Assonance

avec triste plaints, c'est presque un pléonasme les deux hémistiches ont rejoint le pole négatif le vers prolonge la litanie qui se fait entendre le jeu de l'allitération perdu, despendu, les assonances, temps despendu, et le retour de la rime interne u u et c'est par ces remarques d'écriture, qu'on va assonance : répétition d'un son, voyelle allitération : répétition d'un son consonne

fréquent des allitérations (simples ou complexes) : - allitérations simples : rayons de la roue - allitérations complexes : • en [f] et [R] : des rires féroces dont frissonnait chaque fleur • en [b] et [R] : la barre du bourreau Des assonances : en [si] : cierges / cire ; en [ul] : foule / écoulée (proche des rimes suffisantes) ▪ Les réseaux d’images Ils contribuent à la musicalité, et en particulier, le travail chromatique qui permet par exemple d’opposer la blanche robe d’innocence

"Les tuyaux" pour les cheminées des usines, et "les clochers" pour les édifices religieux. * Le terme "Mât de la cité" est une métaphore qui assimile la ville à une gigantesque nef, évoquant ainsi le monde des voyages. Les allitérations et les assonances créent la musicalité. * Le terme "Les ciels" appartient au vocabulaire pictural. * "Qui font rêver l'éternité" : les lignes verticales montrent le mouvement ascensionnel vers les cieux. Cette inspiration urbaine est soumise à des

j'ai si froid?" » (v.11-12) Hugo essaye de lui redonner vie à travers ses écrits. Pour finir, il réussit à insister sur la voyelle « i » en créant une assonance dans le troisième quatrain: « Peut-être, livide et pâlie, Dit-elle dans son lit étroit : "Est-ce que mon père m'oublie Et n'est plus là, que j'ai si froid?" » Cette assonance en « i » est typique de l'élégie ce qui, une fois de plus, permet d'affirmer que c'est un texte lyrique qui exprime la mélancolie, la tristesse et donc le

l'opposition entre les deux mondes et les deux statuts de l'albatros dans 4ème strophe b. Le jeu des sonorités renforce le contraste : • La majesté de l'albatros est rendu par une assonance en 'en' et une allitération en 'v' dans la 1ère strophe • La 2ème et 3ème strophes accumulent des sonorité désagréables avec une assonance en 'e' ('honteux, piteusement, à côté d'eux, veule, gueule') et une allitération en 'c' et 'gu' • Le vers 12 donne un décrochement au gérondif et une cadence plus lente, qui suggère

poésie lyrique - Orphée) - qualification dévalorisante : chant sans mélodie + écho connotations - - = douleur blessure, voire mort (oxymore - brûler vif + vif/Enterré = le chant porteur de mort) - chant = bruit du crapaud (allitération en « r » + assonance en « oi » = « croa ») – métaphore = chant du poète. C° : champ lexical chant → (titre) chant du crapaud dévalorisé. qui est-il ? Le poète maudit ? 2. Le poète maudit : - pointe du sonnet → identité/nature crapaud → invitation relecture poème + reconsidération

reprend les dernières rimes et le refrain. Aucune de ces règles ancestrale de la ballade ne sont respectées dans cette œuvre car les rimes sont croisées. Le poète s’est imposé d’écrire en rimes croisées. Ce poème ne comporte aucune allitération ni assonances. Dans cette ballade, on peut trouver un refrain : c’est la seule caractéristique de la ballade que le poète a tenue a respecter. « Et si il était a refaire Je referais ce chemin Une voix monte des fers Et parle des lendemains. » Le poète

rimes sont majoritairement pauvres mais la présence de quelques rimes suffisantes est la pour montrer de la variété. Au niveau du compte de syllabe, les vers sont tous des octosyllabes bien distincte ( aucune synérèse, ni diérèse). On constate une assonance a la deuxième strophe(v.8) en « a » et en « e ». Dans le dernier ver de la première strophe, Apollinaire personifie le feu en parlant des flammes comme si c’ était une personne humaine. Dans la première strophe, Apollinaire jette son passé dans

l’apprentissage, tout se passe comme si l’allure générale de la silhouette commandait la description du personnage « mule fringante », « vêtu de neuf », champ lexical de la rondeur. La description de Blazius est gouvernée par des allitérations en S, assonances en O, semi-voyelle ON qui évoque la douceur. Dame Pluche suggère la rétraction, le desséchement, la description donne une impression agressive, voire maladive. Aigreur du vinaigre (contrairement au vin) permet aussi l’opposition des personnages

rivages qui sont heureux mais le « je », donc Baudelaire lui-même. Baudelaire fait un lien entre le femme et le paysage : deux adjectifs se répètent : le sein de la femme est « chaleureux » ; le rivage est « heureux ». La répétition du son eu est une assonance, la répétition du r est une allitération. [ chaleureux / heureux ] Baudelaire utilise aussi le champ lexical de la lumière : « éblouissent » ; « les feux » « un soleil » : on est toujours dans une description large et générale même si on se commence