Autrui Me Voit Comme Je Suis

Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ?Les mots ou expressions du sujet : « Plus facile » : c’est une comparaison qui évalue la difficulté d’une tâche. Il faut s’interroger sur les modalités du rapport d’autrui à soi. Sa connaissance est-elle plus aisée ? La transition est-elle facile ? Quelles en sont les obstacles, les points de résistance ? « Autrui » : c’est un autre moi qui n’est pas moi. Toute la difficulté est là : je le connais par différence d’avec moi ou

Pouvons-nous connaître autrui ? Brouillon : Que veut dire connaître ? Qu’est-ce qui me permet de dire que je connais quelque chose? Proposition de trois critères : 1. Il faut d’abord prendre conscience que cette chose existe, ou peut exister. Par exemple, les microbes sont restés inconnus pendant des millénaires, on ne soupçonnait même pas leur existence, puisqu’ils sont invisibles l’oeil nu. Connaître suppose au minimum que l’on prenne conscience de ce qui est inconnu. Autrui malgré les apparences

plus précisément chez les philosophes français qui se sont directement inspirés de la phénoménologie de Husserl1. Il n'est pas nécessaire d'entrer dans de longues explications à propos de ce nom de "phénoménologie" : Husserl lui-même lui a donné comme maxime : "Droit aux choses elles-mêmes", entendant par là que la philosophie devait avoir pour tâche la pensée de ce qui nous apparaît dans notre expérience la plus commune. Or notre expérience est d'abord expérience des autres, au sens où dans la

individuels comme à une morale démocratique, dont la loi soumet chaque individu, et non en fonction de leur mode et genre de vie particuliers ; les notions de bien, de mal et de devoir sont alors universelles et applicables par chacun. Pour affirmer que le bonheur est une valeur morale, il s'agit donc de comprendre à quelle moralité le bonheur correspond-il et si l'aspiration au bonheur constitue le principe d'une vie morale et raisonnée. Le bonheur apparaît tout d'abord comme un état recherché

son rang social et de son passé. Autrui, ne fait pas parti du groupe. Ami, ennemi, de quelle façon est-ce que l'homme perçoit l'autre? Il est difficile de déterminer le point de vue d'un homme vis à vis de l'autre, et en effet, de savoir de quelle façon il le considère. Nous pouvons d'une part parler d'une vision positive, amicale ; et d'une autre part, d'une vision négative, celle qui pourrait être associée à un ennemi. En premier lieu, on considère autrui comme un ami, une personne qui est bien

par ma conscience que je me révèle à moi-même dans une indiscutable présence à moi, mais certaines expériences particulières, par exemple la « honte », attestent spontanément de la présence d'autrui à ma conscience. Le sujet découvre les autres « comme la condition de son existence » (...) L'homme isolé peut commettre un acte vulgaire sans pour autant se juger, se questionner sur la vulgarité de son geste. Le geste est effectué dans le mode du pour-soi, dans le rapport de soi à soi-même. L'homme

à son caractère contraignant? Comme le dit Francois “Pour être juridique une règle doit être l’expression d’un voeu assorti d’une menace d sanction” Peut-on donc dire que le droit se reconaît-il à son caractère contraignant? Le droit est ce que chacun peut exiger ce qui est permis, selon une règle morale ou sociale. Contraignant est une nécessité contraignante donc c’est une obligation qui peut prendre un statut penible. En répondant à cette question on voit d’abord le droit subjectif et après

la subjectivité comme véritable chose qui se voit muter, changer, évoluer, par un déterminisme physique et psychique contenu dans la nature et ou dans la sociéte --> On SE voit changer. on peut constater une évlution morphologique ou physiologique depuis 1 ans (ex puberté) et mental également (autre vision du monde) alors oui on peut devenir qq d'autre pour soi et par soi. alors oui on peut devenir qq d'autre pour soi et par soi. mais fais gaffe à ce "qq d'autre" car autrui n'est pas toi ni

du monde et que nous n’y sommes pas seuls : Autrui est là, présent avec nous. D’une manière générale, Autrui peut être défini comme étant toute personne autre que soi, l’ensemble des Hommes en dehors de soi-même. De nombreux philosophes tels que Hegel, Heidegger, Husserl, Descartes, Sartre ont traité de la question d’Autrui, plus précisément de notre rapport à Autrui. Qui est Autrui? Comment l’ego l’appréhende t’il? Quels sont nos rapports avec Autrui ? La pensée développée par ces philosophes peut-elle

AUTRUI ET LE DEVOIR I – les 2 valeurs de la sphère de l'égo Le moi est gouverné par 2 valeurs : principe d'identité ( moi = moi ) principe de contradiction ( moi = non moi ) Ces 2 valeurs se déclinent de la façon suivante : acceptation de la ressemblance rejet de la différence => relation problématique avec la différence Le moi fonctionne sur le principe de narcissisme. Il se pose dans la toute puissance et dans le même mouvement, rejette tout ce qui n'est pas