Aristote Contre Le Relativisme

difficile, qui requiert : 1) l’impartialité de l’historien, qui exclut le mensonge prémédité soit par déformation des faits, soit par omission volontaire de certains faits (révisionnisme des historiens fascistes) et qui inclut la constante défiance contre ses préjugés, ses sympathies ou antipathies de parti, de race, de religion. 2) des qualités scientifiques. Comme les faits ne s’ordonnent pas eux-mêmes, c’est à l’historien qu’il incombe de découvrir l’ordre de leur enchaînement, c’est à dire de

d’user de sa liberté de choisir d’avorter ou non ; en l’espèce, des fautes ont donc empêché Mme PERRUCHE d’avorter. La conséquence de cette affaire : Nicolas PERRUCHE naît atteint de plusieurs handicaps, et les parents portent plainte contre le laboratoire et contre le médecin. Comment l’interprétation de cet arrêt a donné lieu à une sorte de fantaisie interprétative, alors qu’en réalité, cet arrêt ne consacre aucune espèce de nouveau droit subjectif ? Cet article célèbre le droit de ne pas naître :

généralement en vers pour les philosophes présocratiques. Ces fragments sont intégrés à d’autres œuvres (par exemple Aristote), souvent de beaucoup postérieures, ce qui soulève notamment la question de l’objectivité. Ce n’est qu’à partir de Platon que l’on possède des œuvres presque complètes. Sur des textes d’Homère, d’Hésiode, des historiens Hérodote et Thucydide, des philosophes Platon et Aristote, des doxographes comme Diogène Laërce, etc. Sur des découvertes archéologiques. 2. 3. Les philosophes

son penchant à faire la leçon, ou à cause de son influence, il ne tarda pas à déplaire au « tyran », maître souverain. Embarqué de force sur un bateau spartiate, il fut probablement capturé et vendu comme esclave sur l'île d'Égine, alors en guerre contre Athènes. Il fut néanmoins affranchi par Annicéris de Cyrène, philosophe cyrénaïque, qui l'aurait reconnu, acheté « pour vingt mines d'argent », puis libéré.[ Après l'échec politique à Syracuse, Platon fonda, en -387, à Athènes, près de Colone et

parle couramment de « lit de Procuste » pour désigner toute tentative de réduire les hommes à un seul modèle, une seule façon de penser ou d'agir, et de « Procuste » pour leur auteur. La juste devient peut devenir un objet de conformisme ( donc de relativisme : « à chacun son sens de la justice » avec un risque sceptique fort : la justice ne peut être universalisée) dans toute tentative de définition. D’où la question séminale qui nous tiendra de Leitfaden : (problématique du cours) : La justice est-elle

dépendante de nous, entrainées çà et là par notre imagination : elles ont par elles-mêmes un rapport à leur propres réalités conformément à leur nature. ».  Il y a l’idée de réalité stable : il infère des relations la négation du relativisme. On n’est pas dans un relativisme absolu ; on ne change pas d’une réalité à l’autre, il y a une certaine persistance. Les choses ont donc une certaine nature qui s’imposent en parti à notre perception qui est distinguée du dérèglement propre à l’imagination (elles

présente la vie et les grandes réflexions d’une vingtaine de philosophes, de Platon à Sartre en passant par Descartes ou Nietzsche. Plutôt pour des CM2. La lecture de ces ouvrages ne constitue évidemment pas la séance de débat-philo. Ils peuvent par contre aider l’enseignant dans la préparation du débat-philo. Il nous semble de toutes façons intéressant que plusieurs de ces livres soient disponibles dans la bibliothèque de classe ou la BCD de l’école et puissent être lus par l’élève lorsqu’il le souhaite

positif : nature et fonctions L’expression droit positif signifie factuel, elle vient de ponere legen qui veut dire édicter une loi càd le droit en vigueur à une époque, un moment donné. Le droit positif s’oppose au droit naturel (expression inventé par Aristote dans l’Antiquité), c’est le droit idéal, rationnel, tel qu’il devrait être. Ce sont des propositions sur ce qui pourrait être amélioré. Le droit positif peut être conforme au droit naturel. Chapitre I : La spécificité de la norme juridique Le

 Gandhi, Martin Luther King, Nelson Mandela, Charles de Gaulle... voici autant de figures qui ont marqué le XXème siècle par des actes de désobéissance qui s'insurgeaient contre des lois considérées comme injustes. La loi, c'est en effet d'abord la loi juridique, celle qui est produite par un pouvoir législatif et exécutée par un pouvoir exécutif, légitimes ou pas, et auxquelles les membres d'un Etat doivent se soumettre. Or, la désobéissance, pacifique ou violente, peut d'abord être entendue comme

sa dimension fonctionnelle. Cette dernière se dédoublant en une fonction représentative (le langage permettant de décrire ce qui m’entoure) et une fonction expressive (le langage me permettant d’extérioriser mes états d’esprits). On peut citer ici Aristote quand il déclare dans De l’interprétation que « les sons émis par la voix sont les symboles des états de l’âme ». Toute la puissance de la langue se résumerait-elle à être l’outil de la communication ? Dans cette perspective on ne voit pas vraiment