Bachelard Connaissances Empiriques

La distinction de la science et de l'opinion (La République, fin du Livre VI) Thèmes concernés: la philosophie, la connaissance et la raison, les mathématiques. Racines et apports: Platon se pose, en réfléchissant sur deux penseurs qui s'opposent: Héraclite (tout coule) et Parménide (seul l'Être est). Sa rencontre avec Socrate est un choc qui provoque une conversion. Platon se tourne vers la recherche de ce qui est vraiment utile, de ce qui importe, de ce qui est réellement, des essences ou Idées

Cette vérité matérielle ou empirique suppose qu’à chaque élément de l’expérience correspond un symbole – dont la définition doit être stricte et complète : aux exigences de forme s’ajoutent celles concernant le "contenu" du langage. C’est le cas dans toutes les sciences, étant admis depuis Kant que leur discours vise, non les choses en elles-mêmes, mais bien ce qui nous en apparaît (les phénomènes). 3 - Des vérités non scientifiques ■En affirmant que notre connaissance est déterminée par la structure

Une méditation sur les symboles, que ce soit celle d'Eliade, de Jung et même de Freud, ou celle de Bachelard, survient à un certain moment de la réflexion, répond à une certaine situation de la philosophie et peut-être même de la culture moderne qu'il faut essayer de comprendre. Je dirai d'abord que ce recours à l'archaïque, au nocturne et à l'onirique, qui est aussi, comme le dit M. Bachelard dans la Poétique de l'espace, un accès au point de naissance du langage, représente une tentative pour

pendant les cours, de plus il n’en retient que sa version de l’information et pas forcément celle donnée. Il y a souvent un décalage entre l’enseignant et l’élève ; l’enseignant oublie parfois que son cours n’est pas adapté au vocabulaire ou aux connaissances que l’élève possède déjà. Et cela peut engendrer des quiproquos. Il ne faut pas confondre « enseigner » et « informer ». L’enseignant doit articuler ses idées et leur donner un sens pour que l’élève comprenne, car il ne peut organiser sa propre

I. Le triomphe de l’esprit scientifique et l’affirmation de nouvelles sciences de l’homme : A. Développement des connaissances et des réflexions philosophiques sur la science : Nombreuses réflexions philosophiques sur ces sciences. Un des grands noms : Henri Poincaré. Intérêt : comment connaître la vérité ? Comment vérifier que les connaissances sont incontestables ? Emergence à la fin du XIXe et début du XXe s. du groupe le Cercle de Vienne où règne une extraordinaire ébullition

le sens. Or, cette pratique du conseil est balisée depuis près de cent ans par des théories, des recherches, des institutions, etc. Comment refuser d’en tenir compte ? Ce refus est déjà un premier signal. « Proférer un nom, disait à peu près Bachelard, c’est laisser tomber dans un solution la goutte qui provoque un précipité ». Alors surgissent les préjugés. Affirmer que le conseil (malgré les milliers de conseillers en fonction...) est une notion confuse, floue, c’est se contenter de répéter

Dokeos. Ph. Skilbecq, le 01 septembre 2011. "Enseigner, c’est faire apprendre. Apprendre c’est transformer ses erreurs en nouvelles connaissances." Site IESPN En lisant cette citation, on comprend qu’enseigner c’est faire en sorte que les apprenants transforment leurs erreurs (ou incompréhension, ou connaissances incomplètes, …) en nouvelles connaissances. 2 Ph . Skilbecq Psychologie de l’apprentissage II Table des matières FICHE PHILO: SAVOIR VS CROYANCE ..................

technique et des échanges A) La technique. 1. Définition par sa finalité Le Mythe de Prométhée Protagoras (Platon) Protagoras en fait le récit, développement propre à l’être humain. Mythe : récit destiné à donner l’explication d’un état de fait. Connaissance des arts et feu assurés => conservation, perpétuation de l’espèce humaine possible seulement grâce aux techniques : art et feu. Comment le mythe justifie-t-il les techniques ? => techniques présentées comme nécessaires car l’être humain

Comment se fait-il que nous puissions prendre l’erreur pour la vérité , n’est-elle pas censée « éclater » ? Le phénomène de l’erreur et son corollaire ( le progrès dans la vérité dans la mesure où il est défini comme « la rectification de l’erreur » BACHELARD ) ne révèlent-t-il pas que nous ne serions pas totalement passifs dans la recherche de la vérité telle , au fond , que l’indépendance de la vérité le suggère ? Mais si nous intervenons dans l’établissement de la vérité, si ,en effet nous devons

expérimentale La démonstration : Pascal, De l'esprit géométrique L'interprétation : Dilthey, Introduction à l'étude des sciences humaines Le vivant : Kant, Critique de la faculté de juger La matière et l'esprit : Merleau-Ponty, Signes La vérité : Bachelard, La Formation de l'esprit scientifique 4. La politique La société : Hobbes, Du Citoyen La justice et le droit : Rousseau, Du Contrat social L'État : Montesquieu, De l'Esprit des Lois, Livre III, chapitre 9 5. La morale La liberté : Sartre