Auto Conscience Hegel

deux cas rend impossible tout v'ritable bonheur? N'est-ce pas plut't dans la ma'trise des d'sirs que l'homme peut trouver son 'panouissement? (I. Pourquoi laisser libre-cours au d'sir?) Si l'homme d'sire, c'est parce qu'il n'est pas parfait ni auto-suffisant. S'il l''tait il n'aurait pas besoin d'aller chercher en dehors de lui ce qui lui est n'cessaire pour assurer son existence. Or, l'homme est un 'tre de manque et le d'sir constitue cette tendance naturelle qui le pousse vers un objet qu'il

l’ensemble des travailleurs tandis que le Capital est l’ensemble des moyens de production (terres, machines, actions financières, par exemple). – La technique s’oppose à la nature : cette dernière produit ses « objets » par ellemême et en l’absence de la conscience de le faire ; l’homme, par opposition, produit ses objets (= travaille) par des moyens techniques. – La technique se distingue de l’art – quoique l’étymologie (grecque) leur soit commune : l’œuvre d’art est l’objet d’une création (elle a pour but

perfection, comme manière optimale de vivre. On retrouve cette conception de la vertu désirable à la fois chez Aristote, chez les épicuriens, chez Spinoza ou même Descartes. Cette vertu est inséparable de la prudence, du désir de bien vivre. Même chez Hegel, la vertu civique, ou patriotique, doit être source de satisfaction. Pour Platon, il y a certes lutte contre soi, il s’agit de s’en tenir à un principe quand on l’a jugé bon, mais cela revient au fond à renoncer à un désir pour un désir supérieur

la prise de conscience de soi. C’est ce que souligne Sartre à travers l’exemple de la honte qui permet de se rendre compte de qui nous sommes, et oblige à abandonner la mauvaise foi du regard jeté sur soi, on peut penser au rôle des autres dans la construction de soi dans les premières années de la vie par un jeu de distanciation et d’identification. On peut enfin penser à Hegel et à sa dialectique du maître et de l’esclave qui souligne que c’est dans la confrontation des consciences que l’homme

d’accomplir la volonté divine ; le devoir moral se définit donc comme conformité à cette volonté, c’est-à-dire avec les commandements énoncés dans le Décalogue dans lequel sont consignés les principes de l’action humaine. Le siège du devoir, c’est la conscience de l’homme qui, en tant qu’elle est susceptible de se tromper, doit s’appuyer sur la raison naturelle, celle-ci renvoyant à la Raison de Dieu, impliquée dans son essence. Cette dernière précision est essentielle car on comprendrait quelle nécessité

LA PREMIÈRE PARTIE …[->1] «Comment, s’interroge-t-il aujourd’hui, ce qu’il y avait de passionnant dans la conscience d’un projet commun a-t-il pu se transformer en un malaise d’être ensemble ?» Mais il se garde bien de répondre à sa question, qui reste ainsi purement élégiaque. Comment en un plomb vil l’or pur s’est-il changé ? C’est tout simplement, dans ce cas, parce que la conscience d’un projet commun a cessé d’exister dans une pratique commune — dans ce que devenait la pratique commune de

fondamentalement une dimension individuelle, puisqu’un essai ne vaut que pour un individu donné. Le champ de nos expériences semble donc se trouver entre la réalité objective et nos représentations subjectives, entre l’objet qui stimule nos sens et notre conscience personnelle, et on comprendrait pourquoi Comte et plus généralement les hommes de sciences tenteraient de s’éloigner des secondes pour se rapprocher des premières lors des expérimentations. Puis-je faire l’expérience du monde qui m’entoure, et

| |semblables : en effet, l’homme en tant qu’ «animal pensant», issu d’une lignée génétique fruit du seul hasard (1) s’est arrogé le | |droit de dominer la nature dans une vision consumériste irresponsable. Mais l’émergence d’une nouvelle conscience écologique | |n’est-elle pas un signe qui nous rappelle que le destin de l’homme est indissolublement lié à celui de l’écosystème global et | |l’interdépendance de tout le vivant ?

Zivilisarion ................................................................................. 1-3 L'essence de Ia tragédie ............................................................................. 24 ............27 1.3.1 L'idée de la tragédie chez Hegel ................................................................. 3 1 1.3-2 Le monde tragique chez Nietzsche ........................................................... 33 1.4 L e drame de la culture moderne .......................................

pleinement appréhendable scientifiquement. Or, tel est l’une des limites de la spécialisation : avec la division du travail, nous ne parvenons pas à une image scientifiquement unifiée des phénomènes. Comme le déplorait R. Aron dans Dimensions de la conscience historique, « Le triomphe de la science historique entraîne celui des spécialistes. L’unité de l’histoire se perd dans la multiplicité des disciplines. ». Nous pourrions en dire autant des autres sciences. Ainsi le gain d’objectivité demeure-t-il