Aulu-Gelle

stoïcienne du Portique, après Zénon de Citium et Cléanthe) qui a formalisé les arguments sur le DESTIN et la LIBERTE ; les positions de Chrysippe sont rapportées et exposées par Cicéron dans le De Fato (Traité du Destin) et Aulu-Gelle. Le FATALISME = thèse associée à l’idée de DESTIN, avec une connotation théologico-religieuse. C’est l’expression de la volonté de Zeus ; or, pensé ainsi, le fatalisme voit le DESTIN comme une FORCE EXTERNE, qui s’exerce sur nous, malgré

incompatible avec un fort attachement à Rome. Lucien de Samosate a laissé une œuvre abondante, plus populaire, notamment un roman picaresque, L’âne d’or. On lira aussi ses Dialogues des morts. • L’Occident n’était pas en retrait. Aulu Gelle se rendit en Grèce pour y écrire ses Nuits attiques, un recueil d’anecdotes et de réflexions sur des sujets de son temps. Le choix de cette retraite montre l’importance de la Grèce pour les intellectuels, même italiens. Apulée de Madaure, un

obtinrent rapidement le droit latin qu’impliquerait la prêtrise de flamine augustal mais en Afrique l’existence du flaminat n’est nullement incompatible avec le statut de cité pérégrineLes MunicipesLes deux principaux types de communes romainesExemple Aulu Gelle, Nuits AttiquesMunicipes et municipia sont des mots d’emploi facile et d’usage courantLes municipes sont les citoyens romains originaires des municipes utilisant leur lois et leur droit partageant seulement avec le peuple romain la charge et les

l'artiste se rend justiciable de la production ==> critique recherche défauts (lutte) (réveil individualisme) Défence et illustration : 2 défauts : livre de jeune homme et livre du XVI° fourmille de contradictions, autorités discutables convoquées (Aulu-Gelle !) + plan confus (début de la pensée dit B.) exemple de respect superstitieux aux anciens, traductions plus que pensée propre seule idée : renouer ac trad grecs et latins( le reste, préceptes généraux : tt imiter, sans distinction, pcq les anciens

Ill), le grammairien et polygraphe Aulu Gelle se livre à une « étude comparée » de quelques « passages célèbres, tirés des discours de C. Gracchus, de Cicéron et de M. Caton ». Ce qui m'intéresse est la façon dont l'exercice de comparaison est amené, défini. Curieusement, deux mots sont nécessaires pour la définition : « Locorum quorumdam illustrium collatio contentioque facta ex orationibus C. Gracchi, M. Ciceronis et M. Catonis. » Pour comparer, Aulu Gelle a dû d'abord assembler (conferre, collatum)

est encore engagé donc porteur d’un message politique, il n’existe pas d’art proprement libéral au sens moderne du mot. Reste que la liberté est une notion délicate à manier : « Tout le monde en parle, personne ne sait à quoi elle ressemble » (Aulu-Gelle, Nuits attiques, IIe siècle). Si le libéralisme s’est répandu dans le corps social contemporain, il n’apporte pas de réponses structurées aux grandes questions morales, pas plus qu’il ne tranche de manière univoque entre la promotion des individus

Lymosin conchioit toutes ses chausses… ». Cette langue naturelle, est-ce le limousin ou ce langage du corps devant la peur ? Rabelais joue de cette ambiguïté. Alcofribas tire en tout cas cette leçon : « « nous demonstrant ce que dit le Philosophe et Aulu Gelle : qu’il nous convient parler selon le langaige usité et, comme disoit Octavian Auguste, qu’il fault eviter les motz espaves en pareille diligence que les patrons des navires evitent les rochiers de mer. » L’expression « éviter les mots épaves »

interessé par l’histoire du rire, il a donné un cours sur le comique dans l’Antiquité à l’École nationale de l’humour. [2]. Marcel Achard, «Discours d’acceptation à l’académie française», dans Écoutes et Regards, no. 48, décembre 2003. [3]. Cité par Aulu-Gelle dans Nuits attiques, XV, p. 20. [4]. Voir George Minois, Histoire du rire et de la dérision, Paris, Fayard, 2000, chapitre neuf. [5]. George Minois, p. 307-308. [6]. Merci à l’historien de l’humour, Robert Aird, pour ces citations révélatrices

que de la Rome antique, on ne sait que très peu de la vie d’Epictète. Selon l’encyclopédie grecque de la fin du dix-neuvième siècle nommée La Souda, Epictète aurait vécu jusqu’au règne de Marc-Aurèle, empereur romain. Selon le grammairien romain Aulu-Gelle, Epictète aurait déjà été mort quand Marc-Aurèle arriva au pouvoir. Epictète serait donc mort entre 125 et 130 ap. J.-C. MARC-AURÈLE Le futur empereur voit le jour le 26 avril 121 à Rome et rien à la naissance ne le prédispose à monter sur le trône

d'Alexandrie. Selon FLK Cicéron (Les Lois, II, 6), la République est le premier livre de philosophie politique grecque. Mais Platon fut accusé par Aristoxène d'avoir copié les Antilogikoi ou le Peri politeias de Protagoras (Diogène Laërce, III, 37). Aulu-Gelle (Nuits Attiques, XIV, 3) rapporte que les deux premiers livres furent d'abord édités seuls et que Xénophon y opposa sa Cyropédie. Ces éléments montreraient que les différents livres de la République furent écrits à des époques différentes. Il semble