Arthur Schopenhauer

trahit la véritable pensée. Dans la schématisation que l’auteur fait de l’esprit humain il y a séparation du moi superficiel, toujours tourné vers l’action et l’utilité, et le moi profond, qui se rapproche de l’état de contemplation décrit par Schopenhauer, plus tourné vers l’art et qui profite pleinement des souvenirs de luxe, aussi dits inutiles. Dans sa thèse il explique ensuite que l’intelligence, à savoir la capacité à s’adapter au réel, est au service du moi superficiel et le langage n’est

personnage va en ce sens. Le second paragraphe du passage s'ouvre sur l'évocation de la musique accompagnant la marche triomphante de Corinne. La musique est de tous les arts celui qui caractérise la forme la plus pure de la poésie. Elle est, selon Schopenhauer, la langue métaphysique par excellence, en cela qu'elle touche à l'irreprésentable et n'attaque pas le regard. Elle habite le poème comme le rythme habite, selon Hölderlin, le destin de l'homme. La musique anime les formes textuelles et sonore

l'origine du mythe, serait né en Allemagne, vers 1480. Désigne les traits psychologiques qui différencient une personne de toutes les autres. Doctrine d'après laquelle dans l'existence le mal l'emporte sur le bien, la douleur sur le plaisir. Schopenhauer en a tiré une philosophie du renoncement. Le mot dérive du latin universus, qui signifie "tout entier". Lorsqu'il désigne les planètes, les étoiles, les galaxies, l'étendue cosmique, il prend une majuscule. Il s'agit de bien distinguer ce sens

Explication de texte : Extrait de l’Essai sur le Libre Arbitre, de SCHOPENHAUER La conscience est le propre de l’homme, ce qui par exemple le différencie des animaux : c’est la « fierté des hommes » selon Rousseau : la connaissance qu’a l’homme des ses pensées, de ses sentiments, mais aussi et surtout de ses actes. En effet, on pense souvent être seul maître de ses actes, de son comportement, on pense être la cause directe de nos actes : c’est le libre arbitre. Mais il semblerait que le libre

mais faire confiance au présent en écoutant son instinct. Par exemple, en finance il faut toujours une part d’inconscience afin de prendre des risques qui auront soit des répercutions négatives soit des répercutions positives. Selon le philosophe Schopenhauer, ce qui fait la dynamique de l’homme c’est sa volonté dont une partie importante est inconsciente. Autrement dit c’est ses tendances, ses pulsions qui poussent l’homme à agir, elles sont à l’origine inconscientes. De plus, selon lui, les actes

mené à la réflexion. En outre, l’auteur peut aussi écrire une œuvre philosophique. Dans cet ouvrage, l’auteur peut argumenter l’opinion qu’il a sur la vie. Depuis cela le lecteur peut adapter cette opinion à ses propres croyances. Par exemple, Schopenhauer a écrit de nombreux ouvrages, comme Die Kunst, Recht zu behalten (en français Dialectique éristique), argumentant ce sujet. Celui-ci avait un avis très pessimiste sur la vie et l’existence humaine. De cette façon l’auteur peut non seulement ouvrir

1. Dans ce texte, Schopenhauer entend montrer que « la partie la plus heureuse de notre existence est celle où nous la sentons le moins », thèse qu'il appuie sur la constatation de « deux faits ». Le premier, le plus abondamment développé, c'est l'affirmation d'une asymétrie essentielle entre le plaisir et la peine : le bonheur n'est jamais ressenti comme tel. Pourquoi cela ? Parce qu'un plaisir devenu quotidien n'est justement plus plaisant ; en d'autres termes, l'habitude fait décroître la jouissance

au philologue Wilamowitz. De plus, si on considère que le véritable titre est “la naissance de la tragédie enfantée par l’esprit de la musique”, il faut préciser l’influence non moindre de Wagner, à qui l’ouvrage est dédié. L’influence de Schopenhauer : cf.sous-titre éd 1886. Situation dans le corpus Il cherche à modifier la vision traditionnelle du monde grec -ici, il s’agit de la tragédie antique, mais il s’agira plus tard de la philosophie présocratique. C’est toute sa “philosophie” qui

forcément de même pour le bonheur. Cependant, de nombreux philosophes affirment le contraire. C’est notamment le cas de Freud et de Schopenhauer. Dans un premier temps, Freud qualifie le bonheur d’invention pour donne un objectif aux Hommes. Ainsi le fait de créer le bonheur « oblige » les Hommes à vivre puisqu’ils pensent pouvoir être heureux dans le futur. Schopenhauer, lui, possède une vision différente. Il explique que la vie est comme un pendule : « elle oscille de l’ennui à la souffrance et de

Eau/désir Un flux contenu qui se libère et s’épanche ?Métaphore de la déclaration, de l’aveu d’amour qui suit ce mvt dans ce passage ou même métaphore plus explicite du désir de Jean… La nature " piège " les hommes complice de la femme (cf Schopenhauer) Le sentier/tapis de cresson/ronces/herbes/éboulements Métaphore encore ( ?) Le mariage bourgeois : chemin duquel on ne sort pas (sentier), confort (cresson), tourments ambigus(ronces/herbes), drames (entassement d’éboulements) Lèvres/tête/peau/cheveux/