courante de la vérité 1. L’évidence sensible 2. L’opinion commune 3. Relativisme et scepticisme II La conception philosophique 1. Le regard sur l’essence 2. La vérité en tant que certitude 3. L’adéquation de la

rejet du merveilleux et la persuasion qu’il étaient impossible de mentir radicalement. · Mythe est devenu un terme péjoratif qui désigne une tradition suspecte.· Possibilité de croire en ces légendes : épurer les mythes du merveilleux, par exemple, Aristote distingue le mythe de ce qui n’est pas mythique (« on raconte que » et « à ce que l’on croit »). Strabon a su séparer le vrai du faux : Ulysse a existé mais n’a pas fait tous les voyages dont décrivaient Homère· Paul Veyne prend les points de vue

elles ne peuvent pas être classées ensemble. Il y a une différence fondamentale, une coupure épistémologique, entre les sciences de la matière et les sciences humaines, de l'homme. Le fait que l'on remplace l'absolutisme de Comte par le relativisme : la connaissance n'a aujourd'hui rien d'absolu. On a conscience que la connaissance ne nous permettra pas de connaître la totalité de l'univers physique et/ou social. Une certaine modestie s'est installée. Les resultat des sciences sont

sans égal. Il a acquit un certain prestige, il a été associé à une idée, celle d’un progrès continu de la connaissance, accumulation de vérités définitives et incontestables. La science moderne s’est donné pour objectif d’apporter les lumières contre l’obscurantisme. Il s’agissait de sortir des dogmes mais aussi de sortir des préjugés, des illusions du savoir spontané pour accumuler des vérités incontestables. Le grand outil est la Raison. Elle se caractérise par quatre éléments : La

la science économique. . Quand commence la science économique ? La science économique comme discipline qui peut être enseigné spécialisé n’est pas très ancienne. Si on prend l’antiquité et le moyen âge, on a pas de sciences indépendantes. Aristote fait de la philosophie du droit, histoire naturelle…..il avait la manie du classement. Blaise Pascale (1623-1662), Leibniz (1646-1716) « Calcul différentiel » il a abordé toutes les disciplines. XVIIème siècle se profile une idée de spécialisation

dans la définition - il ne distingue pas ce qui est accidentel et ce qui est essentiel. Pour sa part, Socrate suit, sans le dire, dans la recherche d’une bonne définition des règles : il introduit en particulier l’idée, reprise et développée par Aristote, selon laquelle une bonne définition doit comporter deux éléments: le genre et la différence spécifique. Ainsi, définir l’homme comme « un animal politique » (thèse d’Aristote), c’est placer l’homme dans le genre des animaux (êtres vivants) tout