Assonances Et Allitération

représenter le pommeau de l'objet tuant la colombe. Ainsi, le dessin illustre le titre, la colombe survole le jet d'eau avec le poignard qui la transperce. II. L’interprétation du poème. Octosyllabe,des rimes plates, assonances tel que "i, a" ainsi que des allitérations comme le"l" qui ici donne un effet de liquide, d'eau. 1. Premièrement, la colombe, symbole de la paix, de la pureté et de l’amour. Elle est ici poignardée, blessée par le « et toi ». Le vers 1 est d’ailleurs brisé par la

1. Le champ phonique : a : rime riche.  B : rime suffisante. c : rime riche. D : rime suffisante. e : rime riche. Rime incluse F : rime riche. Rime incluse j : rime riche (ai/z/e) Allitération en s au vers 3, 7, 11 et 13 Allitération en v au vers 9 et 11 Allitération en r au vers 7 Assonance en a au vers 10, 12 et 13 2. Le champ morpho-syntaxique : Inversion au vers 1 et 2 : Comme les angles à l’œil fauve, Je reviendrai … Normalement, on dit : je reviendrai comme les anges

-Cyrano joue sur la polysémie du mot « lettre » « Et de lettres vous n’avez que les trois qui forment le mot SOT !» -« SOT » est introduit avec des assonances en « O » et il est souligné par la ponctuation « ! » -Il y’a une accélération de rythme dans « le quart De la moitié du commencement d’une, car » Avec des allitérations en « M » et des enjambements=> ce qui empêche le vicomte de l’interrompre. b) dénoncer le manque d’intégrité du vicomte. -Cyrano dénonce aussi le

fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre (« foudroie ») est une métaphore réitérée par l’« éclair ». Le poète est dans le chaos : « tonnerre » : allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane) : « savane ; femme ; tamtam ». Allitérations en [F] et [V] pour le souffle. A la dernière strophe : femme face à son destin, âgée « beauté qui passe », en cendre (morte). C’est le temps qui passe. Pour Senghor, la mémoire et

fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre (« foudroie ») est une métaphore réitérée par l’« éclair ». Le poète est dans le chaos : « tonnerre » : allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane) : « savane ; femme ; tamtam ». Allitérations en [F] et [V] pour le souffle. A la dernière strophe : femme face à son destin, âgée « beauté qui passe », en cendre (morte). C’est le temps qui passe. Pour Senghor, la mémoire et

présence éventuelle d'images et de figures de style effet propre à chaque image, l'originalité du texte Le fait d’identifier une figure de style entraîne obligatoirement une analyse : pas de remarques stylistiques sans analyse. - Les allitérations et assonances mise en valeur de certains mots, musique du texte - Répétitions, parallélismes, oppositions, ruptures toujours à commenter La progression du texte : Les indices qui permettent de la repérer Ce qu'ils peuvent indiquer Les changements

l’aube. Il serait considérable de mentionner que tout au long du texte, il y a une assonance en « o » et qu’il y a également une assonance en « i » dans le second quatrain et le premier tercet : « ciel » (V.5), « rougissait » (V.5), « mille » (V.7), « enrichissait » (V.8), « occident » (V.9), « vive »(V.9), « vis » (V.10), « sortir » (V.10), « rive » (V .10) , « riant » etc. On peut ajouter aussi qu’il y a une allitération en « l » dans le second quatrain : « ciel » (V.5), « l’aube » (V.6), « blonde »

Mort, vieux capitaine, il est temps ! ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dans Cassandre sous son ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits ANTITHESE n.f. 2 termes de sens opposés dans une même phrase - Le navire était noir, mais la voile était blanche ASSONANCE n.f. Répétition d’une même voyelle dans

parties explique opposition entre 2 mondes et 2 statuts A dans 4ème strophe b. Le jeu des sonorités renforce le contraste : • Majesté A rendu par assonance en 'en' et allitération en 'v' dans 1ère strophe • 2 et 3ème strophe accumulent sonorité désagréables avec assonance en 'e' ('honteux, piteusement, à côté d'eux, veule, gueule') et allitération en 'c' et 'gu' • Vers 12, décrochement gérondif et cadence + lente, suggère boitement Ainsi jeu sonorités accentue différence A au fur et à mesure

le monde                   ⋄ toujours relié à une idée fixe, obsédante C. Les sonorités • Quasi-absence des rimes traditionnelles • Eluard préfère le phénomène assonances / allitérations à la rime : c'est beaucoup plus fluide et moins contraignant. Ex : Strophe 7, v.25-28, allitération en [ch] et en [z] et assonance en [on] et en [an]. Cela contribue largement à donner au texte un aspect mélodique en dépit de l'absence de rimes traditionnelles. II - Des lieux d'écriture à la fois