Arret Smitom

normes internationales et européennes. Section 1 : La sanction de la violation des règles constitutionnelles Le juge administratif peut annuler un acte administratif au motif qu’il est contraire à une norme constitutionnelle. Ex : CE 29 avril 1994 Arrêt Haut commissaire de la république en Nouvelle Calédonie. = Le CE annule un acte administratif contraire au principe fondamental reconnu par les lois de la république de liberté d’association. Une difficulté se pose dans l’hypothèse ou l’acte attaqué

intervenir dans 3 domaines : En termes de responsabilité de l’Etat du fait de l’activité des assemblées parlementaires (responsabilité sans faute) ; En ce qui concerne les agents des assemblées parlementaires ; Par un revirement de jurisprudence dans son arrêt CE Assemblée 5 mars 1999 Président de l’A.N., dans les contrats conclus par les assemblées parlementaires. En l’espèce, l’A.N. avait signé un marché public pour faire des travaux. Suite à un litige, le juge administratif s’est reconnu compétent pour

restrictive des dispositions législatives qui limitent et ils annulent les actes administratifs qui limitent cette liberté. CE, 27 avril 1998, Mr Cornette de Saint Cyr : arrêté interministériel appliqué et imposait un délai minimum entre la consultation d’un médecin et une intervention de chirurgie esthétique. Le CE a annulé cet arrêté aux motifs qu’il portait atteinte à la liberté contractuelle sans y avoir été habilité. Le CE, ordonnance du 12 novembre 2001, Société Lidl, le CE assimile la liberté

définitions communautaires et françaises. Pour le juge administratif français, 1 contrat non soumis au code des marchés publics pourra être qualifié de marché public au sens du droit communautaire s’il entre dans le champ d’application d’1 des directives ; arrêt CE, 20 mai 1998, communauté de commune du Piémont barr ; CE, 19 octobre 2001, société alstom. De plus, si ces règles de transparence, non discrimination s’appliquent au marché public en vertu des directives de 2004, elles s’appliquent aussi à d’autres

l’affectation à l’utilité publique (intérêt général) A) La nécessaire appartenance du bien à une personne publique Ce critère correspond à la consécration par le CG3P de la thèse propriétariste. Thèse que le Conseil d'Etat avait retenu dans un arrêt : Conseil d'Etat, 12 janvier 1923, Piccioli. L’exigence de la propriété publique sur un bien du domaine public apparait être raisonnablement une condition logique puisque les biens du domaine public sont soumis à un régime exorbitant du droit commun

déterminée. En vertu du CPP, la fonction de la PJ est de constater une I pénale commise ou sur le point d’être commise et d’en rechercher les auteurs. Au contraire, la PA a pour fonction d’éviter ou de faire cesser un trouble à l’ordre public. Ex : arrêt de principe: CE, 11/05/1951, Affaire Consorts Baud : des policiers étaient à la poursuite des malfaiteurs. Ceux-ci se réfugient dans un café. Un client, prenant peur devant les forces de police, s’enfuit et il est mortellement blessé par un agent de

l’exploitation d’un service public, • l’élément financier : une rémunération substantiellement liée aux résultats. Si les deux premiers critères ne font guère de difficultés, le troisième a donné lieu à une abondante jurisprudence. Systématisé par le célèbre arrêt « Préfet du Rhône c/ commune de Lambesc5 », il constitue aujourd’hui le critère déterminant permettant de distinguer les délégations de services publics des marchés publics6. Il a été récemment précisé par le Conseil d’État dans ses décisions « Département

l'ensemble du territoire, en l'absence même de toute disposition législative expresse, de même il lui incombe de « veiller à ce qu'à toute époque les services publics institués par les lois et règlements soient en état de fonctionnement ». Ces deux arrêts lui confèrent ainsi les pouvoirs les plus vastes, aussi bien en matière de police administrative qu'en matière d'organisation et de fonctionnement des services publics (...). Les principes ainsi dégagés sont toujours valables (...). Ils n'ont pas

(dissertation, cas pratique, commentaire de décision, commentaire et synthèse de documents). Art. 5: L’épreuve finale de partiel portera à la fois sur les connaissances exposées en cours magistral et sur les savoir-faire acquis en travaux dirigés, arrêtés à la date de l’épreuve. Elle engagera tant la connaissance des principes fondamentaux de la théorie des contrats, que la maîtrise de l’histoire et de l'analyse des évolutions jurisprudentielles. A l’épreuve finale du second semestre, seul est autorisé

législations des États membres relatives aux taxes sur le chiffre d’affaires»[27] Pendant longtemps, le juge communautaire considérait qu’il appartenait au juge national de déterminer concrètement s’il existait une distorsion de concurrence. Par un arrêt du 16 Septembre 2008, il faut désormais apprécier l'article 4, 5 deuxième alinéa de la 6e directive (désormais article 13, 1 alinéa 2 de la directive 2006/112/CE du 28 novembre 2006) en ce sens que « les distorsions de concurrence d'une certaine