Art 1383 Code Civil

Civil – Droit des sûretés INTRODUCTION Les sûretés sont des garanties de paiement offertes à un créancier. Cependant, pour qu’il n’y ait pas de confusion, on doit ajouter que toutes les garanties de paiement susceptible de se rencontrer ne sont pas des sûretés. Le terme sûreté doit ainsi être réservé à certaines garanties de paiement susceptibles d’amener pour un créancier un droit prioritaire de paiement si jamais il se trouvait en concours avec d’autres créanciers de son débiteur. Les sûretés

jurisprudentiellement puis consacré textuellement Depuis le début du XIX° siècle (création du code pénal), la jurisprudence fait référence à un principe de responsabilité personnelle : la responsabilité pénale ne peut résulter que d’un fait personnel. Pourtant, le CP ne consacre pas textuellement ce principe, c’est la jurisprudence qui affirme ce principe. Cette absence de référence textuelle dure jusqu’au nouveau code pénal, en 1992. L’article 121-1 CP dispose : « Nul n’est responsable pénalement que

classique C'est dans le contexte d'Ancien Régime qu'apparaît cette pensée. Elle se développe au cours du XVIII siècle pendant le siècle des Lumières. Elle débute en 1748 avec De l'Esprit des Lois et finit en 1813, date de la publication du Code pénal bavarois inspiré de Feuerbach. Montesquieu fait l'éloge de la procédure anglaise qui est accusatoire, orale et publique. La pensée pénale classique puise aussi dans les œuvres de Bentham, de Rousseau ou Voltaire. En 1764, Beccaria publie Traité

d'application de la loi contractuelle Cette loi contractuelle à une sphere d'application dans l'espace et le temps. Paragraphe 1 - L'application dans l'espace On va determiner les personnes qui sont liés par le contrat. Article 1334 du Code Civil : "les conventions legalement formé tiennent lieu de loi à ce qui les ont faite. Elles ne peuvent être revoqués que de leur consentement mutuel ou pour les causes que la loi autorise. Elle doit être executé de bonne fois. A. La force obligatoire

droit objectif reconnait et le consacre. Ainsi le Préambule de 1858 intègre la DDHC de 1789 qui fait du droit de propriété un droit inviolable et sacré. Art 2 DDHC: le but de toute association doit être la conservation des droits naturels et imprescriptibles, parmi ces droits, la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression. Art 17: la propriété est un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé sauf utilité sociale et juste contrepartie. Par ailleurs l'article 1 du protocole

de 1857. L’Office national de la propriété intellectuelle est alors crée. Il évoluera en 1951 pour devenir l’Institut national de la propriété industrielle (INPI). La version actuelle des droits d’auteur fut élaborée par la loi du 11 mars 1957. Le Code de la propriété intellectuelle tel qu’il est actuellement fut rédigé lors de la loi du 1er juillet 1992, composé de la propriété littéraire et artistique et de la propriété industrielle. 6 I. Le phénomène contrefacteur A) Son ampleur 2

DROIT DE LA FAMILLE INTRODUCTION §1 : Le fait familial. A- Les multiples visages de la famille Exemple : loi sur le mariage homosexuel, définition même débattue Il n’existe pas de définition de la famille dans le Code civil en tant que telle, et il existe encore moins de définition générale.  Aucune définition juridique de la famille dans les textes ou la jurisprudence. 1- L’histoire de la famille a- Evolutions La famille a subi des mutations : en Occident, il y a une tendance 

révolution B. La révolution C. Le code civil de 1804 D. La restauration II. La loi du 11 juillet 1975 et la suite §II. Le divorce I. Les conditions du divorce A. Le divorce par consentement mutuel B. Les autres cas de divorce 1. Le divorce accepté 2. Le divorce pour altération du lien conjugal 3. Le divorce pour faute 4. Les passerelles entre les différents cas de divorce II. La procédure du divorce A. Les dispositions générales 1 Dans le Code civil a) La compétence b) Le principe

définit par les articles 111-1 à 131-36 du code pénal pour les infractions et les articles R131-1 à R131-36 pour les contraventions. b/ Le droit pénal spécial Il consiste à déterminer les comportements que le législateur considère comme dangereux donc c’est un catalogue, une liste des comportements pénalement interdits. En pratique c’est cette branche qui est la plus utilisée par les juridictions pénales. Cette liste occupe la majeure partie du code pénal : articles 211-1 à 511-2 pour les crimes

pénal agit selon les R de la resp civile. Point communs : la PP et la PC ont des fondement et des ppes généraux assez similaires. Il y a une unité entre la jce civile et pénale. L'organisation judiciaire est la même, les principes fdx sont là aussi identiques. Divergences : le procès civile est d'ordre privé, le procès pénal est d'ordre public. R de preuve : en PP la preuve est libre, et peut même être apporter illégalement. Les sources : le cpc est un code qui a été adopté par décret (voie