Arthur Schopenhauer

tristesse que cause sa condition d’être humain. Mais il se trouve que l’Homme peut tout de même avoir accès au bonheur, car grâce à la pensée, il est au dessus de la faiblesse de sa condition purement humaine et matérielle, car comme là souligné Schopenhauer « l’Homme est un animal métaphysique ». Le bonheur se caractérise par sa définition, en effet il fait référence selon Kant, à une durée qui perdure et non à un instant ou a un moment, au contraire de l’émotion ou de la joie. L’état de bonheur

PHILOSOPHIE : EXPLICATION DE TEXTE Extrait [Du] Monde comme volonté et comme représentation de Schopenhauer "Tout vouloir procède d'un besoin, c'est-à-dire d'une privation, c'est-à-dire d'une souffrance. La satisfaction y met fin ; mais pour un désir qui est satisfait, dix au moins sont contrariés ; de plus le désir est long et ses exigences tendent à l'infini ; la satisfaction est courte et elle est parcimonieusement mesurée. Mais ce contentement suprême n'est lui-même qu'apparent ; le

l'experience. Mais la sensibilité differe d'un homme a un autre et celle d'un individu varie au cours de son existence , d'ou l'incapacité de la raison humaine a etablir des regles de vie universelles conduisant de facon sure au bonheur . Selon Schopenhauer , la souffrance est pour tous l'essence de la vie , qui oscille de la souffrance a l'ennui ;en effet le desir est manque , donc souffrance .La satisfaction obtenue souvent aux prix de durs combats , ne produit qu'un plaisir ephemere que l'habitude

De la gloire excessive La gloire véritable, dit Schopenhauer dans un texte qu’il a écrit en français, va à un généraliste et non à un spécialiste. On peut être un génial informaticien mais on est génial vis à vis des informaticiens et non des médecins par exemple. L’informaticien ne sait pas ce que sait le médecin et inversement, le médecin ne peut être un génial informaticien mais peut être un génial médecin,. Le génie d’une spécialité ne peut l’être dans une autre. Vinci et Picasso sont des

Que peut nous apporter une réflexion sur le désir ? Cette question interroge sur la philosophie du sujet, avec une importance apportée au désir. Il semble donc impossible à cause des expériences que nous faisons de concevoir la personne sans la présence du désirs, ou des désirs. La tradition philosophique présente très tôt dans l'histoire des idées d'une analyse des désirs avec une sorte de constat. Nous ne pouvons pas nous empêcher de désirer, et très vite, on comprend que le désir anime la vie

cette règle de vie serait sans cesse en mouvement, incapable d'atteindre la sérénité de l'âme que suppose le bonheur.  2) Renoncer à tous ses désirs Faut-il alors renoncer à tous ses désirs ? C'est cette solution que préconise Schopenhauer.  aux yeux de Schopenhauer, l'homme est esclave du désir et oscille entre la souffrance (quand le désir est encore insatisfait) et l'ennui (après la satisfaction). La souffrance est alors notre condition. Si satisfaire tous ses désirs n'est pas une bonne règle

parfois nécessaire pour certains d’entre nous. On doit renoncer aux désirs non naturels et non nécessaires, autrement dit il est nécessaire de rejeter les désirs vains et impossible à satisfaire. Il faut désirer de ne pas avoir de désirs. Schopenhauer considère le désir comme « le fond obscure de la réalité ». Ca moral est basé sur le renoncement. En effet, certains désirs peuvent être considéré comme nuisible pour le sujet et même parfois pour la société comme par exemple le désir de tuer.

en général, dont la raison est la composante principale. Enfin, le dernier sens auquel nous pourrions entendre le mot liberté est celui du libre arbitre, cher à l’opinion populaire mais que presque tous les philosophes, de Socrate à Hegel et à Schopenhauer, rejettent dans les fictions. Le libre arbitre, c’est le pouvoir d’agir ou de ne pas agir. Croire au libre arbitre, c’est croire, par exemple, que cet homme qui a commis ce crime aurait pu (tout en étant le même homme, élevé dans le même milieu

Métaphysique de l’amour – Schopenhauer Métaphysique de l’amour, extrait de Le Monde comme volonté et comme représentation est un texte d’Arthur Schopenhauer écrit en 1818. Il évoque les thèmes du désir amoureux,  qui est d'abord caractérisé par la prise de conscience d'un manque, dont la satisfaction procure du plaisir ; et de l’inconscience, qui relève de l’ensemble des phénomènes psychiques dont nous n’avons pas conscience. Il avance une théorie selon laquelle les hommes ne sont pas maître de

philosophique occidentale oppose les optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur)