Au Nom De Quoi Respecter Autrui

l’amour, le respect ou la simple sympathie manquent. Tolérer est-ce supporter ce qu’on ne peut empêcher? On dit bien de l’oreille qu’elle ne “tolère” qu’un certain niveau sonore, le mot a-t-il le même sens quand on parle de “tolérance” envers telle ou telle différence culturelle ou religieuse?    Le sens commun a tendance à confondre les deux attitudes: entre supporter, malgré nous, ce que nos limites nous permettent de supporter (ce qu’on ne peut empêcher) et respecter ce pour quoi on n’a pas de

mes droits correspond un devoir pour autrui. Ce que je puis réclamer, un autre me le doit. Ce principe s'avère flagrant dans toutes les obligations pécuniaires, par exemple les pensions alimentaires : les enfants ont le droit de réclamer des subsides à leurs parents, lesquels, en contrepartie, les leur doivent. Le droit forme ainsi un système d’obligations réciproques de personne à personne. En outre, ce que je peux réclamer à autrui en vertu d’un droit, autrui, si détestable ou méprisable qu’il me

cela rend la confiance en la parole d'autrui. Si l'on pense que la parole d'autrui est toujours susceptible d'être mensongère, cela rompt la possibilité du dialogue avec autrui. De même, parler n'a plus alors aucun sens. La condition de possibilité du langage est que lorsque l'on parle, ce soit pour dire la vérité. C'est ce sans quoi il n'y a pas d'échange possible par le langage. C'est aussi, et paradoxalement la condition de possibilité du mensonge. Le mensonge est rendu possible parce que l'on présuppose

moindre valeur morale ? La réponse positive et celle que nous défendrons dans cette première partie est que le bonheur que chacun recherche est l’unique source de moralité puisqu’il est le moyen de déterminer la morale des actions. Le bien est « ce à quoi toutes choses tendent » pour Aristote. La fin de tous nos actes et ce qui est le plus parfait reste en définitive le bonheur qui s’impose comme le « sommum bonum ». Pour lui, le bonheur constitue le Souverain Bien, c'est-à-dire la fin la plus digne

nous ne nous aventurons qu'a moitié, lui n'hésitant pas à se ifier, comme l'indique l'expression «mettent en jeu leur propre vie»,ligne 1. Le second plan est un plan moral. En effet la particularité de tout être fini et imparfait, c'est quoi qu'il entreprenne, quoi qu'il tente de réaliser, de poursuivre toujours un but intéressé, c'est-à-dire un avantage particulier. D'où toute la difficulté de l'idéal moral qui tend à ramener cette particularité du côté de l'universel. Or le fanatique lui semble

Pouvons-nous connaître autrui ? Brouillon : Que veut dire connaître ? Qu’est-ce qui me permet de dire que je connais quelque chose? Proposition de trois critères : 1. Il faut d’abord prendre conscience que cette chose existe, ou peut exister. Par exemple, les microbes sont restés inconnus pendant des millénaires, on ne soupçonnait même pas leur existence, puisqu’ils sont invisibles l’oeil nu. Connaître suppose au minimum que l’on prenne conscience de ce qui est inconnu. Autrui malgré les apparences

au point notre nouveau produit. Troisièmement, notre responsable communication : DE MARE Pierre-Yves. Le parcours professionnel de notre associé a apporté à notre entreprise un atout non-négligeable. Son équipe et lui ont été chargé de trouver un nom accrocheur à notre nouvelle gamme de produit. C’est notamment à lui que nous devons notre somptueux logo. En dehors de cela, il est chargé de tout ce qui attrait autour de l’image externe de l’entreprise. Il s’occupe ainsi des campagnes de promotion

Au nom du respect de toutes les cultures, peut-on tout tolérer ? Introduction : « Qu’est-ce que la tolérance ? C’est l’apanage de l’humanité. Nous sommes tous pétris de faiblesses et d’erreurs ; pardonnons-nous réciproquement nos sottises, c’est la première loi de la nature » définissait Voltaire dans le dictionnaire philosophique. Aussi, pouvons-nous dire que la notion de tolérance est fortement imprégnée de l’idée de permettre sans pour autant accepter totalement. Dés

des mensonges que la loi ne réprouve pas. Pourtant chacun apprend, par son éducation, qu'il est "laid" de mentir et que l'honnêteté et la sincérité sont des vertus morales qu'il faut cultiver. Mais chacun découvre aussi qu'il n'est pas bon de dire à autrui tout ce qu'il a sur le coeur et qu'en certaines circonstances il est même recommandé de mentir: par exemple mentir à quelqu'un pour ne pas le blesser ou lui épargner des souffrances, comme cacher la vérité à une personne atteinte d'une grave maladie

Frantz Jonathan PIERRECréation d’un personnage à partir de la théorie de NietzscheTravail présenté à Mme Barbara GAGNÉDépartement des sciences humainesCollège Lionel-GroulxLe 5 octobre 2022Son nom est Naruto Uzumaki, il est âgé de 12 ans. Il habite dans un petit village quelconque dans un monde rempli de guerre et de violence gouvernées par des Hokages. Pour faire simple, les Hokages sont des êtres puissants qui ont un contrôle absolu sur leurs villages. Naruto est un garçon qui parait normal comme