Bachelard Connaissances Empiriques

science. [3] Pour qui l’histoire des sciences ainsi conçue peut-il présenter de l’intérêt ? Premier intérêt : l’agrément. Plus précisément, – Tous ceux qui s’intéressent à la condition et à l’état présent de la connaissance humaine. – Notamment, montrer que l’état actuel de nos connaissances les plus solides résulte d’un héritage acquis pour toujours. – L’humanité est à la poursuite de la vérité depuis l’éclosion de la raison. 1 – Retracer les progrès accomplis dans le passé. [4] Un autre intérêt

CONSCIENCE : Hume : la conscience est crée par les expériences vécues. En effet je ne pense pas tout court mais je pense toujours à quelque chose. J'ai donc besoin pour penser de connaitre (par l’expérience) ce a quoi je pense (Idée de conscience empirique) Descartes : Il doute de tout mais avec son travail de doute il se rend compte que la seule chose dont il ne peut pas douter, c'est sa pensée, puisque c'est ce avec quoi il doute. Et comme il pense, il sait qu'il existe, d'où son affirmation "je

un polysème, recouvrant principalement trois acceptions[4] : Savoir, connaissance de certaines choses qui servent à la conduite de la vie ou à celle des affaires. Ensemble des connaissances acquises par l’étude ou la pratique. Hiérarchisation, organisation et synthèse des connaissances au travers de principes généraux (théories, lois, etc.) Définition stricte [modifier] D'après Michel Blay[5], la science est « la connaissance claire et certaine de quelque chose, fondée soit sur des principes évidents

on la dit morte. 2. LES FONCTIONS DU LANGAGE JACKOBSON, Essai de linguistique générale. Il existe 6 fonctions générales dans le langage. * Fonction référentielle : consiste à transmettre à autrui des informations concernant le monde empirique (concret) ou fictif (roman, conte) → Référence à des objets vus, perçus, désirés * Fonction émotive : centrée sur la destinateur/locuteur. Vise à une expression directe de l’attitude du sujet à l’égard de ce dont il parle. → Etat d’âme du locuteur

Gaston Bachelard [1884-1962] (1957) [1961] LA POÉTIQUE DE L’ESPACE Un document produit en version numérique par Daniel Boulognon, bénévole, professeur de philosophie en France Courriel : Boulagnon Daniel boulagnon.daniel@wanadoo.fr Dans le cadre de : "Les classiques des sciences sociales" Une bibliothèque numérique fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http ://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la

qui n’est autre que l’ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d'objets ou de phénomènes obéissant à des lois et vérifiés par les méthodes expérimentales. C’est là que la psychanalyse intervient, tentant de démontrer sans cesse un lien entre notre affectivité refoulée suite à des épisodes plus ou moins marquants de notre vie et nos maux intérieurs. Comment celle-ci peut-elle permettre à l’homme de prendre connaissance de son animalité, et de mesurer la part de

reproche à la pseudo-thèse marxiste de l’aliénation car, fait-il remarquer, celui qui nierait la réalité d’une aliénation idéologique ne ferait, du point de vue marxiste, que prouver son aliénation. 122- L’observation provoque la réalité : le réalisme empirique de la psychanalyse. D’un autre côté, certaines remarques de Freud peuvent nous permettre d’accorder à la psychanalyse autant de scientificité qu’à la physique. Bien entendu, si vous niez que la mécanique quantique soit une science, vous pourrez

terme « scientifique » lui confère un mérite. Mais si la science a quelque chose de particulier, qu’est ce donc ? Cette interrogation nous conduit directement à chercher à savoir ce que c’est que la science. D’après le dictionnaire, la science est la connaissance relative à des phénomènes obéissant à des lois et vérifiés par des méthodes expérimentale. Et donc, on pourrait la définir et dire que c’est une étude du réel sous ses différentes formes. Plus spécifiquement donc, la science est un procès d’objectivation

garde contre les illusions que génère l’information. Information n’est pas savoir. Une information est une donnée (data en latin, repris par le langage informatique) qui ne prend de sens, de signification que si elle s’insère dans un schéma de connaissance. Sinon elle n’est rien, que du vent, que du bruit. Accumuler les informations ne procure que l’illusion du savoir. {Information - Savoir} 219 XXe « Ne vouloir faire société qu’avec ceux qu’on approuve en tout, c’est chimérique, et c’est

les troubles mentaux. Les maladies mentales changent constamment au cour des siècles. Les maladies mentales viennent de quelque chose, elles reflètent un arrangement consensuel de signes cliniques. A chaque période de l’histoire en fonction des connaissances scientifiques, des croyances spirituelles, de la politique, des lois législatives, le nombre de maladie mentale et leurs signes cliniques qui les caractérisent, changent constamment. A chaque période, un groupe d’expert propose une nouvelle description