Art 6 Ddhc

8 : autorité judiciaire… => dispositions relatives aux institutions et leurs rapports, existences, structure, organisation des pouvoirs publics, dispositions sur droits fondamentaux des individus (droit de l’Homme). Le préambule de 1958 renvoie à la DDHC (liberté de pensée, d’expression, droit de propriété…), au préambule de 1946 (droit du travail, droit de grève, droit à la santé, droit à l’éducation) et à la charte de l’environnement de 2004. Ces textes ont donc acquis une valeur constitutionnelle

publiques dans les Etats développés. Dans les autres Etats qui ne respectent pas les libertés, c'est l'inspiration populaire qui conduit à ce rapprochement des régimes de libertés publiques. Ex : La C° espagnole comporte des dispositions dans son art. 52-2 un recour qui évoque des procédures françaises de contrôle de constitutionnalité ( recour amparo ). L'art. 93 de la Loi fondamentale allemande prévoit dans son al. 1 le recour constitutionnel pour la protection des droits fondamentaux.

religion du droit pénal. C L’évolution du code pénal après 1789 La DDDHC de août 1789 déclare des principes qui ont eu incidence sur le droit pénal. La cour de cassation s'en réfère pour vérifier des principes posés dans le code pénal. - L'article 6 : Volonté générale, loi même pour tous protège et punis. - L'article 8 : " La loi ne doit établir que des peines strictement et évidement nécessaires et nul ne peut être puni quand vertu d'une loi établit et promulguée antérieurement au délit. ". - L'article

constitutionnalité des actes administratifs, il n’est pas juge de la constitutionnalité des lois et refuse donc d’écarter l’application d’une loi inconstitutionnelle parce que le juge de la constitutionnalité des lois, c’est le Conseil constitutionnel (CE, 6 février 1936, Arrighi). Ce n’était pas l’argument valable à l’époque : C’est d’ailleurs ce qui explique le refus du Conseil d'Etat d’examiner l’exception d’inconstitutionnalité affirmée, « compte tenu de l’état actuel du droit public » dans l’arrêt Arrighi

à ses infractions sans loi. Conséquences : - Il n’est pas possible de reprocher pénalement à une personne une action, une omission, une conduite avec l’appuie de poursuites si ce qui lui est reproché n’est pas contenu dans la loi. Art 111-3// Art 8 de la DDHC. Il faut que le législateur décrive une conduite comme étant une infraction méritant une peine - Le juge n’a pas la possibilité de décider par lui même que tel attitude est mauvaise et qu’elle mérite sanction. Le juge est fait seulement

propre comportement. La liberté a ici bel et bien un caractère abstrait puisqu’il implique que si l’esclave n’est pas libre, l’homme pauvre sera tout aussi libre que l’homme riche. On retrouve très clairement cette approche dans l’article 1er de la DDHC lorsqu’il est indiqué que « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit ». Cependant, l’égalité de la liberté est une fiction mais il faut convenir que c’est une fiction nécessaire, utile, salutaire. Selon la 2nde, la liberté est

Octobre 1958 La Constitution est une loi fondamentale qui a été approuvée par référendum lors de l'accès au pouvoir du Général de Gaulle. Elle a été écrite par Michel Debré. On y trouve un préambule avec docs juridiques qui ont une force positive, la DDHC de 1789, une charte de l'environnement, et les droits fondamentaux (liberté d'expression, le droit de propriété, le droit à la sureté, le principe d'égalité entre tous les citoyens). Dans la Constitution, on trouve tout ce qui relève de l'organisation

pouvoirs législatif et exécutif -l’autorité judiciaire devra être indépendante afin de pouvoir assurer le respect des libertés essentielles tels quelles sont définit par le préambule de la constitution de 1946 et telles qu’elles sont définit par la DDHC a laquelle se réfère le préambule de 1946 -le gouvernement devra être responsable devant le parlement, on impose un régime parlementaire -il consiste a devoir établir de nouveaux rapports avec les peuples qui sont associés à la république française

Université impériale – baccalauréat – Code civil – laïcisation 3. Surveiller et punir, ou le règne d’une Dictature – autoritarisme – esclavage – police toute puissante Toussaint Louverture – livret ouvrier – censure – police – Fouché – propagande – art officiel – endoctrinement – catéchisme impérial – culte impérial – droit divin. Séquence 8-HG20 77 Ces vingt années, 1795 - 1815, sont marquées de l’empreinte d’un homme, Bonaparte, d’abord comme chef de guerre brillant puis comme homme d’État

constituante. 2eme degré, le peuple peut assister à la rédaction de la constitution (cuba et brésil) un projet est préparer puis soumis a la discussion des citoyens, ils peuvent alors proposer la modification d'un article, la suppression ou l'ajout d'un art, ces proposition sont alors revu par l'Assemblé constituante. C'est dangereux car la Constitution doit être un ensemble harmonieux, cela ne peut pas être un patchwork… Les propositions populaires sont très rarement retenues dans le projet final. En