Assonance

(/) je fus aimé, (//) j’aimais, (/) elle était belle. » 1 2 3 4 5 6 1 2 3 4 5 6 → 2/4//2/4 Sonorités/Rimes Homophonie interne/dans un vers : → répétition du son vocalique : assonance → répétition du son consonantique : allitération « Un jour, (/) je fus aimé, (//) j’aimais, (/) elle était belle. » → assonance « Ma pensée entraînée erre en tes rêveries » (Victor Hugo) → allitération Homophonie finale : → rimes masculines : pas de « e muet » : lieu/Dieu → rimes féminines : avec « e muet » :

eux, car ils mutilent aussi leur mère, soit la France et son peuple qui en souffre « succombe à la douleur, mi-vivante, mi-morte » (v.22) (elle agonise) ; « leur poison les trouble, Si bien que leur courroux par les coups se redouble » (v.17-18) (assonance en [u] et harmonie imitative) ; « Ni les soupirs ardents, les pitoyables cris, Ni les pleurs réchauffés ne calment leurs esprits » (v.15-16) (anaphore de « Ni » et énumération ; « ardents » et « réchauffés » évoquent la brûlure, fréquente lors des

jour, (/) je fus aimé, (//) j’aimais, (/) elle était belle. » 1 2 3 4 5 6 1 2 3 4 5 6 → 2/4//2/4 Sonorités/Rimes Homophonie interne/dans un vers : → répétition du son vocalique : assonance → répétition du son consonantique : allitération « Un jour, (/) je fus aimé, (//) j’aimais, (/) elle était belle. » → assonance « Ma pensée entraînée erre en tes rêveries » (Victor Hugo) → allitération Homophonie finale : → rimes masculines : pas de « e muet » : lieu/Dieu → rimes féminines : avec « e muet » :

l'opposition entre les deux mondes et les deux statuts de l'albatros dans 4ème stropheb. Le jeu des sonorités renforce le contraste :• La majesté de l'albatros est rendu par une assonance en 'en' et une allitération en 'v' dans la 1ère strophe• La 2ème et 3ème strophes accumulent des sonorité désagréables avec une assonance en 'e' ('honteux, piteusement, à côté d'eux, veule, gueule') et une allitération en 'c' et 'gu'• Le vers 12 donne un décrochement au gérondif et une cadence plus lente, qui suggère

l'opposition entre les deux mondes et les deux statuts de l'albatros dans 4ème strophe b. Le jeu des sonorités renforce le contraste : • La majesté de l'albatros est rendu par une assonance en 'en' et une allitération en 'v' dans la 1ère strophe • La 2ème et 3ème strophes accumulent des sonorité désagréables avec une assonance en 'e' ('honteux, piteusement, à côté d'eux, veule, gueule') et une allitération en 'c' et 'gu' • Le vers 12 donne un décrochement au gérondif et une cadence plus lente, qui suggère

dans la vision souvent coder de l’auteur. En effet, la forme brève de la poésie est sujet de nombreux messages cachés qu’il faut déchiffrer. Ces messages sont "cryptés" par utilisation de nombreuses méthodes (figures de rhétorique, allitérations et assonances parmi d’autres) : figures de rhétorique : Ainsi, dans "La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur" extrait du recueille Capitale de la douleur, Éluard utilise neuf métaphores qui creusent une redéfinition constante du regard et du

liés au train dans les prochaines strophes. Effet musical de ce rythme particulier, même si les vers sont irréguliers c) Homophonies, allitérations et assonances. Elles créent une effet sonore très puissant, qui se confondent en une musique. Ex : -allitérations : en [l] dans « adolescence », « mille lieues », « folle », « ville »… -assonances : en [ã] dans « adolescence », « naissance », « anciennes »… -homophonies, jeux de sonorités : « J’avais à peine seize ans […]/ J’étais à seize mille

elle riait » v.7, « couleurs » v.8 et 10, « lèvres très rouges » v.9, « rond » v.11, « Récamier » v.12 …), et l’allitération en « f » (« France » v.8 et 10, « femmes » v.23 et 28, « fer […] flamme » v.25, « faisait » v.29). Une assonance est également présente, on a une assonance en « o » (« robe » v.1, « ottoman » v.2 et 15, « brodée » v.3, « panneaux » v.4, « épaule » v. …). Ce jeu de sonorité, montre là une forme traditionnelle du poème. Le fait que le poète fasse l’éloge d’une femme dans la première

L’amour est une condition vitale, mea indique la possession qui est une marque d’affection Par l’assonance en « a » le poète place l’amour au centre de sa vie mais aussi Lesbia. C’est aussi le fil conducteur sonore. Par opposition on remarque une assonance en « s »pour signifier le mépris des vieillards austères. La 3ème personne du singulier est utilisée pour mieux mettre à distance du couple ceux qui s’opposent à cet amour + pronom démonstratif « ille ». Ces choix d’écritures soutiennent la philosophie

« charogne infâme » adjectif rejeté à la rime : amplification du sens + nuance de superlatif de plus qu’il s’agit presque d’une redondance v3 d. v5 à 6, rythme dans le vers de plus en plus long : crescendo sur « lubrique » : découpe en (5-7)-8 + assonance en [an] « jambes », « en », « brûlante », « suant », « nonchalante », « ventre » > lourdeur du son renvoie à la chaleur B. Amplification du dégoût par les sens a. la chaleur transmet et accroît le dégoût : i. « brûlante et suant » v6, comparaison