AY

10 vy 5 ax (m/s2 ) 0.1 v ay (m/s2 ) t(s) vx −0.1 x(m) 5 10 15 20 2. Les composantes de l’accélération sont ax = dvdtx et ay = dvdty . Il suffit de calculer la pente de chaque droite du diagramme des vitesses. On trouve (échelle 1cm → 0.1m/s2 ) : [t1 , t2 ](s) [0, 10] [10, 20] [t1 , t2 ](cm) [0, 4] [4, 5] 2 ax (m/s ) 0 0 0 0 → ax (cm) 2 ay (m/s ) 0 −1 ay (cm) 0 −1 4. On vérifie aisément qu’à t = 5s, on a (x, y) = (10m, 10m), (vx , vy ) = (1m/s, 1m/s) et (ax , ay ) = (0m/s2 , 0m/s2). Par contre

C-H sont apolaires. En effet, AX = 2,55 — 2,20 = 0,35 < 0,4. Pour la liaison C-O, on calcule Ay = 3,44 — 2,55 = 0,89. Ainsi, 0,4 < Ay < 1,7. La liaison C-O est donc polaire. L’atome d’oxygéne porte la charge partielle négative 6”, et l’atome de carbone qui porte l'atome d’oxygéne porte une charge partielle positive 5*. Pour la liaison O-H, on calcule Ay = 3,44 — 2,20 = 1,24. Ainsi, 0,4 < Ay < 1,7. La liaison O-H est donc polaire. L’atome d’oxygéne porte la charge partielle négative

=1 . D. Equations différentielles y'=ay Une fonction f est solution de l'équation différentielle y'=ay sur un intervalle I si f est dérivable sur I et si pour tout x de I : f '(x) = a f (x). 1- Solutions de y'=ay KB 6 sur 7 Les solutions de l'équation différentielle y' = ay (a réel donné) sont les fonctions de la forme f  x=Ceax où C est une constante arbitraire. Pour tout couple (x0, y0) de réels, il existe une solution unique f de y' = ay qui vérifie y0 = f (x0). Démonstration

constants Il s'agit d'équations pour lesquelles les fonctions a et b sont constantes. Quitte à diviser par a et à renommer les coefficients, on peut se ramener à une équation du type : -1¡ ¡     y' + ay = c(x) a) Equation homogène (ou équation sans second membre) : On appelle ainsi l'équation y' + ay = 0. Quelles sont ses solutions sur u Il y a la solution y = 0. ¢ , avec a réel ? ¢ u Cherchons les solutions ne s'annulant en aucun point. On peut alors écrire : ⇒ ln y = –ax + Cte, en prenant

CIRCULATION : ORLEANS > TOURS TRAIN 860205 ORLEANS TRAIN 16803 TRAIN 860001 TRAIN 16807 06.42 07.04 07.42 LES AUBRAIS TRAIN 14033 TRAIN 16809 TRAIN 860005 TRAIN 16817 08.42 11.27 12.50 08.37 LA CHAPELLE ST MESMIN CHAINGY FOURNEAUX ST AY MEUNG SUR LOIRE 06.54 07.54 08.54 08.00 09.00 08.08 09.08 13.02 BAULE 45 BEAUGENCY 07.00 MER LOIR ET CHER 07.08 7.19 11.43 13.08 13.15 SUEVRES MENARS LA CHAUSSEE ST VICTOR BLOIS CHAMBORD 06.36 07.19 06.45 07.28 7.36 08.20 09.03

traversait les volets clos. Le feu ronronnait dans la cheminée et de temps en temps les bûches craquaient. C’était l’heure où l’on rentrait de l’école. On avalait son goûter et on faisait ses devoirs sur la table du salon. h tt p :/ /m ill ee tu n cr ay o n s. ek la b lo g. co m http://milleetuncrayons.eklablog.com/Dictées flash semaine 18 Notions travaillées Pendant l‘été, j’allais en vacances chez ma tante. Elle adorait partir en promenade près du lac où nous jetions des cailloux. Accord GN

selon (Ax) mais il y a d’autres qui empêchent et suppriment les translations selon (Ay) et (Az), ce qui permet d’écrire que cette action dans le repère R(A,x,y,z) : ou sous une forme : Dans cette liaison on a aussi une rotation selon l’axe (Ax) c'est-à-dire qu’il n’y a pas de couple mécanique selon cet axe qui empêche et supprime cette rotation par contre il y a d’autres couples qui empêchent les rotations selon (Ay) et (Az). Ceci permet d’écrire le couple qui empêche ces rotations sous la forme :

Corrétation:0,1190 Erreur Type: 0,006414.N Force (N) ° t 0,0- 0 10 (At1,15 Ay-0,004) Temps (s) Force (N) SO Régression Linéaire de: Demier | Force Force = mt+b m (Pente} -0,0004582 Nis b (Ordonnée en 0}: 0,2687 N Corrélation:-0,02628 10 Zz 8 5 2 oJ Régression Linéaire de: Dernier | Force. Foros =mtb m (Pente}: 0,006226 Nis i i 0 2 8 (At0,95 Ay:0,00) Temps (s) Régression Linéaire de: Demier | Force Force = mt+b m (Pente}

l’exemple précédent du couple (T, P ), calculer les écart-types des deux variables et vérifier l’inégalité. Preuve de la proposition 2 : Pour tout réel a, on peut développer grâce à la Proposition 1 la quantité V ar(X + aY ) ≥ 0 : V ar(X + aY ) = V ar(X) + V ar(aY ) + 2Cov(X, aY ) = V arX + a2 V ar(Y ) + 2aCov(X, Y ) par la Propriété 1 ≥ 0. (3.1) Le polynôme du second degré en a étant de signe constant, son discriminant est négatif ou nul : 4 (Cov(X, Y ))2 − 4V ar(X)V ar(Y ) ≤ 0, d’où l’inégalité

objet d’indice n, et a b | est la matrice de transfert du systéme centré, -C y' a b y ay + bna n'a’ -C d] | na —Cy + dna soit : y= ay+bna na’ =-Cy + dna Origine en deux points conjugués Dire que les points origines O et O’ sont conjugués, c’est dire que tous les rayons incidents passant par O émergent du systéme en passant par O’ ou encore que y’ est indépendant de a. Cette propriété entraine que b=0 et y’ =ay soit a= — . Le terme a représente donc le grandissement linéaire y transversal du systtme:a=y