Bartolomé De Las Casas

les historiens racontent l’empire de Charles Quin, avec pour but d’intéresser le lecteur et de ce mettre au service de l’empereur. Parmi ces livres plus ou moins fantaisistes, la très brève relation de la destruction des Indes écrite par Bartolomé de Las Casas, un livre qui prend la défense des indiens. L’histoire de la conquête du Mexique écrite par Hernan Cortez. La véritable histoire de la conquête de la nouvelle Espagne écrite par Bernal Diaz del Castillo. Naufrages de Alvar Nuñez Cabeza de

populares y todo lo que comentaste acerca de ellos nos lo aplauden, al menos por la novedad, ya que lo que se encuentra novedoso se recomienda mucho mejor. Como sentenció Ulpiano en el proemio de los Comentarios, «Todo lo nuevo se decora con hermosura». Las nuevas lecturas son más agradables. Y puesto que Vos, Reverendísimo señor, sois cabeza de los citados canónigos, ellos por lo tanto son los miembros. Y no es lícito que los miembros se aparten de la cabeza, sino que, según el testimonio de la Escritura

la Casa de Contratacion qui organise le commerce avec les « Indes ».Une présence administrative organise le travail forcé ; c’est une catastrophe qui conduit à la quasi-disparition de la population indigène dans les îles (d’où le combat de Bartolomé Las Casas) et pousse à l’importation d’esclaves africains (puisqu’ils n’ont pas d’âme !).. A partir de 1520 l’Espagne, jusqu’alors confinée dans les îles des Caraïbes part à la conquête du continent par ses conquistadores qui en moins de 20 ans conquièrent

(ADN) – Curso del 63 (www.antena3.com) Audios – Generación ni-ni – Generación sí-sí Iconos – Fotos: Cumbio, Curso del 63 Contenu culturel – Programas actuales de cadenas de televisión española: Física o Química, Curso del 63… – El fenómeno de las tribus urbanas hispanoamericanas – La Semana Gótica de Madrid – El grupo español Amaral – Campañas gubernamentales argentinas destinadas a los jóvenes – Dibujantes (Matador, Erlich) – Canción: El blues de la generación perdida, Amaral Secuencia

Bergerac montre qu’il a lu Marco Polo qui disait que les petits hommes de l’Inde étaient en réalité des singes maquillés. Il fait également allusion à la Controverse de Valladolid (qui en 1527 opposa le théologien Sepuldeva et le dominicain Bartolomé de las Casas pour décider si les Indiens étaient des hommes (et si les Espagnols pouvaient les coloniser...) 3. Ce passage est satirique Sous la fantaisie du récit se cache un thème philosophique. (On pourrait presque dire que ce texte est un conte

est nécessaire pour resituer le débat opposant Las Casas et Sepúlveda dans leur temps, celui de l’ouverture sur de nouveaux mondes jusqu’alors inconnus. par cette situation. En revanche, elle peut venir conclure l’étude du sujet et constituer une transition avec le sujet d’étude Voyages et découvertes. Les documents retenus Deux biographies mettent tout d’abord en scène les deux principaux acteurs de la controverse, à savoir Bartolomé de Las Casas d’une part, Juan Gines de Sepúlveda d’autre part

les terres, sauf dans quelques îles comme Hispaniola (Haïti/SaintDomingue). Jusqu’à sa mort, il pense avoir longé les côtes de la Chine et de l’Inde alors qu’il longeait celles de l’Amérique centrale. C’est pourquoi la carte tracée par son frère Bartolomé [4] place les Antilles face à l’Asie qu’il relie au Nouveau Monde par un isthme. Christophe Colomb a « découvert » l’Amérique mais il n’a pas réellement conscience de sa découverte. 3. Démarche proposée 1. L’état des connaissances sur le monde

d’un tube de feuilles roulées. Ils utilisent de longues pipes ou chiquent les feuilles de tabac. Christophe Colomb raconte que les Indiens brûlent une plante avec de petits morceaux de charbon et en aspirent la fumée odorante. En 1527, Bartolomé de Las Casas raconte qu’ « après avoir allumé le bout de ces chalumeaux qu'ils appellent tabacos ou petums, les indigènes aspirent à l'autre extrémité par la bouche, ce qui provoque de la stupeur, une sorte d'intoxication et, selon eux, enlève la fatigue

seulement les mauvais traitements infligés aux esclaves. On peut par exemple s'interroger sur la valeur d'un texte (« Très brève relation de la destruction des Indes ») publié en 1548 et cité comme le premier grand texte anticolonialiste, de Bartolomé de Las Casas, fils d'un compagnon de Colomb, dominicain, nommé évêque du Chiapas (Mexique), alors que l'Histoire a retenu aussi du même personnage les premières éliminations d'Indiens non convertis. Il semble s’être amendé à la fin de sa vie en défendant

le « Generalisimo », le chef suprême de l’armée, vainqueur de la Guerre Civile d’Espagne, et dispose de pouvoirs régaliens Le troisième est le parti unique : Le troisième est le parti unique,  El Movimiento Nacional correspondant à la Falange de las JONS avant 1958. Ce dernier a été fondé par José Antonio Primo de Rivera dans les années 1930. Le Movimiento n’aura pas d’autres opposants légaux -jusqu’aux légalisations des années 70 - que les dissensions internes qui le traversent. Le fascisme