Arrêt Crim 8 Septembre 2010

7. les moins graves : tribunal de police municipale, compétent pour juger les contraventions de simple police. 8. Les plus ou moins graves : tribunal de police correctionnel, compétent pour juger les délits. 9. Les plus graves : tribunal criminel départemental, compétent pour juger les crimes. Les juges sont élus par les citoyens et on va créer des jurys en matière criminel : un jury d’accusation et un jury de jugement. Pendant le Consulat

SOMMAIRE : ! ! ! Documents, synthèses, liens avec le sujet : Page : 2-3-4-5-6 Document 1 Document 2 Document 3 ! ! Introduction : Page : 7 Problématique : Page : 8 Développement : Page : 9-10-11-12 ! ! ! ! ! - Caractères généraux des contrats de travail. ! - Evolution des contrats de travail. - Les avantages de la multiplication des CDD pour l’employeur. - La multiplication des CDD précarise les salariés. ! Conclusion : Page : 13 !

TERRORISME : PROPOSITION DE PROCEDURES ET D’OUTILS D’AUDIT AUX COMMISSAIRES AUX COMPTES Session de novembre 2011 Cédric VOISIN 166, rue Paul Doumer 78510 TRIEL SUR SEINE SOMMAIRE LISTE DES ABREVIATIONS 7 NOTE DE SYNTHESE 8 INTRODUCTION 11 PREMIERE PARTIE LE CADRE CONCEPTUEL ET LEGAL DU BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET DU FINANCEMENT DU TERRORISME 16 CHAPITRE 1 : LE BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET LE FINANCEMENT DU TERRORISME : LES ESSENTIELS 16 Section 1 : Le blanchiment

juridiction d’instruction du 2nd degré. On peut faire appel devant la Chambre d’instruction et si elle considère qu’il n’y a pas assez d’éléments, la Chambre d’instruction peut faire une enquête. Dans cette hypothèse, c’est elle qui va prendre un arrêt de clôture. En revanche, si elle considère qu’il n’y a pas de problème, elle ne va rien faire. C’est une formation collégiale : un président de la Chambre d’instruction et 2 conseillers. Le parquet est représenté par le procureur général ou un substitut

importante crise politique. Néanmoins au fur et à mesure du temps, le rôle de l’armée est affaibli puisque d’un organe exécutif, l’armée est devenu un organe consultatif et les amendements apportés à la Constitution après le référendum du mois de septembre avaient aussi pour but d’affaiblir le pouvoir militaire puisqu’aujourd’hui, il n’est plus permis qu’un civil soit jugé par un tribunal militaire et il sera plus facile de traduire un militaire en justice. Par contre il reste toujours difficile d’exercer

La tentative est soumise au principe de légalité. La répression n’est donc possible que dans les cas prévus par la loi. Des distinctions sont à faire au regard de la classification tripartite : - La tentative est toujours punissable pour les crimes, c’est un principe général - La tentative n’est punissable que si la loi le prévoit pour les délits (Par exemple, la tentative de vol (311-3) ou d’escroquerie (313-3) est punissable tandis que la tentative d’abus de confiance ne l’est pas - La tentative

utilisés pour mesurer A. les statistiques Pour mesurer une tendance. Elles peuvent être de deux ordres en France. Il existe 3 catégories d'infractions pénales (classification tripartite): contravention, délit, crime. 1) policières Tous les crimes et délits révélés dans un délai d'un an aux services de polices. Pour entrer dans la statistique, il faut qu'il y ait eu révélation, dénonciation aux services de police. Or, on peut ne pas porter plainte. Les pouvoirs publics ont des politiques

peut être condamner 3. Légalité de la peine : Ici la légalité de la peine n’est pas respectée. Peine correcte : 8 jours à 1 an ET amende de 26 à 1000 francs OU peine de travail de 46-300h OU peine de travail de 46-300h ET l’amende Rappel théorique : 3 catégories d’infractions : - Contravention : 1 à 7 jours d’emprisonnement et/ou amende de – de 25€ - Délit : 8 jours à 5 ans d’emprisonnement et/ou amande de 26€ et plus - Crime : réclusion de plus de 5 ans et/ou amende de 26€

moyen de réguler un certain nombre d’activités mais également de répondre à des problématiques précises. Ce recours quasi systématique au droit pénal pour répondre à ces préoccupations date de l’entre deux guerres puisqu’on a eu des décrets-lois le 8 août 1935 qui ont été pris et qui sont venus pénaliser un certain nombre de comportements. C’est à cette époque là que l’on a l’éclosion de l’abus de biens sociaux. Ce décret-loi intervient en même temps que l’affaire Staniski (impacte sur l’économie

«fondamentalité » d’une liberté pourra être plus relative que celle d’un autre. La distinction faite par L.Favoreu peut sembler infondée si on admet que le juge ordinaire, en particulier le CE, peut être amené à dégager des libertés fondamentales. Exemple : Arrêt CE du 3 juillet 1996 MOUSSA KONE. Ici le CE reconnaît un principe fondamental reconnu par les lois de la république. De même la réforme du 30 juin 2000 relative au référé devant les juridictions administratives, permet au CE, dans le cadre du référé