Art 1382 Code Civil

entre les actes primaires et secondaires. En principe l'expression contrefaçon devrait être restreinte à la première catégorie, les incriminations accessoires étant soumises à un régime différent (et notamment au droit commun de la responsabilité civile, ce qui n'est pas le cas des actes contrefaçon au sens strict). Les produits issus d’actes de contrefaçon, et notamment les produits fabriqués en violation du monopole (donc sans autorisation du titulaire des droits, lorsqu’elle est requise), sont

Le pacte de solidarité civile 2 poussée sociale en sont à l'origine: la première poussée sociale est celle tendant à mettre fin à l'exclusion juridique des couples homosexuels, auxquel la cour de cassation avait refusé par deux fois d'appliquer les dispositions bénéficiant aux concubins. D'autant que divers pays voisins avaient eux déjà mis en place un cadre juridique parallèle. La seconde poussée sociale est celle des couples hétérosexuels ne voulant pas se marier et

2009 La rupture fautive des pourparlers ne peut donner lieu à indemnisation du préjudice résultant de la perte de chance de réaliser les gains que le contrat aurait permis d’obtenir. Telle est la solution rappelée avec clarté par la troisième chambre civile de la Cour de cassation le 7 janvier 2009. En l’espèce, un bail commercial avait été conclu entre une SCI et une société. Des négociations s’engagent entre le bailleur, le preneur et un tiers à propos de la cession du bail. Ces négociations sont alors

l’image Définition du droit à l’image : Le droit à l’image est le droit pour toute personne d’interdire au tiers la captation et l’utilisation de son image (publication, reproduction...) ; droit d’origine jurisprudentielle fondé sur l’article 1382 du Code civil. le droit pour toute personne de s’opposer à ce que son image  soit divulguée sans autorisation à des fins publicitaires ou commerciales, voire à des fins purement journalistique. Fondement : Le principe du droit à l’image se fonde à l’art

également les juridictions internationales qui s’imposent en France. Plan : A) Juridictions Judiciaires B) Administratives C) Spécialisées, échappant au dualisme des juridictions D) Juridiction internationales A) Judiciaires Civil, commercial ou social (civiles)  Répressives ou pénales : constatent et sanctionnent les infractions (amande, prison,…) : cour d’assise, tribunal correctionnel B) Administratives Entre les particuliers et l’administration : cour administratives d’appel, conseil

réalité juridique Le code civil ne défini pas la famille. Lorsque la loi est muette, il appartient à la doctrine de combler les lacunes de la loi. La définition de la famille actuelle est doctrinale. a) Le silence du Code civil La famille n’est pas définie dans le Code civil, et d’ailleurs dans le code civil, le mot famille ne s’y retrouve que rarement. En 1804, 2 seuls articles comprenaient le mot famille. En 2008, on est passé à une petite demi-douzaine d’articles du code civil (213 Cciv., concernant

depuis l’age de 11ans» • Art. 21-13. «La qualité de français dans les 6 mois qui précède sa majorité ou dans les 12 mois qui suivent peut etre aqcuise. Permet de passer outre les 5 ans de réssidance en France.» • L’enfant mineur de parents étranger peut à partir de 16 ans demander la nationalité s’il répond aux exigence de résidance de l’art 21-11 allinéa 1. Il peut aussi a partir de l’age de 16 par le biais de ses responsables légaux demander la nationalité française Art. 21-11 allinéa 2 • La

Unions Le droit a très vite conçu l'union à travers une institution: le mariage. Officiellement en France jusqu'en 1999, la seule union juridique reconnue était le mariage. Depuis 1999, deux nouvelles unions sont apparues : le concubinage et le pacte civil de solidarité (PACS). Très peu d'investissement du droit dans le concubinage, un peu dans le PACS et dans le mariage, on a une institution très organisée. Titre 1 : Le concubinage Le concubinage n'est pas une chose récente. C'est plutôt quelque

DROIT CIVIL Paragraphe 1 : Classifications Tous les être humais sont en principe des personnes. Pas une personne = chose. Mais toutes les pers ne sont pas des êtres humains. Le droit civil distingue 2 catégories de sujets de droit : les personnes physiques (chaque individu) et les personnes morales (aussi pers juridiques). Pers morales = groupements : sociétaires, associations, syndicats, fondations ->ont des buts et intérêts collectifs. Ce sont des entités intellectuelles distinctes des parties

dans le cadre de l'ouverture du capital social de la société Snecma qui avait justifié le droit d'alerte, la cour d'appel n'a pas tiré les conséquences qui s'évinçaient de ses propres constatations en violation des articles L. 2323-78 à L. 2323-82 du Code du travail ; 2°/ qu'à supposer même que la fusion avec la société Sagem ait été en relation directe avec l'ouverture du capital de la société Snecma, elle ne pouvait justifier l'extension de la mission de l'expert qu'à la condition d'être elle-même